Mesdames et Messieurs les Juges:
Un avocat n’a jamais eu à exercer leur métier dans des conditions difficiles, jamais contre un défendeur avait commis une telle masse écrasante des irrégularités. L’autre, sont dans ce cas la même personne. Comme un avocat, ne pouvait pas même pas voir le résumé et, en tant que défendeur, fait aujourd’hui soixante-six jours, ce qui est enfermé dans une cellule solitaire, totalement et absolument au secret, au-dessus de toutes les exigences de l’homme et juridique.
Qui parle de toute son âme hait la vanité puérile et ne sont ni son esprit ni son tempérament pose ou le sensationnalisme tribune d’aucune sorte. Si je devais prendre ma propre défense devant ce tribunal est due à deux raisons. Un: parce que j’étais presque totalement privés de celle-ci; une autre, parce que seuls ceux qui ont été blessés si profondément, et vu le pays tellement impuissant et de la justice avilie peut parler à un moment comme celui-ci avec des mots qui sont le cœur et le sang entrailles de la vérité.
Pas de pénurie de son compatriote généreux qui voulais me défendre, et l’Association du Barreau de La Havane a nommé pour me représenter dans ce cas à un avocat compétent et courageux: le Dr Jorge Pagliery, doyen du Collège de cette ville. Il n’a pas été autorisé, toutefois, de remplir sa mission: les portes de la prison ont été fermés pour lui à plusieurs reprises essayant de me voir qu’après six semaines, en raison de l’intervention de la Cour, a été accordé dix minutes pour me rencontrer en présence un sergent du Service de renseignement militaire. Il est supposé que l’avocat doit s’entretenir en privé avec son client, sauf s’il s’agit d’un prisonnier de guerre cubaine dans les mains d’un despotisme implacable qui ne reconnaît pas les règles de l’homme ou morale. Ni le médecin ni moi Pagliery est devenu prêt à tolérer cette sale nos armes pour contrôler le procès. Auraient-ils éventuellement connaître à l’avance quelles sont les ressources seraient réduits à la poussière des grands mensonges qui ont été construits autour des faits de la caserne de la Moncada et retiré à la lumière des vérités terribles qu’il voulait cacher à tout prix? Il fut alors décidé que l’utilisation de ma capacité en tant qu’avocat, je me suis assumer ma propre défense.
Cette décision, entendu et transmis par le sergent SIM, conduit à peurs inhabituelles, il semble que certains sprite moqueur a été heureux en disant que parce que mes plans étaient d’aller terriblement mal, et vous savez très bien, Mesdames et Messieurs les juges, combien de pression a été exercée Je despojase de ce droit également consacré à Cuba par une longue tradition. Le tribunal ne pouvait pas adhérer à ces revendications, car il était déjà un congé défendeur dans impuissance. Ce défendeur, qui est maintenant l’exercice de ce droit, pour une raison quelconque dans le monde ce à dire se taire. Et je considère être expliqué, tout d’abord, et pourquoi il était féroce auquel j’ai été soumis à l’isolement, quel est le but de me réduire au silence, pourquoi les plans ont été couvés, quels sont les événements graves que vous voulez masquer le peuple, qui est le secret de toutes les choses étranges qui se sont produites dans ce processus. C’est ce que j’ai l’intention de le faire en toute clarté.
Vous avez appelé ce point de vue du public comme le plus mémorable dans l’histoire de la République, et qui ont cru sincèrement, Tu aurais dû ne vous laissera pas la tache avec un paquet de blagues à votre autorité. La première session de l’essai était le 21 Septembre. Parmi une centaine de mitrailleuses et des baïonnettes, scandaleusement envahir la salle d’audience, plus d’une centaine de personnes se trouvaient dans la cale. Une grande majorité était étrangère aux faits et gardé la garde pendant plusieurs jours, après avoir subi toutes sortes d’abus et de mauvais traitements dans les cellules de la répression, mais le reste des accusés, qui était le plus petit nombre, étaient galamment cabinet prêts à confirmer leur participation fièrement dans la bataille pour la liberté, donner un exemple de l’auto-sacrifice sans précédent et sans les griffes de la prison pour ce groupe de personnes avec toute la mauvaise foi avait été inclus dans le processus. Ceux qui avaient combattu une fois de plus sur le visage. Encore une fois une cause juste de notre côté, serait menée contre le crime terrible pour lutter contre la vérité. Et il n’a certainement pas s’attendre à une catastrophe morale du régime a été à venir!
Comment maintenir toutes ses fausses accusations? Comment faire pour empêcher savait réellement ce qui s’était passé, alors que ce nombre de jeunes avait eu lieu, lorsque que le nombre de jeunes gens étaient prêts à prendre tous les risques: prison, torture et la mort, si nécessaire, à dénoncer la cour?
Dans cette première session, j’ai été appelé à témoigner et a été interrogé pendant deux heures, répondre aux questions de Monsieur le Procureur et vingt avocats de la défense. Vous pouvez tester avec des chiffres exacts et des données irréfutables des sommes d’argent investies, la façon dont ils ont été obtenus et les armes que nous pouvons rassembler. Il n’avait rien à cacher, parce qu’en réalité tout avait été réalisé avec des sacrifices sans précédent dans nos concours républicains. J’ai parlé des fins qui nous ont inspirés dans la lutte et le comportement humain et généreux, à tout moment nous avons eues avec nos adversaires. Si je pouvais accomplir ma tâche de démontrer la non-participation, directement ou indirectement, tous les accusés à tort à la cause, je le dois à l’engagement total et le soutien de mes camarades héroïques, ils ont dit qu’ils ne seraient pas de honte et de repentir de statut de révolutionnaires et les patriotes d’avoir à subir les conséquences. Ne me laisse jamais leur parler en prison, et encore faire exactement la même pensée. Est-ce que lorsque les hommes sont dans l’esprit le même idéal, rien ne peut incomunicarlos, murs de la prison ni la terre ni des cimetières, parce que la même mémoire, la même âme, la même idée, la même conscience et la dignité les encourage à tout le monde.
A partir de ce moment, a commencé à s’écrouler comme un château de cartes de construction des mensonges infâmes que le gouvernement avait soulevées au sujet des faits, avec le résultat que Monsieur le Procureur réalisé à quel point il était absurde de garder prison intellectuelle, en leur demandant immédiatement pour libertas provisoires .
Terminé mes déclarations dans cette première session, j’avais demandé la permission du tribunal à quitter le quai et une place parmi les avocats de la défense, qui, en effet, on m’a accordé. Il a commencé pour moi alors la mission qu’il considérait comme plus important dans ce procès: totalement détruire les calomnies lancées contre nos lâches combattants et de donner des preuves irréfutables des crimes affreux et dégoûtant qui ont été commis avec les prisonniers, montrant dans la face de la nation et le monde le malheur infini de ces personnes qui souffrent de l’oppression la plus cruelle et inhumaine de leur histoire.
La deuxième session était le mardi 22 Septembre. Ils avaient à peine une dizaine de personnes donnant des preuves et avait réussi à effacer les meurtres dans la région de Manzanillo, en particulier l’établissement et ce qui en fait le dossier, la responsabilité directe du chef maître de ce poste militaire. Encore pas de déclarer trois cents personnes. Quel serait quand, avec une quantité énorme de données et les preuves recueillies, passez à la question, devant le tribunal de responsables militaires responsables de ces événements? Le gouvernement pourrait me permettre de faire une telle chose dans la présence du large public assister aux séances, les reporters de journaux, des avocats à travers l’île et les dirigeants des partis d’opposition qui avait bêtement assis au banc des accusés de sorte que maintenant ils pouvaient entendre tout de très près il est diffusé? Première dynamitage de l’audience, avec tous ses juges, qui lui permettent!
Conçue me retirer et procédé à l’instruction par les militaires eux. Le vendredi Septembre 25 à la nuit, la veille de la troisième session, il y avait deux médecins dans ma cellule assis dans ma cellule il y avait deux médecins de la prison, étaient visiblement en détresse, «Nous venons de vous interroger,» ils ont dit. «Et qui se soucie tellement de ma santé?» -J’ai demandé. En fait, depuis que j’ai vu il a compris le but. Ils ne pouvaient pas être plus de chevaliers et de me dire la vérité: cet après-midi avait été en prison le colonel Chaviano et m’a dit «je faisais jugement de terribles dommages que le gouvernement,» qui a dû signer une déclaration certifiée veiller à ce que qu’il était malade et ne pouvait donc pas continuer à assister aux séances. J’ai également exprimé les médecins qui, à leur tour, étaient prêts à démissionner de leurs postes et être exposé à des persécutions, qui a mis la question dans mes mains à moi de décider. Pour moi, il était difficile de demander à ces hommes qui se sont fait exploser sans prendre en considération, mais ne pouvait consentir, en aucun cas, de procéder à de telles fins. Pour se rendre à leur propre conscience, je répondrai simplement: «Vous savez ce que votre devoir, je sais bien ce qui est le mien.»
Ils se sont retirés après avoir signé le certificat, je sais qu’ils ont fait parce qu’ils croyaient en toute bonne foi que c’était la seule façon de sauver la vie qu’ils ont vu dans un danger extrême. J’ai promis de garder le silence sur ce dialogue, je suis juste engagé à la vérité, et si vous dites que dans ce cas pourrait nuire aux intérêts matériels de ces bonnes gens, le doute propre quitter votre honneur, que vaut beaucoup plus. Cette nuit-là, j’ai écrit une lettre à la cour, affirmant que le plan était à pied, en demandant une visite de deux médecins légistes pour certifier ma bonne santé et d’exprimer que si, pour sauver ma vie, devait permettre une telle supercherie, préférant perdre mille fois. Pour laisser entendre qu’il était déterminé à lutter seul contre une telle bassesse, j’ai ajouté à mon écriture de la pensée du Maître: «Un principe juste des profondeurs d’une grotte est plus qu’une armée.» Telle était la lettre qui, comme vous le savez la cour, présenté par le Dr Melba Hernandez à la troisième session du procès du 26 septembre. J’ai réussi à y arriver, malgré la surveillance incessante ont pesé sur moi. A l’occasion de la lettre, bien sûr, a pris des représailles immédiates au secret à M. Hernandez, et moi, comme je l’étais, j’ai été confiné à l’endroit le plus éloigné de la prison. Par la suite, les accusés ont été enregistrées dans le détail, de la tête aux pieds avant de quitter pour le procès.
Coroners est venu le 27 et a certifié que, en fait, était parfaite santé. Cependant, malgré les ordres judiciaires répétés, je ne peux pas ramener n’importe quelle session du procès. Ajoutez à cela que chaque jour a été distribué par des personnes inconnues, des centaines de brochures apocryphes, qui parlaient de sauvetage de prison, excuse stupide d’éliminer physiquement le prétexte de l’évasion. Ces fins par échoué en temps opportun de rapports et d’alertes amis et a découvert la fausseté du certificat médical, aucune autre ressource qui leur est laissée pour éviter ma présence lors du procès, qui manque de respect flagrant ouvert et …
Cas inhabituels qui se déroulait, messieurs les juges: un régime qui avait peur de présenter un accusé devant les tribunaux, un régime de terreur et de sang, qui a effrayé la conviction morale à un homme sans défense, sans armes, l’isolement et calomnié . Ainsi, après avoir privé de tout, j’ai finalement privé du procès qui était le principal accusé. Notez que cela a été fait d’être pleinement en vigueur de la suspension des garanties et de travail loi sur l’ordre public et la censure rigoureuse de la radio et la presse écrite. Qu’est-ce que commis des crimes atroces de ce régime craint la voix d’un défendeur!
Je tiens à souligner que l’attitude insolente et irrespectueuse sur vous en tout temps ont maintenu les commandants militaires. Combien de fois ce tribunal a ordonné de cesser l’isolement inhumain qui pesait sur moi, le plus souvent commandé mes droits les plus élémentaires respectés, aussi souvent exigé que je soumets à un procès, n’a jamais été obéi, un par un, ils ont défié toutes les commandes. Pire encore, dans la présence même de la cour, dans la première et deuxième sessions, je me tenais à côté d’un appel urgent pour m’empêcher de parler à qui que ce soit, même en période de récession, ce qui signifie que, non en prison, mais même dans la même audience et en votre présence, n’a pas fait la moindre attention à vos règles. Pensée de soulever cette question à la prochaine réunion comme une question d’honneur élémentaire de la cour, mais … Je n’ai jamais retourné. Et si, pour un manque de respect tant, nous vous apportons ici pour nous envoyer en prison, au nom d’une loi qu’ils sont les seuls et ils sont les seuls violer depuis Mars 10, triste malade est le rôle que vous voulez imposer. N’a certainement pas été respectées dans ce cas, même une fois la maxime latine: cedant arma togae. Je vous en supplie à l’esprit cette circonstance.
De plus, toutes les mesures étaient complètement inutiles, parce que mes braves camarades, avec une politesse sans précédent, est parfaitement conforme à leur devoir.
«Oui, nous sommes venus à se battre pour la liberté à Cuba et ne regrette pas d’avoir fait», a déclaré un par un, quand ils ont été appelés à témoigner, et immédiatement, à la virilité impressionnante, s’adressant à la cour, a dénoncé les crimes horribles qui ont été commises dans les corps de nos frères. Bien que l’absence, j’ai pu suivre le processus de ma cellule dans les moindres détails, grâce à des détenus de la prison de Boniato que, malgré toutes les menaces de punition sévère, ils ont utilisé des moyens ingénieux de mettre dans mes mains et de coupures de journaux informations de toutes sortes. Ainsi vengé les abus et les immoralités de l’administrateur et vice-directeur de Taboada Rosabal que de les faire travailler de l’aube au crépuscule, la construction des hôtels particuliers, et au cours de la faim de subsistance détournement de fonds.
Alors que le procès mis au point, les rôles étaient inversés: ceux qui sont venus pour accuser accusé et l’accusé sont devenus les accusateurs. Il a été jugé là pour les révolutionnaires, ont été jugés à jamais à un homme du nom de Batista … Monstrum horrendum! … Peu importe que les hommes courageux et digne jeunes ont été condamnés, si demain les gens vont condamner le dictateur cruel et ses sbires. L’île des Pins a été envoyé, habite toujours dans la circulaire dont le spectre de Castells et n’est pas éteint même le cri de tant de morts, il ya eu à purger, en captivité amère, son amour de la liberté, enlevé de la la société, arrachés à leurs foyers et banni du pays. Ne pensez-vous, comme je l’ai dit, que dans de telles circonstances est désagréable et difficile pour l’avocat de remplir sa mission?
À la suite de troubles nombreux et machinations illégales, par la volonté de ceux qui gouvernent et de la faiblesse de ceux qui jugent, je suis ici, dans cette petite chambre de l’hôpital civil, où j’ai été amené à être jugé en secret, donc je ne peux pas entendre, ma voix est éteint et que personne ne connaît les choses que je dis. Qu’est-ce que le besoin que l’imposition de Palais de Justice dont les Honorables Juges sera trouvé, certainement beaucoup plus à l’aise? Il n’est pas approprié, je vous préviens, que la justice à partir d’une chambre d’hôpital entouré de gardes armés de baïonnettes fixées, parce que le public pourrait penser que notre justice est malade … et lié.
Je vous rappelle que vos lois de procédure prévoient que le jugement sera «orale publique», mais a été complètement empêché l’entrée de la ville lors de cette réunion. Avez n’a laissé que deux avocats et six journalistes, dont les journaux de la censure ne publiera pas un mot. Je vois que je n’ai seule audience dans le hall et les couloirs, près d’une centaine soldats et officiers. Je vous remercie de votre aimable attention que grave et je paient! Je souhaite que j’avais devant moi toute l’armée! Je sais qu’un jour il va brûler du désir de laver la honte et terrible tache de sang sur l’uniforme ont lancé des ambitions militaires de la clique impitoyable. Alors malheur à ceux qui maintenant rouler confortablement sur son noble guerrier … si les gens n’ont pas retiré beaucoup plus tôt!
Enfin, je ne dois pas le laisser aller à ma cellule de prison sans traité de droit pénal. Je ne peux avoir ce code minuscule juste me donner un avocat, le défenseur courageux de mes collègues: le Dr Baudilio Castellanos. De même interdit arrivé à mes mains les livres de Martí; semble que la censure de prison les a jugées trop subversives. Ou est-ce parce que j’ai dit Martí était le cerveau derrière du 26-Juillet? Il apporte également empêché à ce procès un travail de référence sur tout autre sujet. Il n’a pas d’importance du tout! J’ai dans mon cœur les doctrines du Maître et de la pensée des idées nobles de tous les hommes qui ont défendu la liberté des peuples.
Une seule chose que je vais demander à la cour, je l’espère, en retour de me donner plus tellement et l’anarchie comme on l’a eu à souffrir de cette partie défenderesse sans aucune protection de la loi: de respecter mon droit d’exprimer librement. Mais il ne peut pas être rempli ou la simple apparence de la justice et le dernier maillon serait plus que tout autre, de honte et de lâcheté.
J’avoue que quelque chose j’ai été déçu. Je croyais que M. le procureur viendrait avec une terrible accusation, prêts à justifier l’ad nauseam réclamation et les raisons pour lesquelles le nom de la loi et la justice, et ce droit et ce que la justice? -Je devrais être condamné à vingt ans de prison. Mais non. A été limitée exclusivement pour lire l’article 148 du Code de défense sociale, par lequel, les circonstances aggravantes plus, les demandes pour moi une quantité respectable de vingt-six ans de prison. Deux minutes ne semble pas le temps de demander et de justifier l’ombre d’un homme passe sur un quart de siècle. Etes-vous par un procureur de chance M. dégoûté de la cour? Parce que, comme je regarde, sa brièveté dans ce cas est face à face avec la solennité avec laquelle les Honorables Juges a déclaré, un peu fière, que ce fut un processus très important, et j’ai vu les procureurs Messieurs parler dix fois plus en juste une affaire de drogue héroïque pour demander que le citoyen est condamné à six mois de prison. Monsieur le Procureur n’a pas prononcé un seul mot pour appuyer votre demande. Je suis juste … Je comprends qu’il est difficile pour un procureur qui ne jurait d’être fidèle à la Constitution de la République, de venir ici au nom d’un gouvernement inconstitutionnel, factuelle, la statuaire, en toute moralité légale et moins, de demander à un jeune Cuba, un avocat comme lui, peut-être … comme décent, comme il est envoyé pendant vingt-six ans de prison. Mais l’avocat de M. est un homme talentueux et j’ai vu des gens avec moins de talent que lui écrire de longues tirades à la défense de cette situation. Comment, alors, croire que l’absence de raisons à défendre, même pour une quinzaine de minutes, tant de dégoût que cela inspirera toute personne décente? Certes, dans le fond de cela, il ya un grand complot.
Mesdames et Messieurs les Juges: Pourquoi un tel intérêt en moi venir? Pourquoi, même la suspension de toutes sortes d’arguments pour ne présentant pas de cible contre laquelle je ne peux diriger l’attaque de mes arguments? Est-ce que manque totalement de fondement juridique et politique morale de faire une approche sérieuse de la question? Ont-ils si peur de la vérité? Ne vous voulez que je parle aussi de deux minutes et ne pas toucher ici les points que certaines personnes n’ont pas dormi depuis Juillet 26 ‘Al confinent la demande des poursuites à la simple lecture de cinq lignes d’un article du Code de la défense sociale , on pourrait penser que je restreint à la même chose et faire le tour et autour d’eux, comme un esclave dans une meule de moulin. Mais je n’accepterai pas de quelque façon que gag, parce que dans ce procès est en cours de discussion plus que la liberté d’un individu: nous abordons des questions fondamentales de principe, est jugé sur le droit des hommes à être libre, traite de la fondements de notre existence en tant que nation civilisée et démocratique. Une fois terminé, je n’aurai pas à me reprocher n’ont laissé pour défendre principe, la vérité est, aucun crime non déclarée.
Le fameux M. articulejo procureur ne mérite pas même une minute pour répondre. Je me limiterai pour l’instant, à se battre contre lui une brève escarmouche légale, parce que je veux effacer le champ pour quand vient le temps de jouer le massacre contre tous les mensonges, la tromperie, l’hypocrisie, la lâcheté et conventionnalisme moral qui illimitée sous-tendent cette comédie brut, à partir de Mars 10 et même avant le 10 Mars, appelé la justice à Cuba.
C’est un principe élémentaire du droit pénal que l’acte allégué doit être conforme au type d’infraction prévue par la loi. Si aucune loi s’applique exactement à la question qui se pose, aucune infraction.
L’article en question se lit comme suit: «Il doit être imposé une peine d’emprisonnement de trois à dix ans de l’auteur d’un événement visant à promouvoir un soulèvement des hommes armés contre les pouvoirs constitutionnels de l’État La peine est l’emprisonnement de cinq ans. à vingt ans si elles portent l’insurrection. «
Quel est le pays connaît, procureur de M.? Qui vous a dit que nous avons promu un soulèvement contre les pouvoirs constitutionnels de l’État? Deux choses ressortent en vue. Tout d’abord, la dictature qui opprime la nation n’est pas un pouvoir constitutionnel, mais contraire à la Constitution, a été conçu contre la Constitution, au-dessus de la Constitution, violation de la Constitution légitime de la République. Constitution légitime est celle qui émane directement du peuple souverain. Ce point est de démontrer pleinement plus tard, contre toute la pruderie qui a inventé les lâches et les traîtres à justifier l’injustifiable. Deuxièmement, les article parle de puissances, c’est à dire, au pluriel, pas singulier, parce qu’elle a considéré le cas d’une république gouvernée par une assemblée législative, un comité exécutif et un pouvoir judiciaire qui est l’équilibre et le contrepoids de l’autre. Nous avons promu la rébellion contre un pouvoir illégitime unique, qui a usurpé et de mettre ensemble dans un le cadre législatif et exécutif de la nation, détruire l’ensemble du système juste essayer de protéger l’article du Code en cours d’analyse. En ce qui concerne l’indépendance de la magistrature après Mars 10, ou même de parler, parce que je ne suis pas pour les blagues … Autant que pour étirer, rétrécir ou à réparer, ou une seule virgule de l’article 148 est applicable aux faits de Juillet 26. Laissez-le tranquille, attendant une occasion qui peut être appliquée à ceux qui a favorisé un soulèvement contre les pouvoirs constitutionnels de l’État. Je reviendrai plus tard sur le Code de vous rafraîchir la mémoire sur certaines circonstances M. fiscales ont malheureusement oublié.
Soyez avisé que tout a commencé. Si votre âme est un battement de l’amour de la patrie, l’amour de l’humanité, l’amour pour la justice, écoutez attentivement. Je sais que je vais être réduit au silence pendant de nombreuses années, je sais que je tente de cacher la vérité par tous les moyens possibles, je sais que je me lèverai contre la conspiration de l’oubli. Mais ma voix ne soit pas noyé par elle: se renforce dans ma poitrine comme je me sens plus seul et dans mon cœur je donne toute la chaleur rejetée âmes lâches.
J’ai écouté le dictateur, le lundi 27 Juillet, à partir d’une cabane dans les montagnes, où il y avait encore dix-huit hommes sous les armes. Ils ne sauront pas d’amertume et d’indignation dans la vie ceux qui n’ont pas traversé ces moments-là. Dans le même temps rouler sur le sol afin de longues espoirs chéris de libérer notre peuple, nous avons vu le despote se tenir debout sur elle, la plus vile et arrogant que le cou. Le flux de mensonges et de calomnies qui se sont déversées dans leur langue maladroite, odieux et révoltants, ne peut être comparé avec le flux énorme de sang jeune propre que de la veille a été versant, à sa connaissance, le consentement, la complicité et les applaudissements, le plus impitoyable foule de meurtriers jamais imaginables. Ont cru pendant une minute ce qu’il a dit est nécessaire suffisant pour un homme de conscience durée de vie désolé et honteux en vie. Je n’ai même pas, à l’époque, l’espoir de marquer sur le front vraiment misérable tellement stigmatisées par le reste de sa vie et le reste du temps, parce que nous sommes fermés sur la clôture et plus d’un millier d’hommes, avec armes de plus grande portée et la puissance, dont le slogan était strict avec nos corps en arrière. Aujourd’hui, déjà se faire connaître la vérité et qui se terminait par ces mots que je dis la mission que je m’étais fixé, pleinement respectée, je peux mourir en paix et heureux, si je ne ménagerai aucun fustazos de toute nature sur les assassins furieux.
J’ai besoin de faire une pause pour examiner certains faits. Il a été dit par le même gouvernement que l’attaque a été menée avec une telle précision et de perfection qu’il la présence d’experts militaires dans l’élaboration du plan. Rien de plus absurde! Le plan a été élaboré par un groupe de jeunes hommes, dont aucun n’avait d’expérience militaire, et je vais vous révéler leurs noms, mais deux d’entre eux qui ne sont ni morts mes prisonniers: Abel Santamaría, José Luis Tasende, Renato Guitart Rosell, Pedro Miret, Jésus montagnarde et de leur parler. La moitié sont morts, et un juste hommage à sa mémoire que je peux dire qu’ils n’étaient pas des experts militaires, mais ils avaient assez de patriotisme pour leur donner, à égalité de conditions, un souverain bat tous le 10 Mars générale ensemble, qui ne sont ni militaires ou patriotes. Plus difficile a été d’organiser, former et mobiliser les hommes et d’armes en vertu d’un régime répressif qui dépense des millions de dollars à l’espionnage, la corruption et de trahison, les tâches que les jeunes et beaucoup d’autres réalisées avec beaucoup de sérieux, la discrétion et la persévérance vraiment étonnante, et sera toujours encore plus méritoire donner un tout idéal que vous avez et aussi la vie.
La mobilisation final des hommes qui sont venus à cette province à partir des villages les plus reculés à travers l’île, a été réalisée avec une admirable précision et le secret. Il est vrai aussi que l’attaque a été effectuée avec la coordination magnifique. Commencé simultanément à 5h15, à Bayamo et Santiago de Cuba, et un par un, la minute exacte et deuxième pré-arrangés bâtiments tombaient autour du camp. Toutefois, pour l’amour de la vérité stricte, même si elle est réduite de notre mérite, je vais vous révéler pour la première fois aussi un autre fait qui a été fatale la moitié du volume de nos forces armées et le meilleur, par une erreur regrettable a été perdu à l’entrée de la ville et nous avons manqué au moment décisif. Abel Santamaría, avec une vingtaine d’hommes, avaient occupé l’hôpital civil, étaient également avec lui pour soigner les blessés d’un médecin et deux de nos. Raul Castro, avec dix hommes, occupait le Palais de Justice, et je correspondait attaquer le camp avec le reste, quatre-vingt-cinq hommes. Je suis arrivé avec un premier groupe de 45, précédée d’une avant-garde de l’après forcée huit trois. C’était précisément là où la bataille a commencé, trouver ma voiture avec une patrouille de tournée à l’étranger armés de mitraillettes. Le groupe de réserve qui avait la plupart des armes à feu, pour le court étaient au premier plan, a pris une mauvaise rue et se détourna complètement à l’intérieur d’une ville ne connaît pas. Je dois préciser que pas le moindre doute quant à la valeur de ces hommes qui ont été perdus à être une grande angoisse et de désespoir. En raison du type d’action qui se déroule et la même couleur de l’uniforme dans les deux parties belligérantes n’a pas été facile de rétablir le contact. Beaucoup d’entre eux ont été arrêtés plus tard, la mort reçue avec un véritable héroïsme.
Tout le monde avait des instructions pour être principalement la lutte de l’homme. Jamais un groupe d’hommes armés était plus généreux à l’adversaire. Ont été faites à un stade précoce de nombreux prisonniers, une vingtaine forte, et il y avait un moment au début, lorsque trois de nos hommes, de ceux qui avaient pris les devants: Ramiro Valdes, José Suarez et Jésus Montané, a réussi à pénétrer dans un casernes et placés en détention pour un gars d’environ cinquante soldats. Ces soldats ont témoigné devant le tribunal, et tous sans exception ont reconnu qu’ils ont été traités avec un respect absolu, sans souffrir même un vejaminosa mot. Sur ce point, je dois remercier certains du cœur, Monsieur le Procureur, que dans le procès où mes compagnons ont été jugés, en faisant son rapport, avait la justice de reconnaître comme un fait sans aucun doute l’esprit de la chevalerie de haute qui avait dans le lutter.
Discipline par l’armée était assez mauvais. Finalement vaincu par le nombre, ce qui leur donnait une supériorité de quinze à une, et la protection offerte par les défenses de la forteresse. Nos hommes se jetèrent beaucoup mieux et ils le reconnurent. La valeur humaine est tout aussi élevé sur les deux côtés.
Considérant les causes de l’échec tactique, en dehors de la malheureuse erreur mentionné, je pense que c’était un échec de diviser notre unité de commando qui avait formé avec soin. De nos meilleurs hommes et les plus hardis meneurs, il y avait vingt-sept en Bayamo, vingt à l’hôpital civil et dix heures du Palais de Justice ont fait une distribution différente, le résultat aurait pu être différente. La collision avec la patrouille (totalement par hasard, puis une vingtaine de secondes plus tôt ou vingt secondes plus tard n’aurait pas été à ce point) qui a eu le temps de mobiliser le camp, qui, autrement, sont tombés entre nos mains, sans coup férir, puis message a été en notre pouvoir. En outre, à l’exception de fusils de calibre 22 qui ont été bien approvisionnés, le parc de notre côté était très rare. Si nous avions eu des grenades à main, ils ne pouvaient pas résister à quinze minutes.
Quand je suis devenu convaincu que tous les efforts étaient désormais inutile de prendre le fort, a commencé à retirer nos hommes en groupes de huit et dix. Le retrait a été protégé par six tireurs d’élite sous le commandement de Pedro Miret et Fidel-Labrador, il héroïquement bloqué le passage à l’armée. Nos pertes dans la bataille avait été insignifiante pour cent 95 de nos morts sont le résultat de la cruauté et l’inhumanité quand elle avait cessé. Groupe Hôpital Civil avait seulement un peu, le reste a été acculé par les troupes placées en face de la sortie que de l’immeuble, et seulement déposé les armes quand ils n’avaient pas de balle. Avec eux se trouvait Abel Santamaría, le plus généreux, aimé et intrépide de nos jeunes, dont la glorieuse résistance lui immortalise à l’histoire de Cuba. Nous allons voir ce qui s’est passé et comment corrigerait la rébellion Batista et l’héroïsme de nos jeunes.
Nos plans étaient à poursuivre la lutte dans les montagnes où l’échec de l’attaque du régiment. J’ai pu rencontrer de nouveau en Siboney, le troisième de nos forces, mais beaucoup ont été découragés. Vingt a décidé de présenter, et aussi voir ce qui s’est passé pour eux. Les dix-huit autres hommes, d’armes et quitté le parc, m’a suivi dans les montagnes. Le terrain était totalement inconnu pour nous. Pendant une semaine, nous avons occupé le haut de la crête de la Grande Pierre et l’armée a occupé la base. Ou nous pourrions aller vers le bas ou ils ont décidé de monter. Il y avait, par conséquent, les armes étaient la faim et la soif, qui a vaincu les dernières résistances. J’ai eu à diminuer dans les petits groupes d’hommes, certains ont réussi à se glisser entre les lignes de l’armée, d’autres ont été présentés par Serantes Perez Monseigneur. Lorsqu’il n’ya que deux amis avec moi: José Suárez et Oscar Alcalde, totalement épuisé les trois, à l’aube du Samedi 1 Août, une force sous le lieutenant Sarría nous a surpris dormir. Et le massacre des prisonniers avait cessé par la formidable réaction provoquée parmi les citoyens, et cet officier, un homme d’honneur, de prévenir certains crétins nous assassiner sur le terrain avec les mains liées.
Je n’ai pas besoin nier ici le stupide connerie que de ternir mon nom, inventé par Ugalde Carrillo et sa troupe, croyant dissimuler sa lâcheté, son incapacité et ses crimes. Les faits sont très clairement.
Mon but n’est pas de divertir la cour avec des récits épiques. Tout ce que je dit est nécessaire pour la compréhension plus précise de ce que je dirai plus tard.
Je tiens à souligner deux choses importantes pour le procès sereinement notre attitude. Tout d’abord, nous avons facilité la réalisation du régiment tout simplement arrêter tous les officiers supérieurs dans leurs maisons, une option qui a été rejetée par la prise en compte très humain pour éviter les scènes de la tragédie et de la lutte dans les maisons des familles. Deuxièmement, il a été convenu de ne prendre aucune station de radio jusqu’à ce qu’il avait avait obtenu le camp. Cette attitude de la nôtre, rarement vu par sa bravoure et de grandeur, a sauvé le public un fleuve de sang. J’aurais pu traiter avec dix hommes seulement, une station de radio et ont jeté les gens dans la lutte. Dans son esprit, il n’était pas possible de douter: il avait le dernier discours de Chibas Eduardo dans la CMQ, enregistré avec ses propres mots, des poèmes patriotiques et des chansons de guerre capables de secouer le plus indifférent, d’autant plus à l’écoute de la chaleur de la bataille, Je ne voulais pas les utiliser, malgré le désespoir de notre situation.
Il a été répété avec insistance par le gouvernement qu’il gens de ne pas appuyer la motion. Je n’ai jamais entendu une affirmation si naïf et en même temps, si plein de mauvaise foi. Ils veulent montrer cette soumission et la lâcheté des gens qui disent que peu besoin de l’appui de la dictature, et ne sais pas comment il offensé le brave-Orient. Santiago de Cuba pensé que c’était une lutte entre les soldats, et n’avait pas connaissance de ce qui s’est passé jusqu’à ce que plusieurs heures plus tard. Qui peut douter de la civilité valeur et le courage sans limite du peuple rebelles et patriotiques de Santiago de Cuba? Si Moncada était tombé entre nos mains, même les femmes de Santiago de Cuba ont pris les armes! Nombreux fusils sont chargés pour les combattants des infirmières hospitalières civiles! Ils ont également combattu. Nous n’oublions pas.
Il n’a jamais été notre intention d’engager des soldats du régiment, mais de saisir par surprise et le contrôle des armes, appelant les gens, se retrouvent après l’armée et les inviter à abandonner le drapeau odieux de la tyrannie et à embrasser la liberté, de défendre les grands intérêts de la nation et non les intérêts étroits d’un petit groupe; tourner leurs armes et tirer sur les ennemis du peuple et non contre le peuple, où leurs enfants et leurs parents, en luttant contre près de lui comme des frères qui sont et non contre lui comme des ennemis qui veulent être, à mars derrière le seul idéal faire des offrandes belles et dignes de la vie, qui est la grandeur et le bonheur du pays. Pour ceux qui doutent que de nombreux soldats s’étaient joints à nous, je demande: Qu’est-ce cubaine n’aime pas la gloire? Quel cœur ne se transforme pas en une aube de la liberté?
Le Corps des Marines ne se battent pas contre nous, et aurait certainement ajouté plus tard. Il est connu que le secteur militaire est le moins accro à la tyrannie et entre ses membres un niveau très élevé de la conscience civique. Mais pour le reste de l’armée nationale, auriez-vous lutté contre la révolte des gens? Je dis non. Le soldat est un homme de chair et de sang, qui pense, voit et ressent. Il est sensible à l’influence des opinions, des croyances, goûts et dégoûts de la population. Si vous êtes invité-dire que leur opinion ne peut pas dire, mais cela ne signifie pas l’absence d’avis. Il est affecté exactement les mêmes problèmes que les autres citoyens concernés: de subsistance, le loyer, l’éducation des enfants, l’avenir de ceux-ci, et ainsi de suite. Chaque famille est un point incontournable de contact entre lui et le peuple et la situation actuelle et futures de la société dans laquelle ils vivent. Il est insensé de penser que parce qu’un soldat reçoit un salaire de l’État, plutôt modeste, a résolu les problèmes vitaux qui imposent à leurs besoins et les devoirs des sentiments en tant que membre d’une famille et une communauté sociale.
Il a fallu cette brève explication, il est le fondement d’un fait que très peu ont pensé à ce jour: le soldat a un profond respect pour le sentiment de la plupart des gens. Pendant le régime Machado, le même que l’antipathie populaire croissant, visiblement diminué la fidélité de l’armée, à l’extrême d’un groupe de femmes était sur le point de réveiller le camp de Columbia. Mais une preuve plus claire de ce développement d’un récent: alors que le régime de Grau gardé les gens de leur plus grande popularité, a proliféré dans l’armée, encouragé par d’anciens militaires et civils sans scrupules ambitieux, complots innombrables, et aucun d’entre eux un écho dans la masse de l’armée.
Le 10 Mars a lieu au moment était tombé au plus bas de prestige du gouvernement civil, une circonstance qui a profité de Batista et de sa clique. Pourquoi pas après Juin 1? Tout simplement parce que s’ils attendent le plus de la nation à exprimer leurs sentiments dans les urnes, pas de conspiration avait été repris par les troupes.
Il peut être fait, par conséquent, une deuxième déclaration, l’armée n’a jamais révoltés contre un régime de la majorité populaire. Ce sont des vérités historiques, et si Batista insiste à rester à tout prix au pouvoir contre la volonté absolument majorité de Cuba, sa fin sera plus tragique que celle de Gerardo Machado.
Je ne peux exprimer mon opinion sur ce que les forces armées est préoccupé, parce que j’ai parlé avec eux et les défendre quand tout était silencieux, et je n’ai pas de conspirer ou de l’intérêt d’aucune sorte, parce que nous étions dans la normalité constitutionnelle complète, mais aussi par nos sentiments de l’humanité et le devoir civique. Il était à cette époque, le seul journal d’alerte de la plus lue par la position, puis a tenu dans la politique nationale, et de ses pages fait une mémorable campagne contre le système du travail forcé ont été soumis à des soldats dans les propriétés privées de la haute caractères civils et militaires, en fournissant des informations, des photographies, des films et des tests de toutes sortes avec lesquels j’ai comparu devant le tribunal a également dénoncé le fait le 3 Mars 1952. Plusieurs fois, je l’ai dit dans ces écrits que c’était juste aumentarles les salaires des hommes qui ont servi dans les Forces armées. Je connais un autre qui a parlé à cette occasion pour protester contre une telle injustice. N’était certainement pas Batista et compagnie, qui a vécu très bien protégés dans leur ferme de loisirs avec toutes sortes de garanties, que je courais mille dangers sans gardes du corps ou des fusils.
Comme l’a défendu puis, maintenant, quand tout se tait à nouveau, je dis misérablement trompé, et la tache, la tromperie et la honte de Mars 10, a ajouté la tache et la honte, mille fois plus grand, le crimes effroyables et injustifiables de Santiago de Cuba. Depuis lors, le uniforme de l’armée est horriblement éclaboussée de sang, et si, à cette occasion, j’ai dit aux gens et a dénoncé devant le tribunal que l’armée a été de travailler comme esclaves dans les plantations privées, maintenant dire qu’il est militaire amèrement au teint les cheveux avec le sang d’un grand nombre des jeunes Cubains torturés et tués. Et je dis aussi que si elle est de servir la République, défendre la nation, de respecter les personnes et protéger les personnes, est tout simplement qu’un soldat de gagner au moins une centaine de pesos, pesos est de tuer et de tuer, pour opprimer le peuple, trahissent la nation et défendre les intérêts d’un petit groupe, pas la peine de la République a passé un centime sur l’armée, et le Camp-Britannique devrait devenir une école et y installer au lieu de soldats, de dix mille orphelins.
Parce que je veux être juste au-dessus tout, je ne peux pas envisager de toute solidarité militaire de ces crimes, ces taches et fait honte à ceux qui sont des œuvres de quelques traîtres et méchants, mais chaque soldat de l’honneur et la dignité qui aime sa carrière et veut sa constitution , a le devoir d’exiger et de se battre pour ces taches sont lavés, ces déceptions sont vengés et les péchés sont punis s’ils ne veulent pas être militaire est toujours une honte que de fierté.
Bien sûr, le 10 Mars a été forcé de retirer les soldats à partir des exploitations agricoles privées, mais seulement à les mettre au travail des journalistes, des chauffeurs, domestiques et gardes du corps toute la faune des politiciens qui forment le parti de la dictature. Tout chef de quatrième ou cinquième catégorie sont en droit de croire que le soldat de conduire la voiture et regarde en arrière, comme s’il s’agissait d’un coup de pied bien mérité dans la peur constante.
S’il y avait effectivement un but vengeur, pourquoi pas toutes les fermes ont été confisqués et les millions de personnes qui aiment Perez Genovevo Dámera a fait sa fortune escroquer les soldats, en les faisant travailler comme des esclaves et de détournement des fonds des forces armées? Mais pas Genovevo et d’autres soldats prendra soin d’eux sur leurs fermes parce que fondamentalement tous les généraux du 10 Mars aspirent à faire de même et ne peut pas définir un tel précédent.
Le 10 Mars a été une déception misérable, oui … Batista, après avoir échoué à travers des élections, lui et ses cohortes de politiciens mal et discrédité, en prenant avantage de leur mécontentement, a pris un outil pour l’armée de monter au pouvoir sur le dos des soldats. Et je sais qu’il ya beaucoup de gens bouleversés par la déception: ils ont augmenté le salaire et après les rabais et remises avec toutes sortes sont encore réduits, beaucoup d’éléments anciens retirés des forces armées retourné dans les rangs fermer le passage pour les jeunes hommes , formé et précieux mérite militaire l’emporte ont été reportées tandis que le favoritisme le plus scandaleux aux parents et amis des grands chefs. Beaucoup se demandent militaire décente à ce moment quelles étaient les forces armées doivent porter la lourde responsabilité historique pour déchiré notre Constitution pour porter au pouvoir un groupe d’hommes sans morale, discrédité, la corruption, politiquement anéanti à jamais et de ne pas pourrait revenir à la fonction publique s’il n’était pas à la baïonnette, à baïonnette entre eux brandissant pas …
D’autre part, l’armée souffre d’un mal la tyrannie que les civils. Ils ont été constamment surveillée et aucun d’entre eux a le moins de sécurité dans les stations: Toute suspicion injustifiée, tout commérage, toute l’intrigue, toute confiance est suffisant pour le déménagement, le déshonneur expulsés ou emprisonnés. Ne pas interdit dans un discours Tabernilla circulaire à tout citoyen de l’opposition, c’est à dire, 99 pour cent des personnes? … Qu’est-ce desonfianza! … Ni les vestales de Rome ont été imposées d’une telle règle! Les maisons bien pour les soldats ne sont pas plus de trois cents dans toute l’île, et pourtant, donc j’ai passé sur les réservoirs, les fusils et les armes devaient fabricarle une maison à chaque placement, puis ce qui importe n’est pas de protéger Batista Armée de terre, mais l’armée serait le protéger, il augmente son pouvoir d’oppression et de mort, mais ce n’est pas pour améliorer le bien-être des hommes. Garde Triple, cantonnement inimitié éternelle angoisse constante de la citoyenneté, l’incertitude quant à l’avenir, c’est ce qui a été donnée au soldat, ou ce qui est la même: «Die par le régime, soldat, donnez votre sueur et le sang , nous dédions un discours et une promotion à titre posthume (lorsque vous n’avez pas l’esprit), et puis … continuer à vivre ainsi et de nous faire riches, tuer, écraser, opprimer le peuple, que lorsque les gens se fatiguent et ce sera fini, vous payez nos crimes tandis que nous allons vivre comme des princes à l’étranger, et si nous y retournerons un jour, ne touchez pas, ne touchez pas vous-même ou vos enfants à la porte de nos palais, parce que nous serons millionnaires et des milliardaires ne sais pas les pauvres. Mata, soldat, opprimer le peuple, contre les personnes qui seraient même les délivrer de la tyrannie, la victoire aurait été le peuple. Monsieur le Procureur était très intéressé à connaître nos chances de succès. Ces chances sont fondées sur des raisons techniques et ordre militaire et social. Ils voulaient mettre en place le mythe des armes modernes comme un soi-disant incapacité de contrôler l’ensemble du front ouvert du peuple contre la tyrannie. parades militaires et des affichages voyantes de matériel militaire, sont destinées à promouvoir ce mythe et citoyens de créer un complexe d’impuissance absolue. Aucune arme, aucune force ne peut vaincre un peuple qui a décidé de se battre pour leurs droits. exemples historiques pour se battre pour leurs droits. Les exemples historiques sont innombrables passé et le présent. Il affaire très récente de la Bolivie, où les mineurs avec des bâtons de dynamite écrasés et vaincus régiments de l’armée régulière. Mais les Cubains, heureusement, nous devons chercher des exemples dans un autre pays, car aucun si éloquent et beau comme le de notre propre pays. Pendant la guerre, 95 étaient à Cuba près de la moitié d’un million de soldats espagnols sous les armes, infiniment supérieure à la quantité qui pourrait s’opposer à la dictature contre une population cinq fois plus grande. armes de l’armée espagnole étaient sans comparaison plus moderne et plus puissant que ceux de mambis; était équipé souvent avec l’artillerie de campagne, et l’infanterie a utilisé la même arme culasse à l’infanterie moderne utilise encore les Cubains n’avaient généralement pas d’autre arme que des machettes,. parce que leurs étuis étaient presque toujours vide. Il ya un passage mémorable dans notre guerre d’indépendance racontée par le général Miró Argenter, chef de cabinet d’Antonio Maceo, je pourrais apporter cette Notica copié à ne pas abuser de la mémoire.
«Les gens inexpérimentés dans le commandement de Pedro Delgado, pour la plupart fournis uniquement avec des machettes, a été décimée à bondir sur de solides espagnols, de sorte que n’est pas exagéré de dire que de cinquante hommes, ont diminué de moitié. Attaqué l’espagnol pas de fusil, coups de poing pas de couteau, de machette et Si l’exploration de Rio Hondo les mauvaises herbes se trouvent quinze autres morts de la partie cubaine, sans avoir le temps pourrait être amené à ce corps appartenait aucune trace d’avoir exercé l’arme!.: . le costume était complète, et n’avait pas encore de taille à la tasse en étain, à quelques pas, le cheval sans vie, avec l’équipe intacte passage était de taille reconstituée de la tragédie: ces hommes, après leur dur chef, le lieutenant-colonel Pedro Delgado, avait obtenu la couronne de l’héroïsme est tombé sur les baïonnettes de leurs propres mains: le bruit de métal qui sonnait autour d’eux, était le coup de la tasse pour boire quand il a heurté une souche de . la monture Maceo a été touché, il tellement habitués à voir la mort dans toutes les positions et les aspects, et murmura cet éloge: «Je n’avais jamais vu ça, les gens qui attaquent novice sans défense à l’espagnol avec un verre d’eau potable pour tout équipement! Et je lui ai donné le nom de impedimenta! «…»
Donc, les gens se battent quand ils veulent gagner leur liberté: ils jettent des pierres sur des avions citernes et tournez le dos!
Une fois en notre possession de la ville de Santiago de Cuba, avait mis en place l’Orient en armes immédiatement. Un Bayamo a été attaqué précisément à localiser notre avancée le long de la rivière Cauto. Ne jamais oublier que la province dispose maintenant d’un million et demi, est sans doute la plus guerrière et patriotique à Cuba, c’est elle qui a maintenu en vie la lutte pour l’indépendance de trente ans et lui a donné le plus grand tribut de sang, sacrifice et d’héroïsme. Dans l’Est peut encore respirer l’air de la glorieuse épopée et à l’aube quand le corbeau coqs comme clairons d’appel cible en jouant les soldats et les hausses de soleil radieux sur les montagnes escarpées, tous les jours promet d’être à nouveau de Yara et de Baire.
J’ai dit que la deuxième raison est fondée sur nos chances de succès étaient de l’ordre social. Pourquoi avons-nous la sécurité de la population? Quand nous parlons de gens ne comprennent pas pourquoi une telle secteurs riches et conservatrices de la nation, qui accueillent un régime d’oppression, toute dictature, tout despotisme, se prosternant devant le maître de l’instant jusqu’à ce qu’ils grincent des fronts à la terre. Nous comprenons les gens quand on parle de lutte, des grandes masses, à laquelle tous offre plus tromper et trahir tout, qui aspirent à un monde meilleur, plus digne et plus juste, qui est entraîné vers l’avant avec la dignité et la justice , qui sont mus par des aspirations ancestrales de la justice ont souffert de l’injustice et la génération après génération, la moquerie, qui aspire de grands changements et sage dans toutes les sphères et est disposé à prendre pour atteindre cet objectif, quand vous croyez en quelque chose ou quelqu’un, surtout quand ils croient en eux-mêmes, jusqu’à la dernière goutte de sang. La première condition de la sincérité et de bonne foi dans un sens, est de faire exactement ce qu’on fait, c’est, pour parler clairement et sans crainte. Les démagogues et les politiciens professionnels veulent que le miracle d’avoir raison en tout et tout le monde, nécessairement tromper tout le monde à propos de tout. Les révolutionnaires doivent proclamer leurs idées courageusement, définir leurs principes et à exprimer leurs intentions afin que personne ne s’y méprenne, ni ami ni ennemi.
Nous appelons les gens si la lutte est, les Cubains 600 000 sans emploi, qui désirent une bonne journée sans avoir à émigrer de leur patrie à la recherche de nourriture, les cinq cent mille ouvriers agricoles qui vivent dans des cabanes misérables, qui travailler quatre mois par an et d’affamer le reste de partager la misère avec leurs enfants, qui n’ont pas un pouce de terre à l’usine et dont l’existence serait aller à la pitié s’il n’y avait tant de cœurs de pierre à quatre cent mille travailleurs de l’industrie et les ouvriers dont la retraite, ont été détournés, dont les bénéfices sont enlevés, dont les maisons sont misérables des quartiers, dont les salaires passent des mains du patron à celles de l’usurier, dont l’avenir est la réduction et de licenciement, dont la vie est travail sans fin et dont le repos est le tombeau, une centaine de milliers de petits paysans qui vivent et meurent des terres de travail qui n’est pas la sienne, regardant tristement toujours comme Moïse la terre promise, pour mourir sans jamais posséder, ils doivent payer pour leurs terres en tant que serfs féodaux de leurs produits, ils peuvent ne pas l’aimer, d’améliorer ou embellir, planter un cèdre ou un oranger, parce qu’ils ignorent la journée à venir un agent de police avec le garde champêtre pour leur dire qu’ils ont à faire, à trente ans milliers d’enseignants si dévouée, dévouée et nécessaires à la meilleure destin des générations futures et à quel point ils sont traités et payés, à vingt mille hommes d’affaires des petites accablé par des dettes, ruiné par la crise et harangué par un fléau des fonctionnaires flibustiers et vénal; dix mille jeunes professionnels, médecins, ingénieurs, avocats, vétérinaires, enseignants, dentistes, pharmaciens, journalistes, peintres, sculpteurs, etc quittent l’école avec leurs degrés soucieux de travailler et d’être optimiste dans une impasse, toutes portes fermées, sourd au cri et le plaidoyer. C’est le peuple, dont les chemins sont l’angoisse pavée de tromperie et de fausses promesses, nous n’allions pas à dire: «Nous allons donner», mais «Ici, maintenant se battre avec toute ta force sera la vôtre gratuitement et le bonheur! «
Dans le résumé de cette affaire doit contenir les lois révolutionnaires cinq qui seraient proclamés immédiatement après la prise de la caserne Moncada et signalé par radio à la nation. Il est possible que le colonel Chaviano a intentionnellement détruit des documents, mais si il les a détruits, je garde en mémoire.
La première loi révolutionnaire retourné la souveraineté au peuple et a proclamé la Constitution de 1940 comme la loi suprême du réel, tandis que les gens décident de modifier ou de changer, et les effets de sa mise en œuvre et à la punition exemplaire à ceux qui avaient été trahis, et non pas organes élus existent pour effectuer le mouvement révolutionnaire, comme l’incarnation momentanée de cette souveraineté, la seule source du pouvoir législatif, a pris tous les pouvoirs qui lui sont inhérentes, à l’exception de légiférer, le pouvoir et l’autorité pour exécuter le jugement.
Cette attitude ne pouvait pas être plus transparent et dépourvu de chocherías charlatanismos et stérile: ou le gouvernement salué par la masse des combattants, de recevoir tous les pouvoirs nécessaires pour entreprendre la mise en œuvre efficace de la volonté populaire et une vraie justice. A partir de ce moment, le pouvoir judiciaire, qui a résisté depuis Mars 10 contre la Constitution en dehors de la Constitution, comme recesaría un tel pouvoir et de procéder à son dégagement immédiat et total, avant de reprendre les pouvoirs accordé le droit suprême de la République. Sans ces mesures précédentes, un retour à la légalité, de mettre les mains sous sa garde déshonorante capitulation, ce serait une escroquerie, une imposture et une trahison.
La deuxième loi révolutionnaire accordant la propriété imprescriptible et incessible des terres à tous les colons, subcolonos, des locataires, des métayers et des squatters qui occupent des parcelles de cinq ou moins d’acres de terres, l’indemnisation de l’État à leurs anciens propriétaires sur la base des revenus qui s’accumulent pour les parcelles situées dans une moyenne de dix ans.
La troisième loi révolutionnaire accorde aux travailleurs et aux employés le droit de participer à la trente pour cent des bénéfices dans toutes les mines majeure industriel, commercial et, y compris les moulins à sucre. Les entreprises agricoles sont exemptés seulement dans l’examen d’autres lois agraires à mettre en œuvre.
La quatrième loi révolutionnaire en accordant à tous les colons le droit de participer à la 55 pour cent de rendement de la canne et d’un quota minimum de quarante mille arrobes pour tous les petits colons qui conduisent trois ans ou plus de la plantation.
La cinquième loi révolutionnaire ordonnant la confiscation de tous les biens à tous les détourneurs de tous les gouvernements et leurs successeurs et herededor ce qui concerne les biens reçus par testament ou succession ab intestat de la source de Tainted par des tribunaux spéciaux avec pleins pouvoirs de l’accès à toutes les sources la recherche, à intervenir pour cette société par actions à des fins immatriculés dans le pays ou opérer sur elle, où ils peuvent se cacher fonds détournés et demander les personnes étrangères les gouvernements et les saisies d’extrader. La moitié des biens récupérés iraient grossir les coffres des retraits et des travailleurs à la moitié des hôpitaux, des asiles et des hospices.
Il a en outre déclaré que la politique cubaine en Amérique serait d’étroite solidarité avec les peuples démocratiques du continent et de la persécution politique des tyrannies sanglantes qui oppriment nos peuples frères se trouver dans la terre de Martí, pas comme aujourd’hui, la persécution, la faim et la trahison, mais d’asile généreuse, la fraternité et du pain. Cuba devrait être le rempart de la liberté et le despotisme lien n’est pas honteux.
Ces lois seraient proclamés sur place et ils le feraient, une fois la course et après une étude minutieuse du contenu et la portée, une autre série de lois et aussi fondamentale que la réforme agraire, réforme globale de l’éducation et la nationalisation de la fiducie électriques et téléphoniques confiance, rembourser l’excédent à des personnes qui ont été chargement illégal de leurs taux et le paiement au Trésor de toutes les sommes qui ont trompé les deniers publics.
Tous ces autres pragmatiques et serait inspiré par le strict respect de deux conditions essentielles de notre Constitution, dont l’un commandé à interdire les latifundia et les effets de sa disparition, la loi spécifie la quantité maximale de la terre que chaque personne ou entité peut posséder pour chaque type d’élevage, l’adoption de mesures visant à inverser la terre cubaine, et les autres ordres de l’Etat catégoriquement d’utiliser tous les moyens à sa disposition pour fournir de l’emploi à tous ceux qui n’ont pas et d’assurer chacun des travailleurs manuels ou intellectuels une existence décente. Aucun de ceux-ci peuvent être critiqué par conséquent inconstitutionnelle. Le premier gouvernement élu par le peuple qui se posent immédiatement, serait respecté, non seulement parce qu’il avait un engagement moral de la nation, mais parce que les gens quand ils atteignent les conquêtes qui ont tant attendu pendant des générations, aucune force sur terre capable de arracher.
Le problème de la terre, le problème de l’industrialisation, le problème du logement, le problème du chômage, le problème de l’éducation et les problèmes de santé des gens que j’ai sont les six points pour suivre les problèmes nous souhaitons vivement nos efforts, ensemble avec la conquête des libertés civiles et la démocratie politique.
Peut-être cela ressemble l’exposition froide et théorique, s’il n’est pas connu la terrible tragédie que le pays vit dans ces six, plus l’oppression la plus humiliante politique.
Quatre-vingt cinq pour cent des petits agriculteurs à Cuba payer le loyer et vivent sous la menace constante d’être expulsées de leurs terres. Plus de la moitié de notre terre la plus productive est entre des mains étrangères. Dans l’Est, qui est la plus grande province, les terres de la United Fruit Company et les Antilles rejoindre la côte nord à la côte sud. Il ya deux cent mille familles paysannes qui n’ont pas un arpent de terre à cultiver pour fournir de la nourriture pour leurs enfants affamés, cependant, rester inactif dans les mains de puissants intérêts, près de 300 000 hectares de terres productives. Si Cuba est un pays essentiellement agricole, si sa population est essentiellement rurale, si la ville dépend du champ si le champ était l’indépendance, si la grandeur et la prospérité de notre nation dépend de quelques paysans sains et vigoureux qui aime et connaît cultiver la terre, un Etat qui protège et à l’est, comment est-il possible de continuer cet état de choses?
Sauf pour quelques industries alimentaires, du bois et des textiles peu, Cuba continue d’être un producteur de matières premières. Il exporte du sucre à importer des bonbons, nous exportons des peaux de chaussures d’importation. exporté de fer à des charrues à l’importation … Tout le monde convient que la nécessité d’industrialiser le pays est urgent, nécessaire chimique, nous avons besoin pour améliorer le jeune, les cultures, la technologie et le développement de notre industrie alimentaire pour résister à une concurrence ruineuse les industries européennes de fromage, lait condensé, les liqueurs et les huiles et les conserves américaines, nous avons besoin de navires de commerce, que le tourisme pourrait être une énorme source de la richesse, mais les capitalistes insistent sur le fait que les travailleurs restent sous les fourches caudines, la Etat croise les bras et de l’industrialisation peut attendre pour les calendes grecques.
Tout aussi grave ou pour le pire de la tragédie de la maison. Il ya à Cuba deux cent mille cabanes et des masures, des quatre cent mille familles dans la campagne et la ville vivent dans des casernes surpeuplés et tènements sans l’hygiène la plus élémentaire et la santé, deux millions deux cent mille de nos urbaines payer des loyers qui absorbent entre la population un cinquième et un tiers de leur revenu, et 2,8 millions de notre électricité de la population rurale et le manque de banlieue. Ici c’est la même chose: si l’Etat se propose de baisser les loyers, les propriétaires risquent de geler toute construction, si l’État s’abstient, construit comme susceptibles de percevoir un taux élevé de revenu, ils ne seraient pas jeter une pierre, même si le reste de la population vivant à l’air libre. Le même fait le monopole de l’électricité: prolonger les lignes au point où satisfaisante, car elle est rentable, car il ne se soucie pas que les gens vivent dans l’obscurité pour le reste de ses jours. L’état croise les bras et les gens toujours sans maisons et sans lumière.
Notre système d’éducation est parfaitement compatible avec ce qui précède: c’est un domaine où le paysan ne possèdent pas de terres ce qu’elle est pour les écoles agricoles? Dans une ville où il n’y a pas ce qu’ils veulent industries écoles techniques ou industriels? Tout est dans la même logique absurde: il n’est ni l’un ni l’autre. En tout petit pays d’Europe plus de deux cents collèges et les arts industriels, à Cuba, il ya seulement six ans et les garçons vont avec leurs titres nulle part pour être employé. Dans le domaine de maisons d’école publique assister aux pieds nus, à moitié nu et souffrant de malnutrition, moins de la moitié des enfants d’âge scolaire et souvent l’enseignant qui doivent acheter leur propre rémunération le matériel nécessaire. Est-ce la façon de faire une grande nation?
Parmi tant de misère ne peut être libéré à la mort et oui, il contribue à l’état: à mourir. Quatre-vingt dix pour cent des enfants des zones rurales sont malades par des parasites qui s’infiltrent à partir du sol par des clous aux pieds nus. La société a été déplacé par les nouvelles de l’enlèvement ou assassiner d’une créature, mais reste pénalement indifférents à la masse assassiner commis tant de milliers d’enfants qui meurent chaque année d’un manque de ressources, l’angoissante la douleur, et dont les yeux innocents, et en eux la brillance de la mort semblent se tourner vers le pardon infini demandant à l’égoïsme humain et les hommes qui tombent sur la malédiction de Dieu. Et quand une famille ne travaille que quatre mois de l’année, comment peut-il acheter des vêtements et des médicaments pour ses enfants? Grandir avec le rachitisme, une trentaine d’années n’aura pas une seule dent dans la bouche bonne, ont entendu dix millions de discours et finissent par mourir de misère et de déception. L’accès aux hôpitaux, qui sont toujours plein, n’est possible qu’à travers la recommandation d’un puissant politicien qui ont besoin de l’infortuné votre vote et votre famille afin que Cuba peut se poursuivre indéfiniment la même chose ou pire.
Dans ce contexte, comment peut-on expliquer que, depuis mai dernier à Décembre plus d’un million de personnes sont sans emploi et que Cuba, avec une population de cinq millions et demi d’habitants, dispose actuellement de plus de chômeurs que la France et l’Italie avec un population de plus de quarante millions de dollars par?
Lorsque vous juger un accusé pour vol qualifié, Honorables Juges, ne vous demandez-lui combien de temps il n’a pas de travail, combien d’enfants il a, quels jours de la semaine, il a mangé et ce jour ne pas manger, ne vous inquiétez pas du tout sur les conditions sociales de l’environnement où ils vivent : Je l’envoyer en prison sans autre réflexion. Il n’y a pas des gens riches qui brûlent les entrepôts et les magasins pour recueillir des polices d’assurance, bien que certains brûlent aussi les êtres humains, parce qu’ils ont beaucoup d’argent pour embaucher des avocats et des juges pots de vin. L’envoyer en prison le malheureux qui vole de la faim, mais aucun des centaines de voleurs qui ont volé des millions à l’Etat n’a jamais dormi une nuit derrière les barreaux: CENAIS avec eux afin année aristocratique quelque part et vous avez votre égard. À Cuba, quand un membre du personnel devient millionnaire du jour au lendemain et pénètre dans la fraternité des riches, peuvent être reçues dans les paroles de ce personnage opulent de Balzac, Taillefer, lorsqu’ils sont fournis par le jeune homme qui avait hérité d’une immense fortune: «Messieurs, boire à la puissance de l’or Valentine M., six fois millionnaire, maintenant juste son avènement au trône est roi, peut tout faire, c’est avant tout, comme tous les riches en!.. visée à l’égalité devant la loi, est entré le devant de la Constitution, sera un mythe pour lui, pas soumis aux lois, mais les lois seront soumises. Pour millionnaires il n’existe pas de tribunaux ou de sanctions. «
L’avenir de la nation et la solution de leurs problèmes ne peuvent plus compter sur les intérêts égoïstes de quelques dizaine d’analystes, les calculs froids de bénéfices à tirer dans leurs bureaux climatisés dix ou douze magnats. Le pays ne peut pas continuer de mendier sur ses genoux pour les miracles de quelques veaux d’or, comme celle de l’Ancien Testament détruite par la colère du prophète, pas de miracles de toutes sortes. Les problèmes de la République ne peut être résolu que si nous nous engageons à lutter pour elle avec l’énergie, l’honnêteté et le patriotisme même de nos libérateurs dans sa création. Et c’est avec le style d’Etat Carlos Saladrigas, dont homme d’Etat est de tout laisser tel qu’il est et passer par un non-sens la vie en murmurant sur la «liberté absolue de l’entreprise», «garantit aux capitaux d’investissement» et la «loi de l’offre et la la demande, «ne va pas résoudre ces problèmes. Dans un manoir sur la Cinquième Avenue, ces ministres peuvent discuter avec bonheur jusqu’à ce qu’il n’y a même plus la poussière des os de solutions à la demande urgente aujourd’hui. Et dans le monde d’aujourd’hui les problèmes sociaux ne sont pas résolus par génération spontanée.
Un gouvernement révolutionnaire soutenu par le peuple et le respect de la nation après l’élimination des fonctionnaires des institutions vénal et corrompu, serait procéder immédiatement à industrialiser le pays, la mobilisation de la totalité du capital inactif, actuellement 1,5 milliards par la Banque nationale la Banque de développement agricole et industriel et en soumettant la grande tâche à l’étude, la gestion, la planification et la mise en œuvre par des techniciens et des hommes de compétence absolue, complètement ignorants des machinations de la politique.
Un gouvernement révolutionnaire, après décantation sur leurs terres en tant que propriétaires d’une centaine de milliers de petits agriculteurs qui paient actuellement des revenus, procéder à conclure de façon définitive le problème des terres, d’abord, s’imposer comme les termes de la Constitution une extension maximale pour chaque type de l’entreprise agricole et des zones d’acquisition par voie d’expropriation en excès, la récupération des terres volées de l’Etat, le drainage des marais et des marécages, la plantation de grandes pépinières pour le reboisement et la réservation, d’autre part, distribuer le reste des terres entre les familles paysannes avec une priorité pour les plus nombreux , la promotion des coopératives agricoles pour l’utilisation conjointe du coût du matériel beaucoup plus, les réfrigérateurs et une direction technique professionnelle dans la croissance et l’entretien et de faciliter, enfin, les ressources, l’équipement, la protection et des connaissances pertinentes pour la paysannerie.
Un gouvernement révolutionnaire permettrait de résoudre le problème du logement résolument l’abaissement de cinquante pour cent des loyers, exonéré de toute contribution aux maisons habitées par ses propriétaires, en triplant les impôts sur les maisons louées, démolissant les taudis dans les bâtiments couverts Beaucoup de plantes modernes et de financement de la construction de maisons à travers l’île sur une échelle jamais vue auparavant, sous le point de vue que si l’idéal dans le domaine, c’est que chaque famille possède sa propre terre, idéalement dans la ville, c’est que chaque famille vit dans leur propre maison ou un appartement. Il ya suffisamment d’armes en pierre et plus à gauche pour donner à chaque logement décent cubaine. Mais si nous attendons pour les miracles du veau d’or, doit être un millier d’années et le problème sera le même. En outre, les possibilités de prendre de l’électricité à tous les coins de l’île sont maintenant plus que jamais, parce qu’il est déjà une réalité de l’application de l’énergie nucléaire à cette branche de l’industrie, permettra de réduire considérablement ses coûts de production .
Avec ces trois projets et de réformes, le problème du chômage disparaîtrait automatiquement et le contrôle de prophylaxie et la maladie serait la tâche beaucoup plus facile.
Enfin, un gouvernement révolutionnaire allait entreprendre une réforme globale de notre éducation, la mettre en conformité avec les efforts passés à l’éducation de ces générations qui sont appelées à vivre dans un pays plus heureux. Ne pas oublier les paroles de l’Apôtre, «ont été réalisés dans […] l’Amérique latine une grave erreur: dans les pays qui vivent presque entièrement sur les produits agricoles, sont éduqués exclusivement pour la vie urbaine et ne sont pas prêts à la vie paysanne. » «Le plus heureux est celui qui a le mieux éduqué ses enfants dans l’instruction de la pensée et le sens de leurs sentiments.» «Un peuple instruits sera toujours fort et libre.»
Mais l’âme de l’éducation est l’enseignant, et les enseignants sont payés à Cuba misérablement, il est, cependant, être plus en amour avec sa vocation que l’enseignant cubain. Qui n’a pas appris ses premières lettres dans une école publique? Assez pour payer l’aumône aux hommes et aux femmes qui détiennent la mission la plus sacrée dans le monde d’aujourd’hui et de demain, qui est l’enseignement. Aucun enseignant ne devrait gagner moins que les deux cents dollars, car aucun enseignant du secondaire doit être inférieur à 350, si nous voulons consacrer entièrement à leur mission de haut, si vous avez de vivre assiégé par toutes sortes de privations mesquines. Vous devez également être accordée aux enseignants qui exercent leur fonction dans le champ, l’utilisation gratuite des moyens de transport et tous, tous les cinq ans au moins, une pause de leurs fonctions pendant six mois avec salaire, afin qu’ils puissent assister à des cours spéciale dans le pays ou à l’étranger, le rattrapage sur les dernières connaissances et l’amélioration constante des programmes et des systèmes éducatifs. Où puisez-vous l’argent? Quand il n’est pas volé, en l’absence de fonctionnaires vénaux être soudoyés par les grandes entreprises au détriment du Trésor, lorsque les vastes ressources de la nation sont mobilisées et cesser d’acheter des tanks, des bombardiers et des canons dans ce pays sans frontières, ne à la guerre contre le peuple, et que vous voulez éduquer plutôt que de tuer, alors il y aura d’argent à épargner.
Cuba pourrait héberger un magnifique trois fois la population, il n’y a donc aucune raison de l’existence de la pauvreté parmi ses habitants actuels. Les marchés devraient être débordant de produits, les garde-manger doit être pleine, toutes les mains doivent être produire laborieusement. Non, il n’est pas inconcevable. Il est inconcevable que les hommes qui vont se coucher affamés alors qu’il ya un pouce de terre en friche, il est inconcevable que les enfants qui meurent sans soins médicaux, il est inconcevable que trente pour cent de nos agriculteurs ne savent pas signe, quatre-vingt- et neuf pour cent ne savaient pas l’histoire de Cuba, l’impensable est que la plupart des familles de nos camps vivent dans des conditions pires que le Columbus Indiens ont découvert la plus belle terre que les yeux humains jamais vu.
Ceux qui m’appellent un rêveur, je dis Marti: «L’homme véritable ne regarde pas ce qu’est une vie plus confortable, mais de quel côté est le devoir, et c’est […] le seul homme dont le rêve de pratique Aujourd’hui sera demain la loi, parce que celui qui a posé les yeux sur l’universel entrailles et vu ébullition personnes, flamboyante et des saignements dans le creux des âges, sait que l’avenir, sans une seule exception, c’est le côté du devoir «.
Seulement inspiré ces buts élevés, il est possible de concevoir l’héroïsme de ceux qui sont morts à Santiago de Cuba. Les peu de ressources matérielles à notre disposition était qui a empêché le succès certain. Les soldats ont dit que Prio nous avait donné un million de dollars, ils ont voulu fausser le plus grave pour eux, que notre mouvement n’a rien à voir avec le passé, c’était une nouvelle génération cubaine avec ses propres idées, qui se trouvait contre la tyrannie, des jeunes qui n’avaient que sept ans quand Batista a commencé à commettre leurs crimes premiers cours de l’année 34. Le mensonge d’un millions de personnes pourraient ne pas être plus absurde: si moins de vingt mille dollars nous avons réuni cent soixante-cinq hommes et attaqué un régiment et d’un escadron, avec un million de dollars que nous pourrions mettre sur pied huit mille hommes, a attaqué une cinquantaine de régiments, cinquante escadrons, et Ugalde Carrillo n’aurait pas connu avant dimanche Juillet 26 à 5_15 AM. Sachez que pour tous ceux qui venaient de se battre, ils ont été parfaitement formé vingt ne sont pas venus parce qu’il n’y avait pas d’armes. Ces hommes ont défilé dans les rues de La Havane avec la manifestation d’étudiants à la date anniversaire de Marti et rempli six blocs dans une masse compacte. Deux cents de plus que n’aurait pu parvenir à une vingtaine de grenades à main en notre pouvoir, et peut-être nous aurions sauvé tant de peine cette honorable cour.
Les politiciens passent sur leurs pesos campagnes soudoyant les consciences, et une poignée de Cubains qui ont voulu sauver l’honneur du pays a dû venir à affronter la mort avec rien à cause du manque de ressources. C’est ce qui explique pourquoi il a dirigé le pays jusqu’à présent, les hommes généreux et dévoués, mais la pègre politique politicienne, la pègre de notre vie publique.
Avec plus fièrement que jamais dire que, conformément à nos principes, aucun politicien d’hier, nous avons vu les jouer à leur porte pour demander un sou, que nos médias se sont réunis des exemples de sacrifices qui sont sans précédent, que le jeune homme, Elpidio Sosa, qui a vendu son travail et je me suis présenté un jour à trois cents dollars «pour cause»; Fernando Chenard, qui a vendu son matériel dans votre studio photo avec lequel il a gagné sa vie, Pedro Marrero, qui a donné son salaire pendant plusieurs mois et a été devrait interdire également qui vendent des articles d’ameublement, Oscar maire, qui a vendu son laboratoire pharmaceutique, Jésus Montané, qui a donné l’argent qu’elle avait économisé plus de cinq ans, et ainsi de suite beaucoup plus, en versant chacun des le peu qu’ils avaient.
Vous devez avoir une grande foi dans leur pays pour le faire, et ces souvenirs de l’idéalisme pris directement à l’étape la plus amère de cette défense: le prix de la tyrannie leur a fait payer pour vouloir se débarrasser de Cuba de l’oppression et l’injustice.
Cadavres aimé qu’un jour
vous étiez Rêves de mon pays,
Lancer, jeter sur mon front
en poudre vos os en décomposition!
Soufflez mon coeur avec vos mains!
Wail mes oreilles!
Chacun doit être mes gémissements
larmes un de plus que les tyrans!
Marchez mes torts Vagad tandis
Que mon esprit soit vous recevez
et donnez-moi les tombes de la peur,
C’est peu de faire le deuil et les larmes
Quand vous vivez dans la servitude infâme!
Multiplier par dix le crime du Novembre 27, 1871 et aura les crimes monstrueux et méchant 26, 27, 28 et 29 juillet 1953 dans l’Est. Les faits sont encore frais, mais que les années passent et le ciel de la patrie est effacée lorsque l’humeur exaltée soit encore et ne craignez pas déranger les esprits commencent à voir la réalité dans toute son ampleur effroyable de l’abattage, et les générations futures seront terrifiés yeux à cet acte de barbarie sans précédent dans notre histoire. Je ne veux pas me mettre en colère aveugle, parce que j’ai besoin toute la clarté de mon esprit et la sérénité d’un cœur brisé pour exposer les faits tels qu’ils se sont produits, tout simplement, plutôt que exagérer le drame, parce que j’ai honte, en tant que cubaine, que certains hommes sans cœur, avec leurs crimes innommables, ont déshonoré notre pays dans le monde.
Il n’a jamais été le tyran Batista un homme de scrupules qui hésitaient avant de dire au peuple le mensonge le plus fantastique. Quand il a voulu justifier le traître coup Mars 10, a inventé un prétendu coup d’état militaire qui auraient lieu en Avril et qu ‘«il a voulu éviter de ne pas aller en profondeur dans le sang la république,» dessin animé ridicule ne crois pas que quiconque, et lorsque le sang serait plonger la république et de s’étouffer avec la terreur, la torture et assassiner la juste rébellion de la jeunesse qui a refusé d’être son esclave, alors inventé des mensonges encore plus fantastiques. Qu’est-ce peu de respect qu’il a un peuple, quand il est si misérablement trompé! Le même jour, j’ai été arrêté, j’ai pris la responsabilité publique du mouvement armé du 26 Juillet, et si l’une des choses dites contre notre dictateur combattants dans son discours du 27 Juillet avait été vrai, il suffirait pour moi enlevés force morale dans le processus. Mais pourquoi ne m’a pas pris à un procès? Pourquoi falsifié des certificats médicaux? Pourquoi est violé toutes les lois de procédure et scandaleusement écarté toutes les ordonnances judiciaires? Pourquoi les choses n’ont jamais vu dans aucun processus public visant à éviter à tout prix mon apparence? En fait, j’ai l’indicible d’être présents, affirmant que le tribunal de me prendre à un procès dans le strict respect des lois, dénonçant les manœuvres des lois strictes, en prétendant prévenir, voulait discuter avec eux face à face et face à face. Ils ne voulaient pas: Qui craint la vérité et qui n’a pas peur?
Les choses que vous dit le dictateur de la succession de Camp-Britannique, serait considéré comme amusant si elles n’étaient pas si trempée dans le sang. Il a déclaré que les assaillants étaient un groupe de mercenaires, parmi lesquels se trouvaient de nombreux étrangers, a déclaré la partie principale de ce plan était une tentative sur sa vie-lui, toujours lui, comme si les hommes qui ont attaqué la forteresse Moncada n’aurait pas pu tuer à lui et vingt comme lui, s’il avait été contenu avec de telles méthodes, dit que l’attaque avait été fixée par Prio ancien président et son argent, et a prouvé maintes et maintes fois et l’absence totale de toute relation entre ce mouvement et régime précédent, a déclaré que nous étions armés de mitrailleuses et de grenades à main, et les techniciens de l’armée ici ont déclaré que nous n’avions qu’une mitrailleuse tués dans le poste, et il ont fait leur apparition dans les certificats de décès de disques et de certificats médicaux pour tous soldats tués ou blessés, avec le résultat qu’aucun avaient des blessures par arme blanche. Mais surtout, le plus important, at-il dit que nous poignardé patients hôpital militaire, et les médecins de cet hôpital, pas moins que les médecins de l’armée!, Ont témoigné au procès que le bâtiment n’a jamais été occupée par nous qu’aucun patient était mort ou blessé et il n’y avait qu’un faible, correspondant à un travailleur de la santé qui ont par mégarde regarda par la fenêtre.
Quand un chef d’État ou qui font semblant de faire des déclarations dans le pays, ne parle pas de la conversation: c’est toujours un but à domicile, poursuit toujours un effet, il encourage toujours l’intention. Si nous avions déjà été militairement vaincu, si vous ne posant un danger pour la dictature royale, pourquoi nous sommes calomniés de cette façon? Si ce n’est pas évident que c’était un discours sanglante, si elle n’est pas clair qu’il était destiné à justifier les crimes commis à partir de la veille et qu’ils s’engagent plus tard que les chiffres parlent pour moi: Juillet 27, dans son la parole à partir du polygone militaire, Batista a déclaré que les assaillants avaient été 32 morts, l’impasse de la semaine s’élève à plus de quatre-vingts. Qu’est-ce batailles, ce qui place, ce que ces jeunes hommes morts au combat? Avant Batista a parlé avait tué plus de vingt prisonniers après Batista a parlé 50 tués.
Quel sens de l’honneur si grand de ces armée militaire modeste, technique et professionnelle, qui, lorsqu’il est traduit devant le tribunal les faits et défiguré émis leurs rapports en ligne avec la plus stricte vérité! Ceux-ci sont en effet honorer l’uniforme militaire, oui ceux sont des hommes! Ni l’armée ni l’homme réel vrai peut tacher votre vie de foi avec des mensonges et de la criminalité. Je sais que vous êtes terriblement choquée par les meurtres barbares qui ont été commis, je sais que je me sens le dégoût et la honte de l’odeur du sang d’homicide qui imprègne chaque pierre de la Moncada.
Invité le dictateur de répéter maintenant, si vous le pouvez, votre calomnie ignoble sur le témoignage de ces soldats honorables, je le mets au défi de justifier auprès des gens de Cuba un discours le 27 Juillet, pas langage de la rue!, dire qui sont les meurtriers, l’impitoyable, l’inhumaines, de dire si la Croix d’honneur qui était de les mettre dans le coffre pour les héros de l’abattage répugnait à récompenser les crimes ont été commis, de prendre maintenant la responsabilité de l’histoire et n’a pas l’intention de dire, après le départ des soldats, sans ses ordres, pour expliquer aux meurtres nation soixante-dix était beaucoup de sang! La nation a besoin d’une explication, la nation l’exige, la nation l’exige.
On sait que, en 1933, pour mettre fin à l’Hôtel du concours national, certains officiers ont été tués après avoir cédé, qui a suscité une vive protestation à la revue Bohemia, était aussi connu que, après le fort capitule mitrailleuses Atares balayé les assiégeants une rangée de prisonniers et un soldat, demandant qui était Blas Hernández, il a été assassiné d’une balle dans le visage, un soldat qui, en récompense de son acte lâche a été promu officier. On savait que le meurtre de prisonniers a été mortellement liée dans l’histoire de Cuba au nom de Batista. L’ingéniosité Awkward que nous avons compris notre bien! Toutefois, dans ces temps les événements se sont produits en quelques minutes, pas plus que d’une mitrailleuse éclater lorsque tempère étaient encore exaltée, mais jamais pu justifier une telle procédure.
Pas si à Santiago de Cuba. Voici toutes les formes de cruauté, de méchanceté et de la barbarie ont été dépassées. Non tué pendant une minute, une heure ou une journée, mais dans une semaine entière, les coups, la torture, des toits en pente et la prise de vue ne s’est pas arrêté un instant comme des instruments de l’exécution de destruction par des artisans de la criminalité. La caserne de Moncada est devenu un atelier de la torture et la mort, et sont devenus des hommes indignes de militaires tabliers bouchers uniformes. Les murs étaient éclaboussés de sang, des balles dans les murs étaient incrustés avec des fragments de peau, du cerveau et de cheveux humains, chamusqueados par point vierges coups de feu, et la pelouse était couverte de sang noir, collant. Les mains criminelles qui gouvernent le destin de Cuba avait écrit pour les prisonniers à l’entrée de cet antre de la mort, l’inscription de l’Enfer: «Abandonnez tout espoir.»
Ne couvre pas même l’apparence, pas la moindre peine de cacher ce qu’ils faisaient: ils ont pensé qu’ils avaient trompé les gens avec leurs mensonges et à se tromper terminé. Ils étaient seigneurs et maîtres de l’univers, maîtres absolus de la vie et la mort humaine. Ainsi, le choc de la matinée, ils dissipée dans un festin de cadavres, une véritable orgie de sang.
Les chroniques de notre histoire, qui commencent quatre siècles et demi plus tôt, nous avons de nombreux actes de cruauté, de l’abattage des Indiens sans défense, les atrocités commises par les pirates qui ravageaient les côtes, les barbaries des rebelles dans la lutte pour l’indépendance, la fusillade de prisonniers par la cubaine Weyler armée, les horreurs du régime Machado, aux crimes de mars 35, mais personne ne a écrit une page sanglante si triste et sombre, le nombre de victimes et de la cruauté de leurs bourreaux, et Santiago de Cuba. Un seul homme dans tous ces siècles, a taché de sang deux périodes différentes de notre existence historique et a collé ses griffes dans la chair de deux générations de Cubains. Et ce fleuve de sang qui coulait sans précédent attendu que nous étions dans le Centenaire de l’Apôtre et a terminé son cinquantième anniversaire de la république qui coûté tant de vies pour la liberté, parce qu’elle pèse sur un homme qui avait régné en maître et pour onze longues années, les personnes la tradition et le sentiment qui aime la liberté et rejette le crime de toute son âme, un homme qui n’était pas non plus juste, ni honnête, ni honnête, ni gentilhomme une minute de sa vie publique.
Ce n’était pas assez trahison Janvier 1934, les crimes de Mars 1935, et la fortune 40000000 qui a couronné la première étape nécessaire de la trahison de Mars 1952, les crimes de Juillet 1953 et les millions de personnes qui ne Le temps nous dira. Dante a divisé son Inferno en neuf cercles: dans le septième mettre les criminels dans le huitième mettre les voleurs et de mettre à la neuvième pour les traîtres. Dilemme dur que les démons doivent trouver un endroit convenable pour l’âme de cet homme … si cet homme avait une âme! Qui a encouragé les atrocités de Santiago de Cuba, n’a pas du tout courage.
Je sais que de nombreux détails de la façon dont ces crimes ont été effectuées par la bouche de certains soldats qui. plein de honte, j’ai parlé des scènes qu’ils avaient été témoins.
Après la bataille qui fait rage comme des bêtes sauvages ont été jetés sur la ville de Santiago de Cuba et contre la population sans défense gorgé du premier coup. Dans la rue et très loin du lieu où la lutte a été transpercé sa poitrine tiré sur un enfant innocent jouer près de la porte de sa maison, et quand le père est venu le chercher à travers le front avec de la grenaille d’or. Le terme «enfant» Cala, qui allait à sa maison avec une baguette de pain dans ses mains, a été abattu sans un mot. Il serait interminable de renvoyer les crimes et abus commis contre des civils. Et si de cette manière a agi avec ceux qui n’avaient pas participé à l’action, vous pouvez supposer l’horrible sort des prisonniers concernés ou qu’ils croyaient y ont participé: pour que, dans ce cas impliquant de nombreuses personnes complètement en dehors de la faits, et ont tué un grand nombre des prisonniers qui n’avaient rien à voir avec l’attaque, ils ne sont pas inclus dans le nombre de victimes qui ont donné, qui se réfèrent exclusivement à nos hommes. Un jour nous saurons le nombre total de tués.
Le premier prisonnier tué était notre médecin, le Dr Mario Muñoz, qui n’était pas armé et portait son uniforme et le médecin, un homme généreux et compétent avait servi avec la même dévotion à la fois l’adversaire et l’ami blessé. Sur le chemin de la caserne de l’Hôpital Civil a été abattu dans le dos et lui a laissé couché sur le ventre dans une mare de sang. Mais le massacre de prisonniers n’ont pas commencé qu’après 15h00. Jusque-là, attendu les ordres. Il a ensuite Havane général Martin Diaz Tamayo, qui a apporté des instructions spécifiques sorties d’une réunion où ils étaient de Batista chef de l’armée, le chef de la carte SIM, Díaz Tamayo lui-même et médailles d’or. Il a dit que «c’était une honte et un déshonneur à l’armée d’avoir au combat trois fois plus faible que les assaillants et a dû tuer dix prisonniers pour chaque soldat mort.» Ce fut l’ordre!.
Dans chaque groupe humain, il ya des gens qui instincts de base, des criminels nés, des bêtes portant atavisme ancestral tout enrobé d’une façon humaine, les monstres retenus par la discipline et l’habitude sociale, mais si vous leur donnez du sang à boire dans une rivière ne s’arrêteront pas jusqu’à ce que qui a séché. Ce que ces hommes ont besoin précisément cet ordre. Dans ses mains, le meilleur prix pour Cuba: les plus courageux, plus honnête, le plus idéaliste. Le tyran appelé les mercenaires, et ils y mouraient comme des héros dans les mains des hommes qui ont payé un salaire de la République et avec les armes qu’elle leur a donné pour défendre qu’elle serve les intérêts d’un gang et en tuant les meilleurs citoyens.
Au milieu de la torture ont été offerts vie si trahir leur position idéologique est payé pour témoigner faussement que Prio avait donné l’argent, et comment ils avec indignation a rejeté la proposition, toujours de les torturer horriblement. Ils ont écrasé les testicules et ils ont déchiré les yeux, mais aucun cédé, ou entendu un cri et un plaidoyer: même si elles avaient été privés de leurs organes virils, ils étaient encore mille fois plus d’hommes que tous leurs bourreaux ensemble. Les photos ne mentent pas et ces organismes sont détruits. Ils ont essayé d’autres moyens ne pouvait pas avec la valeur des hommes et ont prouvé la valeur des femmes. Avec un oeil sur les mains ensanglantées avait un sergent et plusieurs hommes en prison où ils étaient les compagnons Melba Hernandez et Haydée Santamaria, et aller à la dernière projection de l’œil, a déclaré: «C’est ton frère, si vous ne dis pas ce que cela signifiait, vous arracher de l’autre. » Elle, qui aimait son frère vaillant ci-dessus toutes choses, répondit plein de dignité: «Si tu as déchiré un œil et il l’a dit, beaucoup moins ce que je dis.» Il est ensuite retourné et brûlé sur les bras avec les mégots de cigarettes, jusqu’à ce qu’enfin, plein de dépit, il a de nouveau dit le jeune Haydée Santamaria: «. Je n’ai pas un copain parce que vous avez tué trop» Et elle a de nouveau répondu imperturbablement: «Il n’est pas mort, parce que mourir pour la patrie, c’est vivre.» N’a jamais été mis dans un tel haut de l’héroïsme et la dignité au nom des femmes cubaines.
Ils n’ont pas respecté, même les blessés dans les combats qui ont eu lieu dans les hôpitaux de la ville diverses, où ils sont allés chercher comme des vautours qui suivent la proie. Dans le Centro Gallego pénétré à la salle d’opération au moment même que la transfusion sanguine a reçu deux blessures graves, l’déchirés à partir des tables et qu’ils ne pouvaient pas se tenir debout, ont été traînés au rez de chaussée où ils sont arrivés morts.
Ils pourraient faire la même chose dans la colonie espagnole, où ils ont été emprisonnés collègues Gustavo Arcos et José Ponce, parce qu’ils ont été empêchés Dr Posada bravement en disant qu’il faudrait plus de son corps.
Un Miret Pedro, Abelardo Crespo et Fidel Labrador Air et de camphre ont été injectés dans les veines de les tuer à l’hôpital militaire. Ils doivent leur vie au capitaine Tamayo, un médecin militaire et un vrai soldat d’honneur, qui, à la pointe du fusil volé être les bourreaux et a déménagé à l’Hôpital Civil. Ces cinq jeunes hommes étaient blessés qui ont survécu seulement.
Par tôt le matin ont été prises à partir des groupes du camp des hommes et pris dans les automobiles à Siboney, La Maya, Songo, et ailleurs, où ils ont été attachés et bâillonnés par, et déformé par la torture, de les tuer dans les lieux solitaires. Après l’été comptées comme tuées dans des combats avec l’armée. Cela a été fait pendant plusieurs jours et très peu de prisonniers de ceux qui étaient détenus ont survécu. Beaucoup ont été contraints de creuser sa propre avant l’enterrement. Un des jeunes, lors de l’exécution de cette opération, il se retourna et coup de poing dans le visage avec du brochet à l’un des meurtriers. D’autres, même enterrés vivants avec leurs mains attachées derrière le dos. Beaucoup d’endroits servent cimetière solitaire aux braves. Seulement dans le champ de tir de l’armée il ya cinq enterré. Un jour, être déterré et porté sur les épaules du peuple du monument, près de la tombe de Martí, le libre arbitre lever leur patrie pour les «Martyrs du centenaire.»
La dernière fille qui a été assassiné dans la région de Santiago de Cuba était Marcos Martí. Il a été arrêté dans une grotte à Siboney, le jeudi 30 le matin avec un autre compatriote Ciro Redondo. Lors de la marche sur la route portant ses bras en l’air, a tiré le premier dans le dos et sur le terrain et l’a achevé avec plusieurs autres. La seconde, elle a conduit au camp quand il a vu le commandant Pérez Chaumont a dit: «Et ce que j’ai apporté!» Le tribunal pourrait entendre le récit de la bouche de ce jeune homme qui a survécu grâce à ce que Pérez Chaumont appelé «non-sens des soldats.»
Le slogan était générale dans toute la province. Dix jours après le 26, un journal de cette ville a publié les nouvelles que, sur la route de Manzanillo à Bayamo, était apparu deux jeunes hommes pendus. Il est apparu plus tard qu’ils étaient les organes de Hugo et Pedro Camejo Veliz. Il ya aussi quelque chose d’extraordinaire s’est produit, les victimes étaient trois, ils avaient pris de la caserne Manzanillo à 2:00 am, à un point sur la route et après le battement vers le bas de leur faire perdre conscience, étranglé avec une corde . Mais quand il avait laissé pour mort, l’un d’eux, Andrés García, a repris conscience, il se réfugia avec un agriculteur et par conséquent, le tribunal peut également se renseigner en détail un grand crime. Ce jeune homme était le seul survivant de tous les prisonniers qui ont été faites dans le domaine de Bayamo.
Prudents à proximité de la rivière, dans un endroit connu sous le nom Barrancas, gisant au fond d’une fosse d’aisance les corps de Raúl Aguiar, Armando Valle et Andrés Valdés, tué à minuit, dans la manière de l’Alto Cedro à Palma Soriano par le sergent de Montes Oca, chef de la caserne depuis Miranda, le caporal Maceo et le lieutenant chef de Alto Cedro, où les personnes arrêtées.
Dans les annales du crime mérite mention honorable sergent Eulalio González, la caserne Moncada, surnommé «El Tigre». Cet homme n’a pas hésité alors à se vanter de leurs exploits tristes. C’est lui qui, avec ses propres mains assassiné notre camarade Abel Santamaría. Mais il n’était pas satisfait. Un jour, lors du retour de la prison de Boniato, dans dont la cour est titulaire d’un bébé coqs, prenait le même bus, il était en voyage de la mère d’Abel. Lorsque ce monstre réalisé qui il était, se mit à raconter ses exploits à haute voix et dit à haute voix pour entendre ce que la dame en deuil, «Eh bien, je pense que j’ai eu beaucoup d’yeux et de prendre suivre.» Les sanglots de la mère avant l’insulte lâche déduire que le meurtrier de son propre fils mieux que des mots exprimer la réprobation morale que connaît notre pays sans précédent. Ces mêmes mères, quand ils sont allés sur la caserne de la Moncada demander pour leurs enfants, avec un cynisme sans précédent leur répondit: «Pourquoi pas, madame, allez à lui, à Saint-Iphigénie hôtel où nous avons séjourné.» Soit Cuba n’est pas Cuba, ou les auteurs de ces actes auront à souffrir d’un terrible leçon! Les hommes Heartless grossièrement insultante pour les gens quand ils ont pris leurs chapeaux au passage des cadavres des révolutionnaires.
Donc, nombreux ont été les victimes que le gouvernement n’a toujours pas osé donner les listes complètes, sachez que les numéros de toute proportion. Ils ont les noms de tous les morts, car avant de tuer les prisonniers, ils ont eu l’élection générale. L’ensemble du processus à long de l’identification par le Cabinet national était la pantomime pure, et il ya des familles qui ne connaissent pas encore le sort de leurs enfants. Si elle a été près de trois mois, pourquoi ne pas le dernier mot?
Je tiens à préciser que les corps ont été enregistrées poches pour chaque cent et ont été dépouillés de vêtements personnels, bagues et montres, qui sont maintenant ouvertement en utilisant les meurtriers.
Une grande partie de ce que je viens de mentionner et que vous vous connaissiez, Mesdames et Messieurs les juges, par les déclarations de mes collègues. Mais voir comment ils n’ont pas réussi à venir à ce procès de nombreux témoins et compromettre lieu ont assisté aux séances d’un autre procès. Manqué, par exemple, toutes les infirmières de l’Hôpital Civil, même si elles sont ici à côté de nous, travaillant dans le même bâtiment où se tient la réunion, ne pas les laisser paraître qu’ils ne pouvaient pas dire devant le tribunal, répondre à mes questions, ici ont été arrêtés une vingtaine d’hommes vivants, outre le Dr Mario Muñoz. Ils craignaient que l’interrogatoire des témoins, je pourrais dire de témoignage écrit de très dangereux.
Mais vint le commandant Pérez Chaumont et ne pouvait pas s’échapper. Qu’est-il arrivé à ce héros de batailles contre des hommes désarmés et menotté, donne une idée de ce qui serait arrivé dans le Palais de Justice, si je n’avais pas été enlevés dans le processus. J’ai demandé à beaucoup de nos hommes étaient morts dans son célèbre bataille de Siboney. Il hésita. J’ai insisté et finalement m’a dit que vingt et un. Comme je sais que ces combats ne s’est pas produit jamais, j’ai demandé combien avait été blessé. Il a dit qu’aucun: ils étaient tous morts. Ainsi surpris, je lui répondis que si l’armée a été l’utilisation d’armes atomiques. Bien sûr, où il ya à brûle-pourpoint tir à aucun blessé. Je lui ai demandé combien de victimes avaient été après l’armée. Il a dit que deux blessés. Enfin, j’ai demandé si l’une des personnes blessées était morte, et j’ai dit non. J’ai attendu. Plus tard, défilé des blessés de l’armée et il s’est avéré qu’aucune n’avait été en Siboney. Le même commandant Pérez Chaumont, à peine à rougir d’avoir tué vingt à une jeune sans défense, construit sur la plage Ciudamar un palais qui vaut plus de cent mille dollars. Leur pécule en seulement marzato quelques mois. Et si cela a sauvé le capitaine, combien généraux ont sauvé!.
Mesdames et Messieurs les Juges: Où sont nos compagnons arrêtés le 26, 27, 28 et Juillet 29, connus pour dépenser 60 dans la région de Santiago de Cuba? seulement trois et deux filles ont fait leur apparition, d’autres sanctionnés étaient tous arrêtés plus tard. Où sont nos camarades blessés? Seulement cinq ont fait leur apparition: le reste ont été assassinés ainsi. Les chiffres sont irréfutables. Autour ici, cependant, ont passé une vingtaine de soldats qui étaient nos prisonniers et que ses paroles n’ont pas reçu une insulte. Car ici se sont écoulés trentaine de blessés de l’armée, beaucoup d’entre eux dans les combats de rue, et aucun n’a été terminé. Si l’armée avait dix-neuf morts et trente blessés, comment est-il possible que nous avons eu 80 morts et cinq blessés? Qui a jamais vu de combat de vingt morts et pas de blessés aussi célèbre Pérez Chaumont?
Voici le nombre de victimes dans les violents combats de la guerre dans la colonne n ° 95, à la fois ceux qui ont été victorieux et dans ceux qui ont été défaits bras cubains: bataille de Los Indios, dans Las Villas, douze blessés, aucun décès ; bataille de Mal Tiempo: quatre tués, vingt blessés Calimete combat: seize tués, 64 blessés, la bataille de La Palma, 39 tués, le combat 88 blessés Cacarajícara: cinq morts, treize blessés au combat le reste: quatre tués, 45 blessés dans la bataille de San Gabriel Lombillo: deux tués, dix-huit blessés … absolument tout le nombre de blessés est deux fois, trois fois et dix fois les morts. Il y avait alors modernes progrès de la science médicale qui réduisent la proportion de décès. Comment peut-on expliquer la grande proportion de seize ans tué par un blessé, si ce n’est pas leur garniture dans les mêmes hôpitaux, puis le meurtre des prisonniers sans défense? Ces chiffres parlent sans se disputer.
«C’est une honte et un déshonneur à l’armée d’avoir au combat trois fois plus faible que les attaquants, nous devrons en tuer dix prisonniers pour chaque soldat mort …» C’est leur conception de l’honneur se termine fourriers promu général le 10 Mars, et c’est l’honneur que vous voulez imposer à l’armée nationale. Faux honneur, l’honneur feinte, l’honneur de l’apparence qui est basée sur des mensonges, d’hypocrisie et de la criminalité; meurtriers sanglants qui amassent un masque d’honneur. Qui leur a dit de mourir au combat est une honte? Qui vous a dit que l’honneur d’une armée est de tuer les blessés et les prisonniers de guerre?
Dans la guerre des armées que les prisonniers ont toujours gagné meurtre le mépris et l’exécration du monde. Donc, une grande lâcheté n’a pas de justification, même pour les ennemis du pays envahi le pays. Comme il a écrit un libérateur de l’Amérique du Sud, «et la plus stricte obéissance militaire peut changer dans lame de l’épée du soldat d’un bourreau.» L’honneur militaire ne tue pas le prisonnier sans défense après le combat, mais le respecte, pas un effort de faire du mal, mais ça aide, prévenir le crime et si vous ne pouvez pas arrêter comme ça capitaine espagnol qui, sentant les coups de feu qui tiraient étudiants indignation brisa son épée et a refusé de continuer à servir cette armée.
Ceux qui ont assassiné les prisonniers ne se comportent pas comme des compagnons dignes de ceux qui sont morts. J’ai vu beaucoup de soldats se sont battus avec beaucoup de courage, comme ceux de la patrouille ont tiré leurs mitrailleuses contre nous dans un combat près de main en main ou que sergent qui, défiant la mort a saisi l’alarme pour mobiliser le camp. Certains sont en vie, je suis heureux, d’autres sont morts, que pour tomber Je me sens braves qui défendent une mauvaise cause. Quand Cuba est libre, il doit respecter, protéger et aider les femmes et les enfants du brave qui est tombé devant nous. Ils sont innocents des malheurs de Cuba, ils sont tous victimes de cette situation désastreuse.
Mais qui a remporté l’honneur pour les soldats tués en armes de combat souillé les généraux commandant les tuer les prisonniers après la bataille. Les hommes qui sont devenus généraux dans le matin à l’aube, sans coup férir, qui a acheté leurs étoiles de haute trahison contre la République, qui a envoyé les prisonniers tués dans une bataille qui n’a pas participé: ces sont les généraux de Mars 10, en général qui n’aurait pas servi ou pour rassembler les mules qui transportaient les bagages de l’armée d’Antonio Maceo.
Si l’armée avait trois fois plus faible que nous parce que nos hommes ont été parfaitement formés, comme on disait, et parce qu’ils avaient pris des tactiques appropriées comme eux-mêmes reconnu. Si l’armée n’a pas fait une plus brillante, si elle a été totalement surpris, malgré les millions dépensés sur la carte SIM dans l’espionnage, si leurs grenades n’ont pas explosé parce qu’ils étaient vieux, c’est parce qu’elle est générale et Martin Diaz Tamayo et colonels comme Ugalde Carrillo et Albert del Río Chaviano. Il y avait dix-sept traîtres coincés dans les rangs de l’armée et le 10 Mars, mais une centaine de soixante-cinq hommes qui ont traversé l’île d’un extrême à l’autre pour faire face ouvertement de la mort. Si ces dirigeants ont eu l’honneur militaire aurait démissionné de leurs postes au lieu de laver leur honte et leur incapacité personnelle dans le sang des prisonniers.
Tuer les prisonniers sans défense, puis disent qu’ils ont été tués au combat, c’est tout ce que la capacité militaire des généraux de Mars 10. Donc, dans les années agi plus cruelle de notre guerre d’indépendance le pire des voyous Valeriano Weyler. Les Chroniques de la guerre nous dire sur le passage suivant: «Le 23 Février est entré en Punta Brava agent Acosta Baldomero avec un peu de cavalerie, tandis que sur la route en face d’un peloton du régiment est venu Pizarro en commandement d’un sergent, Barriguilla connue là-bas. Les insurgés ont échangé des coups de feu avec des personnes de Pizarro, et se retira par la route qui relie Punta Brava dans le village de Guatao. À cinquante hommes de Pizarro était une compagnie de volontaires et d’autres corps de Marianao l’ordre public, dirigé par le capitaine Calvo […] suivie Guatao mars, et à pénétrer l’avant-garde dans le village a commencé le massacre contre le quartier paisible, tué douze résidents. […] Avec l’ plus vite la colonne commandée par le capitaine Calvo, a atteint pour tous les voisins courez-vous autour de la ville, et en les attachant solidement en tant que prisonniers de guerre, ont défilé à La Havane. […] Non content même avec les abus commise en dehors de Guatao, conduit d’autres coup de l’exécution barbare qui a tué l’un des prisonniers et des blessures horribles à d’autres. Le marquis de Cervera, le mess palatine et militaire, Weyler informé la coûteuse victoire des armes espagnoles mais Zugasti commandant, un homme d’honneur, le gouvernement a indiqué ce qui s’est passé, et décrit comme assassiner des voisins pacifiques de décès perpétrés par le méchant capitaine Calvo et le sergent Barriguilla.
«L’intervention Weyler dans cet horrible incident et sa joie de connaître les détails de l’assassinat, est découvert dans une palpable dans la dépêche officielle adressée à la ministre de la guerre dans le sillage du sacrifice sanglant.» Colonne Petit organisée par le commandant Marianao forces militaires de garnison, les bénévoles et les pompiers sous le commandement du capitaine Calvo de l’ordre public, battement, destrozándolas, jeux Villanueva et Baldomero Acosta près de Punta Brava (Guatao), provoquant une vingtaine de morts, qu’il tendit à son enterrement au Maire Guatao, rendant quinze prisonniers, dont un blessé […] et en supposant que beaucoup sont blessés, nous avons eu un. grièvement blessé, plusieurs doux et brutal Weyler «.»
Comment est cette partie différente de la partie Weyler la guerre du colonel Chaviano réaliser les victoires de Major Pérez Chaumont? Seule cette Weyler Chaviano fait état de vingt morts et rapporté vingt-et-un Weyler mentionne un soldat blessé dans leurs rangs, Chaviano mentionne deux; Weyler parle d’un homme blessé et quinze prisonniers dans le camp ennemi, Chaviano parle pas de blessés ou prisonniers.
Comme je l’ai admiré le courage des soldats qui ont su mourir, je l’admire et reconnaît que de nombreux soldats se comportaient avec dignité et sans les mains tachées de cette orgie de sang. Pas quelques prisonniers qui ont survécu doivent leur vie à l’attitude honorable de l’armée comme lieutenant Sarria, le lieutenant Camps, le capitaine Tamayo et d’autres qui gardaient les prisonniers galamment. Si les hommes comme ceux-ci n’avaient pas partiellement sauvé l’honneur des forces armées, aujourd’hui, serait plus honorable pour prendre un torchon que l’uniforme.
Pour ma vengeance cri morts camarades. Depuis leurs vies étaient précieux, ils ne pouvaient pas payer avec ses propres tous les criminels ensemble. Ne pas être payé avec le sang que les conditions de vie des jeunes qui meurent pour la cause d’un peuple, le bonheur du peuple sont le seul prix décent qui peuvent être payés par eux.
Mes collègues sont aussi ni mort, ni oubliée; vivent maintenant plus que jamais, et leurs meurtriers terrifié de voir comment leur corps provient de la victoire héroïque du spectre de ses idées. Laissez l’Apôtre parle pour moi: «Il ya une limite à pleurer sur les tombes des morts, et c’est l’amour infini de pays et la gloire qui est juré sur leur corps, et qui ne craint pas ou être abattu et ne faiblit jamais; parce que les corps des martyrs sont le sanctuaire le plus beau de l’honneur. «
[…] Quand vous mourrez
dans les bras d’un pays reconnaissant,
extrémités de mort, les pauses de prison,
commence enfin à mourir, la vie!
Jusqu’à présent, je me suis borné presque exclusivement aux faits. Parce que n’oubliez pas que je me tiens devant un tribunal de droit que les juges-moi vous montrer maintenant que notre parti est juste et que la sanction infligée à mes camarades et qui cherche à imposer n’est pas justifiée à la raison, à la société et à une véritable justice.
Je veux être personnellement respectueux envers les juges et je vous remercie messieurs que vous voyez dans la grossièreté de mes vérités aucune animosité contre vous. Mes arguments sont destinés uniquement à démontrer la fausse et trompeuse de la position prise dans cette situation pour le système judiciaire tout entier, qui chaque tribunal est juste un simple morceau obligé de mars, dans une certaine mesure, par le même chemin que les traces la machine, sans leur justification, bien sûr, pas l’homme à agir contre ses principes. Je suis conscient que la responsabilité ultime incombe à toute l’oligarchie haute que sans un geste décent s’inclina servilement aux diktats de l’usurpateur trahir la nation et renoncer à l’indépendance du pouvoir judiciaire. Exceptions honorables ont essayé de réparer l’honneur brisé avec des opinions individuelles, mais le geste de l’infime minorité vient transpiré, noyé par les attitudes des majorités et des ovejunas soumis. Ce fatalisme, cependant, m’empêcher de vous expliquer pourquoi je l’assiste. Si le tribunal ne m’a pas emmené à cela est pure comédie pour donner l’apparence de la légalité et la justice à l’arbitraire, je suis prêt à déchirer d’une main ferme le voile qui couvre infâme impudeur tellement. Il est curieux qu’ils me mettre devant vous pour me juger et de l’ordre n’ont pas observé un seul ordre de cette cour.
Si ce jugement, comme vous le dites, est le plus important qui a été diffusé au tribunal depuis la création de la République, ce que je dis ici peut être perdu dans la conspiration du silence que je voulais imposer la dictature, mais il que vous, la postérité sera souvent les yeux. Rappelez-vous que vous êtes maintenant juger un accusé, mais vous, à son tour, sera jugé non pas une fois mais beaucoup, beaucoup de fois cela est soumis à une critique dévastatrice de l’avenir. Donc, ce que je dis ici sera répété plusieurs fois, non pas parce qu’ils ont entendu de ma bouche, mais parce que le problème de la justice est éternelle, et sur les opinions des juristes et des théoriciens, des gens ont un sens profond . Les gens ont une logique simple mais implacable, en contradiction avec tous les absurde et contradictoire, et si l’on déteste aussi avec toute son âme le privilège et l’inégalité, qui est le peuple cubain. Sachez que la justice est représentée par une jeune fille, une échelle et une épée. Si l’arc est un lâche et furieusement en agitant le pistolet sur les autres, puis l’imaginer comme une prostituée en brandissant un poignard. Ma logique est simple logique du peuple.
Je ferai référence à une histoire. Il était une fois une république. Il avait sa Constitution, ses lois, ses libertés, président, Congrès, les tribunaux, tout le monde pouvait se réunir, s’associer, parler et écrire librement. Le gouvernement ne remplissait pas les gens, mais les gens pouvaient changer cela, et manquant de peu quelques jours pour le faire. Il y avait un respect du public et pris en compte et tous les problèmes d’intérêt commun ont été librement discutées. Il y avait des partis politiques, les heures doctrinale radio, débats télévisés, des événements publics, et les gens battant l’excitation. Ce peuple avait souffert, et si elle n’est pas heureuse, je voulais être et était en droit de lui. Il avait été trompé plusieurs fois et regarda le passé avec horreur réelle. Aveuglément cru qu’il ne pouvait pas retourner; était fier de son amour de la liberté et a vécu arrogant qu’elle serait respecté en tant que sacrée, était une noble confiance dans l’assurance que personne n’oserait commettre le crime de violer leurs institutions démocratiques . Je voulais un changement, d’amélioration, des progrès, et le vit à proximité. Tout leur espoir était dans l’avenir.
Pauvres gens! Un matin, les citoyens se réveilla frissonnant, dans les ombres de la nuit, les fantômes du passé avait conjuré pendant qu’elle dormait, et qu’il avait maintenant saisi par les mains, les pieds et le cou. Ces griffes étaient familiers: ces mâchoires, ces faux mort, ces bottes … Non, c’était un cauchemar, c’était une triste et terrible réalité: un homme du nom de Fulgencio Batista venait de commettre le crime horrible que prévu.
Or, il advint qu’un humble citoyen de cette ville, qui ont voulu croire dans les lois de la République et l’intégrité de ses juges de s’en prendre à ceux qui avaient vu de nombreuses fois contre la malheureuse, a demandé un Code de défense sociale pour voir ce que la société peine prévue pour l’auteur de ce fait, et j’ai trouvé ce qui suit:
«Engager une peine d’emprisonnement de six à dix ans qui commet un acte visant directement à modifier en totalité ou en partie, par la violence, la Constitution de l’Etat ou la forme de gouvernement établi.»
«Il va imposer une peine d’emprisonnement de trois à dix ans de l’auteur d’un événement visant à promouvoir un soulèvement des hommes armés contre les pouvoirs constitutionnels de l’État. La peine sera l’emprisonnement de cinq à vingt ans si ils vous prennent à l’insurrection. «
«Celui qui accomplit un acte dans le but spécifique d’empêcher, en tout ou en partie, même si ce n’est que temporairement au Sénat, la Chambre des représentants, les représentants, le Président de la République ou de la Cour suprême, l’exercice de sa fonctions constitutionnelles encourra une peine d’emprisonnement de six à dix ans.
«Celui qui va essayer d’empêcher ou d’entraver la tenue d’élections générales, […] est passible d’une peine d’emprisonnement de quatre à huit ans.
«Celui qui introdujere, publie, ou les tentatives d’appliquer propagare à Cuba, bureau, magasin ou afin décret […] afin de provoquer l’échec des lois existantes, est passible d’une peine d’emprisonnement de deux à six ans ans. «
«Quiconque, sans droit de léguer ou de l’ordonnance du gouvernement, va prendre le commandement des troupes, des lieux, des forts, des postes militaires, des villes ou des navires ou des aéronefs de guerre est passible d’une peine d’emprisonnement de cinq à dix ans.
«La même peine est infligée à celui qui usurpe l’exercice d’une fonction conféré par la Constitution comme appartenant à l’une des branches du gouvernement.»
Sans dire un mot à personne, avec le code dans une main et le papier dans un autre, le citoyen a dit est présenté dans la vieille maison dans la capitale où le travail juridiction compétente, il fut obligé de promouvoir des causes et punir les responsables de ce fait, et a déposé un mémoire dénonçant les crimes et demander Fulgencio Batista et ses dix-sept peines des complices de cent et huit ans de prison et a ordonné à imposer le Code de défense sociale avec toutes les circonstances aggravantes de récidive, la trahison et nocturne.
Les jours et les mois se sont écoulés. Quelle déception! Le défendeur n’a pas pris la peine, marcha par la République comme un maître, seigneur appelait honorable, en général, enlevé et placé des juges, et rien de moins que le jour de l’ouverture de la cour du défendeur a été assis à la place d’honneur, entre les patriarches août et vénérable de notre justice.
Encore une fois passé les jours et les mois. Les gens sont fatigués de la violence et le ridicule. Les gens sont fatigués! Entré à la lutte, et puis l’homme qui était hors la loi, qui s’était emparé du pouvoir par la violence, contre la volonté du peuple et d’attaquer l’ordre juridique, torturé, assassiné, emprisonné et accusé à la justice ceux qui avaient été se battre pour le droit et rétablir la liberté du peuple.
Mesdames et Messieurs les Juges, je suis ce citoyen humble qui présenta un jour devant un tribunal en vain de leur demander de punir ceux qui ont violé les lois ambitieux et brisé nos institutions, et maintenant quand c’est moi qui est accusé de chercher à renverser le régime illégale et de rétablir la Constitution légitime de la République, I est de soixante-six jours à l’isolement dans une cellule, sans parler à personne ou même de voir mon fils que je conduisais autour de la ville entre deux mitrailleuses lourdes, je me suis déplacé à cette hôpital a essayé en secret avec la gravité et un procureur du Code dans sa main demande solennellement pour moi d’emprisonnement de vingt-six ans.
Je dirai que cette fois les juges de la République n’a pas agi parce que la force a empêché, alors, confesadlo: cette fois encore la force vous obligera à me condamner. La première fois que vous ne pouvait pas punir les coupables, la seconde aura pour punir l’innocent. La jeune fille violée à deux reprises de la justice par la force.
Et combien baratin pour justifier l’injustifiable, d’expliquer l’inexplicable et à concilier l’inconciliable! Jusqu’à ce que finalement j’ai à dire, comme la raison suprême, de ce fait crée le droit. Autrement dit, le fait de jeter des chars et des soldats dans les rues, en saisissant le palais présidentiel, le Trésor de la République et d’autres bâtiments officiels, et en pointant des fusils à cœur des gens, crée le droit de gouverner. Le même argument pourrait utiliser les nazis qui occupaient les nations de l’Europe et installé des gouvernements fantoches en eux.
Je reconnais et je pense que la révolution est forte dans la loi, mais ne peut jamais être appelé la révolution d’assaut de nuit à main armée le 10 Mars. Dans le langage vulgaire, comme José Ingenieros dit, il est souvent le nom de la révolution à des troubles de petits promus d’un groupe de mécontents pour éliminer les politiques malades leurs avantages ou des avantages économiques, généralement résolus par des changements de certains hommes par d’autres, une nouvelle répartition des emplois et des avantages. Ce n’est pas l’arrêt de la philosophe de l’histoire, ne peut pas être l’étude de l’homme.
No ya en el sentido de cambios profundos en el organismos social, ni siquiera en la superficie del pantano público se vio mover una ola que agitase la podredumbre reinante. Si en el régimen anterior había politiquería, ha multiplicado por diez el pillaje y ha duplicado por cien la falta de respeto a la vida humana.
Se sabía que Barriguilla había robado y había asesinado, que era millonario, que tenía en la capital muchos edificios de apartamentos, acciones numerosas en compañías extranjeras, cuentas fabulosas en bancos norteamericanos, que repartió bienes gananciales por dieciocho millones de pesos, que se hospedaba en el más lujoso hotel de los millonarios yanquis, pero lo que nunca podrá creer nadie es que Barriguilla fuera revolucionario. Barriguilla es el sargento de Weyler que asesinó doce cubanos en el Guatao… En Santiago de Cuba fueron setenta. De te fabula narratur.
Cuatro partidos políticos gobernaban el país antes del 10 de marzo: Auténtico, Liberal, Demócrata y Republicano. A los dos días del golpe se adhirió el Republicano; no había pasado un año todavía y ya el Liberal y el Demócrata estaban otra vez en el poder, Batista no restablecía la Constitución, no restablecía las libertades públicas, no restablecía el Congreso, no restablecía el voto directo, no restablecía en fin ninguna de las instituciones democráticas arrancadas al país, pero restablecía a Verdeja, Guas Inclán, Salvito García Ramos, Anaya Murillo, y con los altos jerarcas de los partidos tradicionales en el gobierno, a lo más corrompido, rapaz, conservador y antediluviano de la política cubana. ¡Ésta es la revolución de Barriguilla!
Ausente del más elemental contenido revolucionario, el régimen de Batista ha significado en todos los órdenes un retroceso de veinte años para Cuba. Todo el mundo ha tenido que pagar bien caro su regreso, pero principalmente las clases humildes que están pasando hambre y miseria mientras la dictadura que ha arruinado al país con la conmoción, la ineptitud y la zozobra, se dedica a la más repugnante politiquería, inventando fórmulas y más fórmulas de perpetuarse en el poder aunque tenga que ser sobre un montón de cadáveres y un mar de sangre.
Ni una sola iniciativa valiente ha sido dictada. Batista vive entregado de pies y manos a los grandes intereses, y no podía ser de otro modo, por su mentalidad, por la carencia total de ideología y de principios, por la ausencia absoluta de la fe, la confianza y el respaldo de las masas. Fue un simple cambio de manos y un reparto de botín entre los amigos, parientes, cómplices y la rémora de parásitos voraces que integran el andamiaje político del dictador. ¡Cuántos oprobios se le han hecho sufrir al pueblo para que un grupito de egoístas que no sienten por la patria la menor consideración puedan encontrar en la cosa pública un modus vivendi fácil y cómodo!.
¡Con cuánta razón dijo Eduardo Chibás en su postrer discurso que Batista alentaba el regreso de los coroneles, del palmacristi y de la ley de fuga! De inmediato después del 10 de marzo comenzaron a producirse otra vez actos verdaderamente vandálicos que se creían desterrados para siempre en Cuba: el asalto a la Universidad del Aire, atentado sin precedentes a una institución cultural, donde los gangsters del SIM se mezclaron con los mocosos de la juventud del PAU; el secuestro del periodista Mario Kuchilán, arrancado en plena noche de su hogar y torturado salvajemente hasta dejarlo casi desconocido; el asesinato del estudiante Rubén Batista y las descargas criminales contra una pacífica manifestación estudiantil junto al mismo paredón donde los voluntarios fusilaron a los estudiantes del 71; hombres que arrojaron la sangre de los pulmones ante los mismos tribunales de justicia por las bárbaras torturas que les habían aplicado en los cuerpos represivos, como en el proceso del doctor García Bárcena. Y no voy a referir aquí los centenares de casos en que grupos de ciudadanos han sido apaleados brutalmente sin distinción de hombres o mujeres, jóvenes o viejos. Todo esto antes del 26 de julio. Después, ya se sabe, ni siquiera el cardenal Arteaga se libró de actos de esta naturaleza. Todo el mundo sabe que fue víctima de los agentes represivos. Oficialmente afirmaron que era obra de una banda de ladrones. Por una vez dijeron la verdad, ¿qué otra cosa es este régimen?…
La ciudadanía acaba de contemplar horrorizada el caso del periodista que estuvo secuestrado y sometido a torturas de fuego durante veinte días. En cada hecho un cinismo inaudito, una hipocresía infinita: la cobardía de rehuir la responsabilidad y culpar invariablemente a los enemigos del régimen. Procedimientos de gobierno que no tienen nada que envidiarle a la peor pandilla de gangster. Hitler asumió la responsabilidad por las matanzas del 30 de junio de 1934 diciendo que había sido durante 24 horas el Tribunal Supremo de Alemania; los esbirros de esta dictadura, que no cabe compararla con ninguna otra por la baja, ruin y cobarde, secuestran, torturan, asesinan, y después culpan canallescamente a los adversarios del régimen. Son los métodos típicos del sargento Barriguilla.
En todos estos hechos que he mencionado, señores magistrados, ni una sola vez han aparecido los responsables para ser juzgados por los tribunales. ¡Cómo! ¿No era éste el régimen del orden, de la paz pública y el respeto a la vida humana?
Si todo esto he referido es para que se me diga si tal situación puede llamarse revolución engendradora de derecho; si es o no lícito luchar contra ella; si no han de estar muy prostituidos los tribunales de la República para enviar a la cárcel a los ciudadanos que quieren librar a su patria de tanta infamia.
Cuba está sufriendo un cruel e ignominioso despotismo, y vosotros no ignoráis que la resistencia frente al despotismo es legítima; éste es un principio universalmente reconocido y nuestra Constitución de 1940 lo consagró expresamente en el párrafo segundo del artículo 40: «Es legítima la resistencia adecuada para la protección de los derechos individuales garantizados anteriormente.» Más, aun cuando no lo hubiese consagrado nuestra ley fundamental, es supuesto sin el cual no puede concebirse la existencia de una colectividad democrática. El profesor Infiesta en su libro de derecho constitucional establece una diferencia entre Constitución Política y Constitución Jurídica, y dice que «a veces se incluyen en la Constitución Jurídica principios constitucionales que, sin ello, obligarían igualmente por el consentimiento del pueblo, como los principios de la mayoría o de la representación en nuestras democracias». El derecho de insurrección frente a la tiranía es uno de esos principios que, esté o no esté incluido dentro de la Constitución Jurídica, tiene siempre plena vigencia en una sociedad democrática. El planteamiento de esta cuestión ante un tribunal de justicia es uno de los problemas más interesantes del derecho público. Duguit ha dicho en su Tratado de Derecho Constitucional que «si la insurrección fracasa, no existirá tribunal que ose declarar que no hubo conspiración o atentado contra la seguridad del Estado porque el gobierno era tiránico y la intención de derribarlo era legítima». Pero fijaos bien que no dice «el tribunal no deberá», sino que «no existirá tribunal que ose declarar»; más claramente, que no habrá tribunal que se atreva, que no habrá tribunal lo suficientemente valiente para hacerlo bajo una tiranía. La cuestión no admite alternativa; si el tribunal es valiente y cumple con su deber, se atreverá.
Se acaba de discutir ruidosamente la vigencia de la Constitución de 1940; el Tribunal de Garantías Constitucionales y Sociales falló en contra de ella y a favor de los Estatutos; sin embargo, señores magistrados, yo sostengo que la constitución de 1940 sigue vigente. Mi afirmación podrá parecer absurda y extemporánea; pero no os asombréis, soy yo quien se asombra de que un tribunal de derecho haya intentado darle un vil cuartelazo a la Constitución legítima de la República. Como hasta aquí, ajustándome rigurosamente a los hechos, a la verdad y a la razón, demostraré lo que acabo de afirmar. El Tribunal de Garantías Constitucionales y Sociales fue instituido por el artículo 172 de la Constitución de 1940, complementado por la Ley Orgánica número 7 de 31 de mayo de 1949. Estas leyes, en virtud de las cuales fue creado, le concedieron, en materia de inconstitucionalidad, una competencia específica y determinada: resolver los recursos de inconstitucionalidad contra las leyes, decretos-leyes, resoluciones o actos que nieguen, disminuyan, restrinjan o adulteren los derechos y garantías constitucionales o que impidan el libre funcionamiento de los órganos del Estado. En el artículo 194 se establecía bien claramente: «Los jueces y tribunales están obligados a resolver los conflictos entre las leyes vigentes y la Constitución ajustándose al principio de que ésta prevalezca siempre sobre aquéllas.» De acuerdo, pues, con las leyes que le dieron origen, el Tribunal de Garantías Constitucionales y Sociales debía resolver siempre a favor de la Constitución. Si ese tribunal hizo prevalecer los Estatutos por encima de la Constitución de la República se salió por completo de su competencia y facultades, realizando, por tanto, un acto jurídicamente nulo. La decisión en sí misma, además, es absurda y lo absurdo no tiene vigencia ni de hecho ni de derecho, no existe ni siquiera metafísicamente. Por muy venerable que sea un tribunal no podrá decir que el círculo es cuadrado, o, lo que es igual, que el engendro grotesco del 4 de abril puede llamarse Constitución de un Estado.
Entendemos por Constitución la ley fundamental y suprema de una nación, que define su estructura política, regula el funcionamiento de los órganos del Estado y pone límites a sus actividades, ha de ser estable, duradera y más bien rígida. Los Estatutos no llenan ninguno de estos requisitos. Primeramente encierran una contradicción monstruosa, descarada y cínica en lo más esencial, que es lo referente a la integración de la República y el principio de la soberanía. El artículo 1 dice: «Cuba es un Estado independiente y soberano organizado como República democrática…» El Presidente de la República será designado por el Consejo de Ministros. ¿Y quién elige el Consejo de Ministros? El artículo 120, inciso 13: «Corresponde al Presidente nombrar y renovar libremente a los ministros, sustituyéndolos en las oportunidades que proceda.» ¿Quién elige a quién por fin? ¿No es éste el clásico problema del huevo y la gallina que nadie ha resuelto todavía?
Un día se reunieron dieciocho aventureros. El plan era asaltar la República con su presupuesto de trescientos cincuenta millones. Al amparo de la traición y de las sombras consiguieron su propósito: «¿Y ahora qué hacemos?» Uno de ellos les dijo a los otros: «Ustedes me nombran primer ministro y yo los nombro generales.» Hecho esto buscó veinte alabarderos y les dijo: «Yo los nombro ministros y ustedes me nombran presidente.» Así se nombraron unos a otros generales, ministros, presidente y se quedaron con el Tesoro y la República.
Y no es que se tratara de la usurpación de la soberanía por una sola vez para nombrar ministros, generales y presidente, sino que un hombre se declaró en unos estatutos dueño absoluto, no ya de la soberanía, sino de la vida y la muerte de cada ciudadano y de la existencia misma de la nación. Por eso sostengo que no solamente es traidora, vil, cobarde y repugnante la actitud del Tribunal de Garantías Constitucionales y Sociales, sino también absurda.
Hay en los Estatutos un artículo que ha pasado bastante inadvertido pero es el que da la clave de esta situación y del cual vamos a sacar conclusiones decisivas. Me refiero a la cláusula de reforma contenida en el artículo 257 y que dice textualmente: «Esta Ley Constitucional podrá ser reformada por el Consejo de Ministros con un quórum de las dos terceras partes de sus miembros.» Aquí la burla llegó al colmo. No es sólo que hayan ejercido la soberanía para imponer al pueblo una Constitución sin contar con su consentimiento y elegir un gobierno que concentra en sus manos todos los poderes, sino que por el artículo 257 hacen suyo definitivamente el atributo más esencial de la soberanía que es la facultad de reformar la ley suprema y fundamental de la nación, cosa que han hecho ya varias veces desde el 10 de marzo, aunque afirman con el mayor cinismo del mundo en el artículo 2 que la soberanía reside en el pueblo y de él dimanan todos los poderes. Si para realizar estas reformas basta la conformidad del Consejo de Ministros, queda entonces en manos de un solo hombre el derecho de hacer y deshacer la República, un hombre que es además el más indigno de los que han nacido en esta tierra. ¿Y esto fue lo aceptado por el Tribunal de Garantías Constitucionales, y es válido y es legal todo lo que ello se derive? Pues bien, veréis lo que aceptó: «Esta Ley Constitucional podrá ser reformada por el Consejo de Ministros con un quórum de las dos terceras partes de sus miembros.» Tal facultad no reconoce límites; al amparo de ella cualquier artículo, cualquier capítulo, cualquier título, la ley entera puede ser modificada. El artículo 1, por ejemplo, que ya mencioné, dice que Cuba es un Estado independiente y soberano organizado como República democrática —»aunque de hecho sea hoy una satrapía sangrienta»—; el artículo 3 dice que «el territorio de la República está integrado por la Isla de Cuba, la Isla de Pinos y las demás islas y cayos adyacentes…»; así sucesivamente. Batista y su Consejo de Ministros, al amparo del artículo 257, pueden modificar todos esos atributos, decir que Cuba no es ya una República, sino una Monarquía Hereditaria y ungirse él, Fulgencio Batista, Rey; pueden desmembrar el territorio nacional y vender una provincia a un país extraño como hizo Napoleón con la Louisiana; pueden suspender el derecho a la vida y, como Herodes, mandar a degollar los niños recién nacidos: todas estas medidas serían legales y vosotros tendríais que enviar a la cárcel a todo el que se opusiera, como pretendéis hacer conmigo en estos momentos. He puesto ejemplos extremos para que se comprenda mejor lo triste y humillante que se nuestra situación. ¡Y esas facultades omnímodas en manos de hombres que de verdad son capaces de vender la República con todos sus habitantes!
Si el Tribunal de Garantías Constitucionales aceptó semejante situación, ¿qué espera para colgar las togas? Es un principio elemental de derecho público que no existe la constitucionalidad allí donde el Poder Constituye y el Poder Legislativo residen en el mismo organismo. Si el Consejo de Ministros hace las leyes, los decretos, los reglamentos y al mismo tiempo tiene facultad de modificar la Constitución en diez minutos, ¡maldita la falta que nos hace un Tribunal de Garantías Constitucionales! Su fallo es, pues, irracional, inconcebible, contrario a la lógica y a las leyes de la República, que vosotros, señores magistrados, jurasteis defender. Al fallar a favor de los Estatutos no quedó abolida nuestra ley suprema; sino que el Tribunal de Garantías Constitucionales y Sociales se puso fuera de la Constitución, renunció a sus fueros, se suicidó jurídicamente. ¡Qué en paz descanse!
El derecho de resistencia que establece el artículo 40 de esa Constitución está plenamente vigente. ¿Se aprobó para que funcionara mientras la República marchaba normalmente? No, porque era para la Constitución lo que un bote salvavidas es para una nave en alta mar, que no se lanza al agua sino cuando la nave ha sido torpedeada por enemigos emboscados en su ruta. Traicionada la Constitución de la República y arrebatadas al pueblo todas sus prerrogativas, sólo le quedaba ese derecho, que ninguna fuerza le puede quitar, el derecho a resistir a la opresión y a la injusticia. Si alguna duda queda, aquí está un artículo del Código de Defensa Social, que no debió olvidar el señor fiscal, el cual dice textualmente: «Las autoridades de nombramiento del Gobierno o por elección popular que no hubieren resistido a la insurrección por todos los medios que estuvieren a su alcance, incurrirán en una sanción de interdicción especial de seis a diez años.» Era obligación de los magistrados de la República resistir el cuartelazo traidor del 10 de marzo. Se comprende perfectamente que cuando nadie ha cumplido con la ley, cuando nadie ha cumplido el deber, se envía a la cárcel a los únicos que han cumplido con la ley y el deber.
No podréis negarme que el régimen de gobierno que se le ha impuesto a la nación es indigno de su tradición y de su historia. En su libro. El espíritu de las leyes, que sirvió de fundamento a la moderna división de poderes, Montesquieu distingue por su naturaleza tres tipos de gobierno: «el Republicano, en que el pueblo entero o una parte del pueblo tiene el poder soberano; el Monárquico, en que uno solo gobierna pero con arreglo a Leyes fijas y determinadas; y el Despótico, en que uno solo, sin Ley y sin regla, lo hace todo sin más que su voluntad y su capricho.» Luego añade: «Un hombre al que sus cinco sentidos le dicen sin cesar que lo es todo, y que los demás no son nada, es naturalmente ignorante, perezoso, voluptuoso.» «Así como es necesaria la virtud en una democracia, el honor en una monarquía, hace falta el temor en un gobierno despótico; en cuanto a la virtud, no es necesaria, y en cuanto al honor, sería peligroso.»
El derecho de rebelión contra el despotismo, señores magistrados, ha sido reconocido, desde la más lejana antigüedad hasta el presente, por hombres de todas las doctrinas, de todas las ideas y todas las creencias.
En las monarquías teocráticas de las más remota antigüedad china, era prácticamente un principio constitucional que cuando el rey gobernase torpe y despóticamente, fuese depuesto y reemplazado por un príncipe virtuoso.
Los pensadores de la antigua India ampararon la resistencia activa frente a las arbitrariedades de la autoridad. Justificaron la revolución y llevaron muchas veces sus teorías a la práctica. Uno de sus guías espirituales decía que «una opinión sostenida por muchos es más fuerte que el mismo rey. La soga tejida por muchas fibras es suficiente para arrastrar a un león.»
Las ciudades estados de Grecia y la República Romana, no sólo admitían sino que apologetizaban la muerte violenta de los tiranos.
En la Edad Media, Juan de Salisbury en su Libro de hombre de Estado, dice que cuando un príncipe no gobierna con arreglo a derecho y degenera en tirano, es lícita y está justificada su deposición violenta. Recomienda que contra el tirano se use el puñal aunque no el veneno.
Santo Tomás de Aquino, en la Summa Theologíca, rechazó la doctrina del tiranicidio, pero sostuvo, sin embargo, la tesis de que los tiranos debían ser depuestos por el pueblo.
Martín Lutero proclamó que cuando un gobierno degenera en tirano vulnerando las leyes, los súbditos quedaban librados del deber de obediencia. Su discípulo Felipe Melanchton sostiene el derecho de resistencia cuando los gobiernos se convierten en tirano. Calvino, el pensador más notable de la Reforma desde el punto de vista de las ideas políticas, postula que el pueblo tiene derecho a tomar las armas para oponerse a cualquier usurpación.
Nada menos que un jesuita español de la época de Felipe II, Juan Mariana, en su libro De Rege et Regis Institutione, afirma que cuando el gobernante usurpa el poder, o cuando, elegido, rige la vida pública de manera tiránica, es lícito el asesinato por un simple particular, directamente, o valiéndose del engaño, con el menor disturbio posible.
El escritor francés Francisco Hotman sostuvo que entre gobernantes y súbditos existe el vínculo de un contrato, y que el pueblo puede alzarse en rebelión frente a la tiranía de los gobiernos cuando éstos violan aquel pacto.
Por esa misma época aparece también un folleto que fue muy leído, titulado Vindiciae Contra Tyrannos, firmado bajo el seudónimo de Stephanus Junius Brutus, donde se proclama abiertamente que es legítima la resistencia a los gobiernos cuando oprimen al pueblo y que era deber de los magistrados honorables encabezar la lucha.
Los reformadores escoceses Juan Knox y Juan Poynet sostuvieron este mismo punto de vista, y en el libro más importante de ese movimiento, escrito por Jorge Buchnam, se dice que si el gobierno logra el poder sin contar con el consentimiento del pueblo o rige los destinos de éste de una manera injusta y arbitraria, se convierte en tirano y puede ser destituido o privado de la vida en el último caso.
Juan Altusio, jurista alemán de principios del siglo XVII, en su Tratado de política, dice que la soberanía en cuanto autoridad suprema del Estado nace del concurso voluntario de todos sus miembros; que la autoridad suprema del Estado nace del concurso voluntario del gobierno arranca del pueblo y que su ejercicio injusto, extralegal o tiránico exime al pueblo del deber de obediencia y justifica la resistencia y la rebelión.
Hasta aquí, señores magistrados, he mencionado ejemplos de la Antigüedad, la Edad Media y de los primeros tiempos de la Edad Moderna: escritores de todas las ideas y todas las creencias. Más, como veréis, este derecho está en la raíz misma de nuestra existencia política, gracias a él vosotros podéis vestir hoy esas togas de magistrados cubanos que ojalá fueran para la justicia.
Sabido es que en Inglaterra, en el siglo XVII, fueron destronados dos reyes, Carlos I y Jacobo II, por actos de despotismo. Estos hechos coincidieron con el nacimiento de la filosofía política liberal, esencia ideológica de una nueva clase social que pugnaba entonces por romper las cadenas del feudalismo. Frente a las tiranías de derecho divino esa filosofía opuso el principio del contrato social y el consentimiento de los gobernados, y sirvió de fundamento a la revolución inglesa de 1688, y a las revoluciones americana y francesa de 1775 y 1789. Estos grandes acontecimientos revolucionarios abrieron el proceso de liberación de las colonias españolas en América, cuyo último eslabón fue Cuba. En esta filosofía se alimentó nuestro pensamiento político y constitucional que fue desarrollándose desde la primera Constitución de Guáimaro hasta la del 1940, influida esta última ya por las corrientes socialistas del mundo actual que consagraron en ella el principio de la función social de la propiedad y el derecho inalienable del hombre a una existencia decorosa, cuya plena vigencia han impedido los grandes intereses creados.
El derecho de insurrección contra la tiranía recibió entonces su consagración definitiva y se convirtió en postulado esencial de la libertad política.
Ya en 1649 Juan Milton escribe que el poder político reside en el pueblo, quien puede nombrar y destituir reyes, y tiene el deber de separar a los tiranos.
Juan Locke en su Tratado de gobierno sostiene que cuando se violan los derechos naturales del hombre, el pueblo tiene el derecho y el deber de suprimir o cambiar de gobierno. «El único remedio contra la fuerza sin autoridad está en oponerle la fuerza.»
Juan Jacobo Rousseau dice con mucha elocuencia en su Contrato Social: «Mientras un pueblo se ve forzado a obedecer y obedece, hace bien; tan pronto como puede sacudir el yugo y lo sacude, hace mejor, recuperando su libertad por el mismo derecho que se la han quitado.» «El más fuerte no es nunca suficientemente fuerte para ser siempre el amo, si no transforma la fuerza en derecho y la obediencia en deber. […] La fuerza es un poder físico; no veo qué moralidad pueda derivarse de sus efectos. Ceder a la fuerza es un acto de necesidad, no de voluntad; todo lo más es un de prudencia. ¿En qué sentido podrá ser esto un deber?» «Renunciar a la libertad es renunciar a la calidad del hombre, a los derechos de la Humanidad, incluso a sus deberes. No hay recompensa posible para aquel que renuncia a todo. Tal renuncia es incomparable con la naturaleza del hombre, y quitar toda la libertad a la voluntad es quitar toda la moralidad a las acciones. En fin, es una convicción vana y contradictoria estipular por una parte con una autoridad absoluta y por otra con una obediencia sin límites…»
Thomas Paine dijo que «un hombre justo es más digno de respeto que un rufián coronado».
Sólo escritores reaccionarios se opusieron a este derecho de los pueblos, como aquel clérigo de Virginia, Jonathan Boucher, quien dijo que «El derecho a la revolución era una doctrina condenable derivada de Lucifer, el padre de las rebeliones».
La Declaración de Independencia del Congreso de Filadelfia el 4 de julio de 1776, consagró este derecho en un hermoso párrafo que dice: «Sostenemos como verdades evidentes que todos los hombres nacen iguales; que a todos les confiere su Creador ciertos derechos inalienables entre los cuales se cuentan la vida, la libertad y la consecución de la felicidad; que para asegurar estos derechos se instituyen entre los hombres gobiernos cuyos justos poderes derivan del consentimiento de los gobernados; que siempre que una forma de gobierno tienda a destruir esos fines, al pueblo tiene derecho a reformarla o abolirla, e instituir un nuevo gobierno que se funde en dichos principios y organice sus poderes en la forma que a su juicio garantice mejor su seguridad y felicidad.»
La famosa Declaración Francesa de los Derechos del Hombre legó a las generaciones venideras este principio: «Cuando el gobierno viola los derechos del pueblo, la insurrección es para éste el más sagrado de los derechos y el más imperioso de los deberes.» «Cuando una persona se apodera de la soberanía debe ser condenada a muerte por los hombres libres.»
Creo haber justificado suficientemente mi punto de vista: son más razones que las que esgrimió el señor fiscal para pedir que se me condene a veintiséis años de cárcel; todas asisten a los hombres que luchan por la libertad y la felicidad de un pueblo; ninguna a los que lo oprimen, envilecen y saquean despiadadamente; por eso yo he tenido que exponer muchas y él no pudo exponer una sola. ¿Cómo justificar la presencia de Batista en el poder, al que llegó contra la voluntad del pueblo y violando por la traición y por la fuerza las leyes de la Revolución? ¿Cómo llamar revolucionario un gobierno donde se han conjugado los hombres, las ideas y los métodos más retrógrados de la vida pública? ¿Cómo considerar jurídicamente válida la alta traición de un tribunal cuya misión era defender nuestra Constitución? ¿Con qué derecho enviar a la cárcel a ciudadanos que vinieron a dar por el decoro de su patria su sangre y su vida? ¡Eso es monstruoso ante los ojos de la nación y los principios de la verdadera justicia!
Pero hay una razón que nos asiste más poderosa que todas las demás: somos cubanos, y ser cubano implica un deber, no cumplirlo es un crimen y es traición. Vivimos orgullosos de la historia de nuestra patria; la aprendimos en la escuela y hemos crecido oyendo hablar de libertad, de justicia y de derechos. Se nos enseñó a venerar desde temprano el ejemplo glorioso de nuestros héroes y de nuestros mártires. Céspedes, Agramonte, Maceo, Gómez y Martí fueron los primeros nombres que se grabaron en nuestro cerebro; se nos enseñó que el Titán había dicho que la libertad no se mendiga, sino que se conquista con el filo del machete; se nos enseñó que para la educación de los ciudadanos en la patria libre, escribió el Apóstol en su libro La Edad de Oro: «Un hombre que se conforma con obedecer a leyes injustas, y permite que pisen el país en que nació los hombres que se lo maltratan, no es un hombre honrado. […] En el mundo ha de haber cierta cantidad de decoro, como ha de haber cierta cantidad de luz. Cuando hay muchos hombres sin decoro, hay siempre otros que tienen en sí el decoro de muchos hombres. Ésos son los que se rebelan con fuerza terrible contra los que les roban a los pueblos su libertad, que es robarles a los hombres su decoro. En esos hombres van miles de hombres, va un pueblo entero, va la dignidad humana…» Se nos enseñó que el 10 de octubre y el 24 de febrero son efemérides gloriosas y de regocijo patrio porque marcan los días en que los cubanos se rebelaron contra el yugo de la infame tiranía; se nos enseñó a querer y defender la hermosa bandera de la estrella solitaria y a cantar todas las tardes un himno cuyos versos dicen que vivir en cadenas vivir en afrenta y oprobio sumidos, y que morir por la patria es vivir. Todo eso aprendimos y no lo olvidaremos aunque hoy en nuestra patria se esté asesinando y encarcelando a los hombres por practicar las ideas que les enseñaron desde la cuna. Nacimos en un país libre que nos legaron nuestros padres, y primero se hundirá la Isla en el mar antes que consintamos en ser esclavos de nadie.
Parecía que el Apóstol iba a morir en el año de su centenario, que su memoria se extinguiría para siempre, ¡tanta era la afrenta! Pero vive, no ha muerto, su pueblo es rebelde, su pueblo es digno, su pueblo su fiel a su recuerdo; hay cubanos que han caído defendiendo sus doctrinas, hay jóvenes que en magnífico desagravio vinieron a morir junto a su tumba, a darle su sangre y su vida para que él siga viviendo en el alma de la patria. ¡Cuba, qué sería de ti si hubieras dejado morir a tu Apóstol!
Termino mi defensa, no lo haré como hacen siempre todos los letrados, pidiendo la libertad del defendido; no puedo pedirla cuando mis compañeros están sufriendo ya en Isla de Pinos ignominiosa prisión. Enviadme junto a ellos a compartir su suerte, es inconcebible que los hombres honrados estén muertos o presos en una república donde está de presidente un criminal y un ladrón.
A los señores magistrados, mi sincera gratitud por haberme permitido expresarme libremente, sin mezquinas coacciones; no os guardo rencor, reconozco que en ciertos aspectos habéis sido humanos y sé que el presidente de este tribunal, hombre de limpia vida, no puede disimular su repugnancia por el estado de cosas reinantes que lo obliga a dictar un fallo injusto. Queda todavía a la Audiencia un problema más grave; ahí están las causas iniciadas por los setenta asesinatos, es decir, la mayor masacre que hemos conocido; los culpables siguen libres con un arma en la mano que es amenaza perenne para la vida de los ciudadanos; si no cae sobre ellos todo el peso de la ley, por cobardía o porque se lo impidan, y no renuncien en pleno todos los magistrados, me apiado de vuestras honras y compadezco la mancha sin precedentes que caerá sobre el Poder Judicial.
En cuanto a mí, sé que la cárcel será dura como no la ha sido nunca para nadie, preñada de amenazas, de ruin y cobarde ensañamiento, pero no la temo, como no temo la furia del tirano miserable que arrancó la vida a setenta hermanos míos. Condenadme, no importa, La historia me absolverá.
Pronunciado por Fidel Castro en el juicio del Moncada, el 16 de octubre de 1953
Descargar texto completo de La Historia me Absolverá
(compactado con Winzip en formato de Microsoft Word)
aunque de hecho sea hoy una satrapía sangrienta
Ultima modificacion el Jueves, 26 de Julio de 2012 16:14