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Archive for 7 de julio de 2012

UHP

 

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Publicado en Barricada gràfica

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Informations en provenance

Le titre – «Une jeune fille blessée dans la guerre des mines» – un mélange de sensationnalisme et pas cher alarmisme est une insulte à l’intelligence des lecteurs réguliers de la monarchie journal.

Si quelqu’un pense que les couvertures de la raison sont insurmontables, ABC a aujourd’hui s’interroger sur la direction de la manipulation de l’information. Le titre – «Une jeune fille blessée dans la guerre des mines» – mélange de sensationnalisme et pas cher alarmisme est une insulte à l’intelligence des lecteurs réguliers de la monarchie journal. Pour l’autre devrait être une fantaisie, mais la vérité est que amuse ne se pose plus comme l’expression de la guerre civile et a remplacé les colonnes de l’armée par » deux colonnes de manifestants «qui» sont l’approche d’une armure de Madrid «.

La photographie illustre la couverture sont les protestations de citoyens ordinaires. Il ne peut pas rater le feu et la fumée et le capuchon du mal, dans ce cas, un mineur. Rien de la Garde civile, des gaz lacrymogènes, des grenades lacrymogènes et aucune analyse des causes des conflits et les conditions imposées par le gouvernement pour l’exploitation minière Rajoy . Un 14.000 emplois seront détruits pour entrer dans le secteur.

Si hier, nous avons mentionné que les nouvelles de TVE 1 a évité de mentionner la Garde civile a tiré des gaz lacrymogènes, des grenades lacrymogènes et des balles en caoutchouc contre les habitants de cette ville après brèche dans la barricade et que rien ne dit de la balle de caoutchouc qui a frappé au visage une fille et remplacé par un «chose» sans plus, aujourd’hui, nous avons découvert que ABC a reconnu la nuit dernière (*) pour les graves traumatismes qu’il s’agissait d’une balle de caoutchouc, mais en jouant les explications ridicules de «sources de la délégation du gouvernement»;

Sources de la Commission gouvernementale avertir que la balle qui a causé la fracture de la fenêtre et les blessures à la partie inférieure » doit supposer que les marques qui pourraient être récupérés et réutilisés par les émeutiers »

L’explication kafkaïen est basé sur la croyance aveugle que l’émeute leur jeter des balles de caoutchouc [] presque à terre et semblait sur le quatrième étage, en plus de la fenêtre qui a frappé «pas en ligne déploiement de l’unité anti-émeute a été impliqué « . Ce que personne ne peut expliquer, c’est comment lancer une balle à la quatrième étage avec une telle force, sans le pistolet réglementaire de «l’émeute» et quel est le point d’une attaque mineur les villageois.

(*) http://www.abc.es/20120706/espana/abci-mineros-heridas-ventana-201207061640.html

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Publié dans l’État espagnol

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 par projet Deux Rives
La Cour constitutionnelle allait manquer d’action de cette semaine sur le mariage homosexuel, après sept ans de faire une réponse, mais où allons-nous dire maintenant dans leur hâte, ils prendront un peu plus longtemps.

La Cour constitutionnelle allait manquer d’action de cette semaine sur le mariage homosexuel, après sept ans de faire une réponse, mais où allons-nous dire maintenant dans leur hâte, ils prendront un peu plus longtemps. Et franchement, si les près de vingt à cinq mille paires d’homosexuels qui se sont mariés au cours des années récentes, et les enfants biologiques ou adoptés de tous ces couples ont été en mesure de vous rendre la vie jusqu’à présent sans la peine qu’ils ont perdu le sommeil, peut en toute sécurité s’attendre à plus. Selon des fuites sur le verdict, le TC sera en charge la norme, et le retard a porté ses fruits seulement saisir au fil du temps.

Dans ces années, par exemple, de nombreux membres de la PP sont mariés en invoquant cette loi. Certains ont même marié Gallardón ministre, qui va déchirer ces questions des médias profil plus photogénique et permissive. Plusieurs hauts responsables du parti ont parlé publiquement en faveur de la règle, et d’autres, comme le Secrétaire des droits de Oyarzábal Iñaki et des libertés, ont annoncé leur homosexualité à l’habitude bien connue scandale médiatique. Ainsi, le PP, qui a promis d’abroger la loi si il a gagné l’élection, qui peuvent désormais plus que quiconque veut une décision favorable.

Ces années ont également servi à une institution comme le dictionnaire Académie royale inclus dans l’autre sens du mot mariage, «union de deux personnes du même sexe pour établir et maintenir une communauté de vie et les intérêts.» La définition n’est pas triviale (une partie de l’invective contre la loi ont été fondées sur des critères étymologiques), et exprime la maturité d’une société pluraliste laïque et de la famille aux nouvelles réalités. Opinions contraires à la maturité, même pour soutenir le mariage gay par les zones traditionnelles et en arrière, en particulier de l’Église.

Nous avons parcouru un long chemin en sept ans, et peut être dit avoir été en vain: les homosexuels ont gagné non seulement l’égalité devant la loi, mais dans la reconnaissance et le respect, et tout (enfin, presque tous), nous sommes devenus plus sensibles concernant l’acceptation et la défense des identités d’autres. Je fais ce commentaire, quand je vois mes voisins jouent Raul et Luc, qui fêtera ses deux ans, entourée de nombreux enfants et à l’œil vigilant de ses deux mères. J’ai aussi moi quand j’entends dire que l’avis des évêques, que le mariage nouveau sens est «inhabituelle et injuste.» Honnêtement, je ne peux penser à de meilleures adjectifs choisis pour décrire la queue d’une minorité qui, au lieu d’essayer de comprendre les questions, insiste sur le fait de crier qui a toutes les réponses. Il n’est pas facile et le dialogue, mais nous espérons un jour donné. Bien qu’ils aient à dépenser sept fois sept ans.

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 por Proyecto Dos Orillas
El Tribunal Constitucional iba a fallar esta semana el recurso sobre el matrimonio homosexual, después de siete añitos de nada fabricando la respuesta, pero ahora dicen que dónde vamos con las prisas, que van a tardar un poco más.

El Tribunal Constitucional iba a fallar esta semana el recurso sobre el matrimonio homosexual, después de siete añitos de nada fabricando la respuesta, pero ahora dicen que dónde vamos con las prisas, que van a tardar un poco más. Y la verdad, si las casi veinticinco mil parejas de homosexuales que se han casado en estos años, y los hijos biológicos o adoptados de todas esas parejas, han podido hacer su vida hasta aquí sin que la sentencia les haya quitado el sueño, pueden tranquilamente esperar algo más. Según las filtraciones sobre el veredicto, el TC apoyará la norma, y la demora ha ido dando frutos que sólo se afianzan con el tiempo.

En estos años, por ejemplo, muchos militantes del PP han contraído matrimonio amparándose en esta ley. A algunos hasta los ha casado el ministro Gallardón, a quien estos temas mediáticos le arrancan su perfil más fotogénico y permisivo. Varios altos cargos del partido se han manifestado públicamente a favor de la norma, y otros, como el Secretario de derechos y libertades Iñaki Oyarzábal, han hecho pública su homosexualidad con el consabido escándalo de los medios consabidos. Así que el PP, que prometió revocar la ley si ganaba las elecciones, puede a estas alturas desear más que nadie un fallo favorable.

Estos años han servido también para que una institución como la Real Academia incluya en el diccionario otra acepción de la palabra matrimonio: “unión de dos personas del mismo sexo para establecer y mantener una comunidad de vida e intereses”. La definición no es baladí (parte de las invectivas contra la Ley se basaban en criterios etimológicos), y expresa la madurez de una sociedad laica y plural ante nuevas realidades familiares. Madurez incluso para admitir opiniones contrarias al matrimonio gay por parte de sectores tradicionales y retrógrados, particularmente de la Iglesia.

Hemos avanzado mucho en estos siete años, y puede decirse que no han sido en vano: los homosexuales han ganado no sólo en igualdad ante la ley, sino en reconocimiento y respeto, y todos (bueno, casi todos) nos hemos hecho más sensibles en cuanto a la aceptación y defensa de otras identidades. Me hago esta reflexión cuando veo jugar a mis vecinos Raúl y Lucas, que van a cumplir dos años, rodeados de muchos niños más y ante la vigilante mirada de sus dos madres. Me la hago también cuando escucho que, en opinión de los obispos, esa acepción nueva de matrimonio es “insólita e injusta”. Sinceramente, no se me ocurren adjetivos mejor elegidos para calificar los coletazos de una minoría que, en lugar de tratar de entender las preguntas, se empeña en gritar que tiene todas las respuestas. No es fácil así el diálogo, pero ojalá se dé algún día. Aunque tengan que pasar siete veces siete años.

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Avión No Tripulado de Vigilancia hecho en Venezuela
Credito: VTV

-Oficiales de la FANB presentaron y explicaron este miércoles, en contacto satelital con el Presidente Chávez, las características del primer Avión No Tripulado de vigilancia militar, construido por venezolanos que realizaron cursos en la Republica Islámica de Irán, gracias a los convenios de cooperación y transferencia tecnológica.

Desde Maracay, estado Aragua, en la sede de la Compañía Anónima Venezolana de Industrias Militares (Cavim), municipio Girardot de la capital aragüeña, el presidente de la institución, G/B Julio César Morales, informó que el aparato posee cámaras de video, con capacidad de transmisión en tiempo real y su envergadura es de 4 metros aproximadamente.avionnotripulado

La autonomía de vuelo del avión es de 90 minutos, tiene un radio de acción de 100 kilómetros y alcanza una altura de hasta 3 mil metros.

“Muchos de los equipos no son solo para uso militar, sino también para uso civil”, advirtió el jefe de Estado, al aplaudir la labor de ingenieros militares venezolanos en diseño tecnológicos.

Expresó el Presidente que el gobierno de EEUU no debe perder tiempo acusando con mentiras a Venezuela, sobre supuesto armamentismo.

Destacó que estos aviones no tripulados, que construye Venezuela, solo tienen cámaras de video para la defensa nacional. “No para agredir a nadie”.

Chávez advierte, sin embargo, que ningún sector se equivoque, pues la FANB tiene la sagrada misión en la defensa de la soberanía nacional, y cada soldado venezolano dará la vida para preservar la libertad y la independencia de la Patria.

 

 

Venezolana de Televisión (http:

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7 julio 2012 – El Gobierno ecuatoriano evaluará los recursos destinados a fundaciones de su país por la Agencia de Estados Unidos para el Desarrollo Internacional (USAID), cuestionada en los últimos tiempos por la falta de transparencia.

El experto Orlando Pérez opina que la ayuda de la USAID puede ser inadecuada para el tipo de democracia que hay en Ecuador

 

 

 

 

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Aporrea.org

El fallecido lider palestino Yaser Arafat
Credito: web

07 de Julio.- El canal de televisión panárabe Al Mayadeen emitió un video en el que un ciudadano palestino presuntamente confiesa haber envenenado al expresidente palestino Yasir Arafat a petición de los servicios de Inteligencia israelíes (Mossad), tal y como recogen medios palestinos e israelíes.

En el vídeo, supuestamente grabado en la prisión israelí de Negev en 2006, se ve a un reo palestino sospechoso de ser un espía para Israel. El prisionero, del que no se facilita nombre, dice a su «interrogador» –al parecer, otro preso palestino– que puso veneno en la comida de Arafat en la cocina de la Mukata con la ayuda de uno de los cocineros.

La Mukata es el complejo presidencial en la localidad cisjordana de Ramala en el que Arafat estuvo encerrado entre diciembre de 2001 y octubre de 2004 después de que el Gobierno israelí decidiera restringir su libertad de movimientos como castigo a su presunta implicación en las acciones armadas de las facciones palestinas. Tel Aviv permitió que saliera del cerco en octubre de 2004 por motivos de salud, pocos meses antes de su muerte.

El reo asegura asimismo que fue reclutado por los servicios de inteligencia israelíes en 2002 y que otro «colaborador» fue trasladado junto a él a Jerusalén para trabajar. Una vez allí, según su declaración, le dieron un uniforme militar y se entrenó durante dos meses con soldados israelíes antes de ser trasladado a Jerusalén, donde le mostraron un vídeo sobre la Mukata, incluyendo la habitación del exmandatario palestino y la cocina.

Igualmente, agrega que el grupo de colaboradores recibió órdenes de envenenar a Arafat y que recibieron un pago en junio o julio de 2004 a tal fina. Además, se les entregó veneno y se les dijo que les matarían en caso de que se echaran atrás.

En el video, esta persona explica que él y otros colaboradores accedieron a la Mukata con la cooperación de uno de los guardias del complejo. Según sus declaraciones, uno de los cocineros se negó a añadir el veneno a la comida, aunque un segundo sí aceptó la proposición.
INVESTIGACIONES SOBRE LA MUERTE

El presidente de la Autoridad Palestina, Mahmud Abbas, ha pedido al comité que investiga las causas de la enfermedad y la muerte de Arafat que analice todas las informaciones sobre el fallecimiento y que solicite ayuda a expertos árabes y de otros países para descubrir qué lo provocó, según ha informado este miércoles su portavoz, Nabil Abu Rudeineh.

Unas horas antes, Suha Arafat, la viuda del fallecido presidente palestino, había pedido la exhumación de los restos mortales a la vista de la información publicada este martes por la cadena de televisión qatarí Al Yazira, según la cual Arafat pudo ser envenenado con polonio-210.

El reportaje de Al Yazira indica que durante una investigación realizada por el Instituto de Radiofísica de Lausana (Suiza), se encontraron grandes cantidades de esa sustancia radiactiva en prendas del fallecido ocho años después de su deceso. Sin embargo, los síntomas descritos en los informes médicos del presidente no concuerdan con los efectos del polonio-210.

El director del comité, Tawfiq Tirawi, aseguró que su comité ya había encontrado inconsistencias en torno a las causas de la muerte de Arafat, pero que sus investigaciones, llevadas a cabo bajo la ocupación israelí, tienen capacidades limitadas, según ha informado la agencia palestina Maan.

En este sentido, Tirawi señaló que, al especificar la sustancia –en referencia a los isótopos de polonio-210–, la investigación de Al Yazira ha simplificado los trabajos del comité. Asimismo, apuntó que, en caso de que la autopsia confirme que Arafat fue asesinado, el comité investigará quién fue el responsable, aunque vaticinó que dicha investigación podría llevar mucho tiempo.

Así, Tirawi recalcó que conseguir resultados exactos es más importante que concluir la investigación de forma rápida, al tiempo que ha apuntado que la Organización para la Liberación de Palestina (OLP), la Autoridad Palestina y el movimiento Al Fatá están preparados para cooperar con todas las partes en la investigación.
MUERTE MISTERIOSA

El que fuera presidente de la Autoridad Palestina falleció en noviembre de 2004 en París a los 75 años de edad, unos días después de ser ingresado. Fue el fundador del movimiento Al Fatá, que se uniría a la Organización para la Liberación de Palestina (OLP) y más tarde se convertiría en partido.

Líder de las guerrillas palestinas y considerado un traidor por los grupos más radicales por aceptar en la década de 1970 la existencia de Israel, negoció los Acuerdos de Madrid y de Oslo de los años noventa, la opción más clara de paz a la que estuvieron a punto de llegar Israel y los Territorios Ocupados Palestinos en 60 años de conflicto.

Ocho años después, se desconoce la verdadera causa de la muerte de Arafat, ya que los médicos franceses que lo trataron dijeron que no habían podido establecerla, aunque entonces los medios hablaron de una enfermedad relacionada con el riñón o de cáncer.

Los medios de comunicación sugirieron después de su fallecimiento que el responsable podría ser el Mossad, el servicio de inteligencia exterior de Israel.

Arafat estuvo encerrado desde diciembre de 2001 en su residencia en Ramala después de que el Gobierno israelí decidiera restringir su libertad de movimientos como castigo por su presunta implicación en las acciones armadas de las facciones palestinas. En octubre de 2004 permitió que se marchara por motivos de salud.
SOBRE AL MAYADEEN

El canal de televisión que aireó el vídeo fue fundado en junio de este año en Líbano y su presidente es el periodista Ghassan bin Jiddo, quien cuenta con la doble nacionalidad tunecino-libanesa. Según proclama la cadena, surge con la voluntad de ejercer un efecto de contrapeso a la influencia de Al Yazira y Al Arabiya, fundadas y financiadas por Qatar y Emiratos Árabes Unidos (EAU), respectivamente.

Bin Jiddo explicó antes del lanzamiento del canal que el proyecto es «libre e independiente», en medio de rumores que apuntan a que el canal está siendo financiado por Irán y el empresario sirio Rami Majluf, primo del presidente sirio Bashar al Assad. Sin embargo, el presidente de Al Mayadeen desmintió estas informaciones y aseguró que el proyecto está siendo por un empresario árabe, cuyo nombre no facilitó.

Bin Jiddo trabajó en Al Yazira, cadena que abandonó tras criticar la cobertura del canal de las protestas en el marco de la Primavera Árabe y denunció que el canal estaba realizando una cobertura total en Libia, Yemen y Siria al tiempo que ignoraba los eventos en Bahréin. Previamente, trabajó para la cadena británica BBC y para el diario panárabe ‘Al Hayat’, cuyo director viceministro de Defensa de Arabia Saudí, el príncipe Jalid bin Sultan.

Bin Jiddo es un reconocido periodista en la región por la entrevista que realizó al líder del partido-milicia chií libanés Hezbolá, Hassan Nasralá, que le convirtió en el primer periodista en entrevistarle. Posteriormente, consiguió éxito al presentar el programa Diálogo Abierto, en Al Yazira, uno de los más vistos del canal.
Por otra parte, el director de informativos de Al Mayadeen es Alí Hashem, ex corresponsal de Al Yazira en Líbano que dimitió en abril después de que la cadena se negara a mostrar unas imágenes que tomó en las que se veía a combatientes armados enfrentándose al Ejército sirio en la provincia libanesa Wadi Jaled. Asimismo, criticó la negativa de la cadena a dar cobertura a las protestas pro democráticas en Bahréin

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Le Monde Diplomatique

¿Sadismo? Sí, sadismo. ¿Cómo llamar de otro modo esa complacencia en causar dolor y humillación a personas? En estos años de crisis, hemos visto cómo –en Grecia, en Irlanda, en Portugal, en España y en otros países de la Unión Europea (UE)– la inclemente aplicación del ceremonial de castigo exigido por Alemania (congelación de las pensiones; retraso de la edad de jubilación; reducción del gasto público; recortes en los servicios del Estado de bienestar; merma de los fondos para la prevención de la pobreza y de la exclusión social; reforma laboral, etc.) ha provocado un vertiginoso aumento del desempleo y de los desahucios. La mendicidad se ha disparado. Así como el número de suicidios.

A pesar de que el sufrimiento social alcanza niveles insoportables, Angela Merkel y sus seguidores (entre ellos Mariano Rajoy) continúan afirmando que sufrir es bueno y que ello no debe verse como un momento de suplicio sino de auténtico júbilo. Según ellos, cada nuevo día de castigo nos purifica y regenera y nos va acercando a la hora final del tormento. Semejante filosofía del dolor no se inspira en el Marqués de Sade sino en las teorías de Joseph Schumpeter, uno de los padres del neoliberalismo, quien pensaba que todo sufrimiento social cumple de algún modo un objetivo económico necesario y que sería una equivocación mitigar ese sufrimiento aunque sólo fuese ligeramente.

En eso estamos. Con una Angela Merkel en el rol de “Wanda, la dominadora”, alentada por un coro de ­fanáticas instituciones financieras (Bundesbank, Banco Central Europeo, ­Fondo Monetario Internacional, Organización Mundial del Comercio, etc.) y por los eurócratas adictos de siempre (Durao Barroso, Van Rompuy, Ollie Rehn, Joaquín Almunia, etc.). Todos apuestan por un masoquismo popular que llevaría a los ciudadanos no sólo a la pasividad sino a reclamar más expiación y mayor martirio “ad maiorem gloria Europa”. Hasta sueñan con eso que los medios policiales denominan “sumisión química”, unos fármacos capaces de eliminar total o parcialmente la conciencia de las víctimas, convertidas sin quererlo en juguetes del agresor. Pero deberían ir con cuidado, porque la “masa” ruge.

En España, donde el Gobierno de Mariano Rajoy está aplicando políticas salvajes de austeridad al límite precisamente del “sadismo” (1), las expresiones de descontento social se multiplican. Y eso en un contexto de enorme desconcierto, en el que, de repente, los ciudadanos constatan que a las crisis económica y financiera se suma una grave crisis de gobernación. Simultáneamente, varios pilares fundamentales del edificio del Estado se resquebrajan: la Corona (con el tétrico asunto de la caza del elefante en Bostwana), el Poder judicial (con el cochambroso caso Dívar), la Iglesia (que no paga el Impuesto sobre Bienes Inmuebles, IBI), el sistema bancario (del que nos afirmaban que era el “más sólido” de Europa y constatamos que se desmorona), el Banco de España (incapaz de alertar sobre Bankia y otras quiebras espectaculares), las Comunidades Autónomas (sumidas algunas de ellas en abismales escándalos de corrupción), los grandes medios de comunicación (excesivamente dependientes de la publicidad y que ocultaron las calamidades por venir)…

Sin hablar del propio Gobierno cuyo Presidente, en un momento en el que España (con Grecia) se ha convertido en el eje de los problemas del mundo, parece avanzar sin brújula. Y quien, frente a preguntas fundamentales, o da la callada por respuesta o contesta con expresiones surrealistas (“Vamos a hacer las cosas como Dios manda”), o sencillamente sostiene contraverdades (2). Mariano Rajoy y su equipo económico tienen una gran responsabilidad en el desastre actual. Han dirigido la crisis bancaria con evidente torpeza; han dejado descomponerse el caso de Bankia; han transformado una clara situación de quiebra en un pulso con Bruselas, el Banco Central Europeo y el FMI; han practicado el negacionismo más necio, pretendiendo hacer pasar un rescate de consecuencias gravísimas para la economía española como un crédito barato y sin condiciones (“Es un apoyo financiero que no tiene nada que ver con un rescate”, declaró Luis de Guindos; “Lo que hay es una línea de crédito que no afecta al déficit público”, afirmó Rajoy).

Todo esto da la penosa impresión de un país que naufraga. Y cuyos ciudadanos descubren de pronto que tras as apariencias del “éxito económico español”, pregonado durante lustros por los gobernantes del PSOE y del PP, se escondía un modelo (el de la “burbuja inmobiliaria”) carcomido por la incompetencia y la codicia.

En cierta medida, comprendemos ahora –muy a expensas nuestras– uno de los grandes enigmas de la historia de España: ¿cómo fue posible que, a pesar de las montañas de oro y plata traídas de América por el Imperio colonizador y explotador, el país se viese convertido, a partir del siglo XVII, en una suerte de “corte de los milagros “llena de mendigos, desamparados y pordioseros? ¿Qué se hizo de tamaña riqueza? La respuesta a estas preguntas la tenemos hoy ante los ojos: incompetencia y miopía de los gobernantes, codicia infinita de los banqueros.

Y el castigo actual no ha terminado. Después de que la agencia Moody’s, el pasado junio, rebajara la nota de la deuda española en tres escalones, desde A3 hasta Baa3 (uno por encima del “bono basura”), la prima de riesgo llegó hasta límites insostenibles. La solvencia española está en la pendiente que conduce a un rescate. Y tanto el rescate de la banca como el rescate de la deuda pública tendrán un ­coste social terrorífico. En su informe anual sobre España, el Fondo Monetario Internacional, por ejemplo, ya está reclamando que el Gobierno suba el IVA y que apruebe lo antes posible una nueva disminución del sueldo de los funcionarios para reducir el déficit. Además, en un documento de trabajo, los expertos del Fondo recomiendan a España que rebaje aún más el despido, reclaman el contrato único y que se evite la actualización automática de los sueldos (3).

La Comisión Europea recomienda igualmente la subida del IVA, y la adopción de nuevas medidas “austeritarias”: el retraso de la edad de jubilación, el control del gasto en las Comunidades, el endurecimiento de las prestaciones por desempleo, la eliminación de la desgravación por vivienda y la reducción del volumen de la Administración Pública. Todo antes de 2013. Ya que no se puede devaluar el euro, se trata de devaluar a todo un país, rebajando su nivel de vida de un 20 a un 25%…

Por su parte, la canciller alemana exige que España continúe con las profundas reformas económicas y fiscales. A pesar de la canina fidelidad que le manifiesta Rajoy, Merkel se opone con uñas y dientes a cualquier medida del Gobierno que suponga para España ceder en el camino de la austeridad y de las reformas estructurales. Berlín quiere aprovechar el “shock” creado por la crisis, y la posición dominante de Alemania para conseguir un viejo objetivo: la integración política de Europa a las condiciones germanas. “Nuestra tarea hoy –declaró Merkel en un discurso ante el Parlamento alemán– es compensar lo que no se hizo [cuando el euro fue creado] y acabar con el círculo vicioso de la deuda eterna y de no cumplir las normas. Sé que es arduo, que es doloroso. Es una tarea hercúlea, pero es inevitable”. Algunos comentaristas hablan ya del IV Reich…

Porque, si se produce el “salto federal” y se avanza hacia una unión política, eso significa que cada Estado miembro de la UE tendrá que renunciar a considerables partes de su soberanía ­nacional. Y que una instancia central podrá interferir directamente en los presupuestos y los impuestos de cada Estado para imponer el cumplimiento de los acuerdos. ¿Cuántos países están dispuestos a abandonar tanta soberanía nacional? Si ceder parte de la soberanía es inevitable en un proyecto de integración político como la Unión Europea, existe sin embargo una diferencia entre federalismo y neocolonialismo… (4).

En los Estados sometidos a rescates –España, entre otros– estas importantes pérdidas de soberanía ya son efectivas (5). Desmintiendo a Rajoy, el ministro alemán de Finanzas, Wolfgang Schäuble, afirmó que la troika (BCE, Comisión Europea y FMI) controlará la reestructuración de la banca en España (6). Esa troika gobernará la política fiscal y macroeconómica para ­seguir imponiendo reformas y recortes y para asegurar la prioridad del cobro de la deuda que los bancos españoles tienen con la banca europea, y principalmente alemana (7). España dispone pues, desde junio pasado, de menos libertad, menos soberanía de su sistema financiero y menos soberanía fiscal.

Todo ello sin ninguna garantía de salir de la crisis. Al contrario. Como lo recuerdan los economistas Niall Ferguson y Nouriel Rubini: “La estrategia actual de recapitalizar los bancos a base de que los Estados pidan prestado a los mercados nacionales de bonos –o al Instrumento Europeo de Estabilidad Financiera (IEEF) o a su sucesor, el Mecanismo Europeo de Estabilidad (MEDE)– ha resultado desastrosa en Irlanda y Grecia: ha provocado una explosión de deuda pública y ha hecho que el Estado sea todavía más insolvente, al tiempo que los bancos se convierten en un riesgo mayor en la medida en que más parte de la deuda pública está en sus manos” (8).

Pero entonces, si no funcionan ¿por qué se mantienen esas sádicas políticas de “austeridad hasta la muerte”? Porque el capitalismo se ha puesto de nuevo en marcha y se ha lanzado a la ofensiva con un objetivo claro: acabar con los programas sociales del Estado de bienestar implementados después del final de la Segunda Guerra Mundial y de los que Europa es el último santuario.

Pero, como decíamos más arriba, debería ir con cuidado. Porque las “masas” están rugiendo…

NOTAS:

1) Léase Conn Hallinan, “Spanish Austerity Savage to the Point of Sadism”, Foreign Policy in Focus, Washington DC, 15 de junio de 2012. http://www.fpif.org/ blog/the_pain_in_spain_falls_mainly_on_the_plain_folk

(2) Léase Ignacio Escolar, “Las siete grandes mentiras sobre el rescate español”, Escolar.net, 11 de junio de 2012. http://www.escolar.net/MT/archives/2012/06/las-siete-grandes-mentiras-sobre-el-rescate-espanol.html

(3) El País, Madrid, 15 de junio de 2012.

(4) Léase Niall Ferguson, Nouriel Roubini, El País, Madrid, 10 de junio de 2012. Léase también, Ignacio Ramonet, “Nuevos protectorados”, Le Monde diplomatique en español, marzo de 2012.

(5) Una prueba de la mentalidad de neocolonizados es el esperpéntico proyecto Eurovegas que se disputan las Comunidades de Madrid y de Cataluña, basado en la especulación urbanística y financiera, y asociado al “aumento del blanqueo de capitales, la prostitución, las ludopatías y las mafias”. Consúltese la plataforma Aturem Eurovegas: http://aturemeurovegas.wordpress.com

(6) El País, Madrid, 14 de junio de 2012.

(7) Vicenç Navarro, Juan Torres, “El rescate traerá más recortes y no sirve para salir de la crisis”, Rebelión, 15 de junio de 2012. http://www.rebelion.org/noticia.php?id=151370

(8) V

 

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Por Asier Martiarena

Es habitual en estos tiempos de recortes, despidos y paro que a mucha gente le sobre mucho mes al final del sueldo, pero a algunos directamente les sobra mucho tiempo libre en lugar de sueldo. Es el caso de la Policía Local del Ayuntamiento de Colmenar de Oreja, en Madrid, cuya denuncia ha sido remitida a este blog de Yahoo!.

Carta remitida al Ayuntamiento de Colmenar de Oreja.Allí, sus agentes han visto cómo al recorte salarial que aplicó el anterior Gobierno a los funcionarios se le ha unido una nueva rebaja por parte del Consistorio. Esta nueva bajada vendría a ser de unos 235 euros al mes tomando como base un salario medio.
Sin embargo, tantos recortes en personal obligan a doblar turnos en las Fuerzas del Orden para mantener la seguridad en las calles.  Es decir, horas extra. Pero esas horas extra no están siendo remuneradas ya que no hay dinero en las arcas, así que, en su lugar, la corporación municipal ha decidido canjearla con días libres.

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En ese sentido, uno de los agentes del pueblo, Luis Fernando Benavente, ha decidido plantear un curioso trueque para sacar adelante a su familia. Para ello ha remitido una carta al alcalde de la localidad, el popular Francisco José García Paredes.
En ella expone que debido a la crisis económica que afecta a España y a las administraciones, su alcalde le obliga a que todas las horas extras que deba hacer por razón de su cargo sean canjeadas por tiempo libre.

Y dado que con tiempo libre no puede pagar en el pueblo los alimentos y ropa que necesitan los suyos, ha solicitado que todos los impuestos relativos a su domicilio sean cobrados en tiempo libre. Un bien del que asegura «disponer en abundancia». En su exposición el agente insiste en que la Administración local debería aceptarlo dado que es la misma moneda en la que se le pagan las horas extraordinarias por parte del Consistorio.

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