Las elecciones pioneriles RAQUEL MARRERO YANES
Oportunidad para escoger estudiantes con disposición y aptitudes para asumir importantes misiones y representar a sus compañeros a nivel de colectivo y destacamento de la Organización de Pioneros José Martí. Este es un derecho de todos los niños cubanos, un acto de responsabilidad que desde las edades más tempranas se realiza cada año. Por el voto público y directo, a mano alzada, los pioneros José Martí de primer nivel —de cuarto a sexto grados—, seleccionaron a los miembros de los consejos de destacamentos y colectivos, mientras en secundaria básica la votación fue secreta y directa, consultando previamente las biografías de los candidatos, colocadas en lugares visibles de las escuelas. La oportunidad fue para todos. Los moncadistas —de primero a tercer grados—, aunque todavía son muy pequeños para votar, también participaron. A ellos sus guías les asignaron misiones dentro de sus destacamentos, que de manera rotativa cumplirán durante el año académico, con vistas a prepararse para su futuro en la Organización. Por todo ello, la jornada de este jueves constituyó un momento de trascendental importancia para los pioneros cubanos al elegir a sus propios representantes dentro del colectivo, quienes, en lo adelante, llevarán a cabo las tareas pioneriles. Para ellos, el desafío está en ser cada día mejores estudiantes y pioneros. Una vez más se puso a prueba la madurez de cada pionero, su sentido de la responsabilidad ante el significado y alcance de este temprano acto de democracia en el proceso eleccionario cubano, ejercicio consciente de ese derecho a elegir y ser elegido. |
Archive for septiembre 2012
Temprano ejercicio de democracia
Posted in Sociedad on 30/09/2012| Leave a Comment »
En horas concluye el proceso de nominación
Posted in Política on 30/09/2012| Leave a Comment »
Ajustan detalles para garantizar que entre el domingo y el lunes se expongan las biografías y fotos de los postulados
Susana Lee
Este sábado concluirá el proceso más importante con vistas a las elecciones del próximo 21 de octubre: la nominación de candidatos a delegados a las Asambleas Municipales del Poder Popular, que ha reunido desde el pasado día 3 a millones de cubanas y cubanos en más de 50 mil 900 encuentros de vecinos en las 14 mil 537 circunscripciones del país.
Faltan unas decenas de asambleas, dijo a Granma Alina Balseiro Gutiérrez, presidenta de la Comisión Electoral Nacional (cen), pues ya se rebasa el 99 % de las previstas, pero han sido tomadas las medidas organizativas para garantizar que mañana se realicen con la masividad, disciplina y apego a lo legislado que ha caracterizado su desarrollo.
Añadió que varias provincias ya han terminado y en toda la nación se han postulado más de 32 mil 300 candidatos, entre los que algo más de una tercera parte son mujeres.
La Presidenta de la CEN elogió nuevamente la intensa labor desarrollada por las autoridades electorales, principalmente en las comisiones de circunscripción, encargadas de dirigir la nominación, quienes ahora se enfrascan en ajustar las biografías y fotos de los candidatos, para asegurar que entre el domingo y el lunes próximos se expongan en los lugares de mayor afluencia pública de cada circunscripción, y llamó a que todos los ciudadanos con derecho al sufragio revisen sus datos en las listas de electores para que, con tiempo antes de los comicios, enmienden cualquier error.
No bajar nunca la guardia
Posted in Política on 30/09/2012| Leave a Comment »
|
« Une guerre contre l’Iran déclenchera la Troisième Guerre mondiale »
Posted in Francia on 30/09/2012| Leave a Comment »
« Notre puissance défensive a été fondée sur notre stratégie défensive et celle-ci est régie par la présomption que nous nous engagerons dans une affrontement militaire d’envergure contre une coalition menée par les États-Unis. » Brigadier-général Hossein Salami, commandant adjoint du corps des Gardiens de la révolution islamique, septembre 2012.)
* * *
Les États-Unis et Israël ont tous deux menacé de lancer une première attaque préemptive contre l’Iran, dont les conséquences seraient désastreuses.
En réaction à ces menaces incessantes, le commandant de la Force aérienne du Corps des Gardiens de la Révolution islamique (CGRI), le général Amir Ali Hajizadeh a prévenu qu’une attaque militaire des États-Unis et d’Israël contre l’Iran pourrait déclencher une Troisième Guerre mondiale. Il a également laissé entendre qu’Israël ne peut pas lancer une guerre sans le feu vert des États-Unis.
Selon le général Hajizadeh, le déclenchement d’une telle guerre risquerait d’occasionner une escalade militaire effrénée. Si l’Iran était attaqué, sa riposte viserait à la fois des cibles étasuniennes et israéliennes, y compris des installations militaires des États-Unis situées dans les pays voisins (par exemple en Irak, en Afghanistan, au Pakistan et dans les États du Golfe) :
Dans un discours dimanche au réseau d’information arabe Al-Alam, le général Hajizadeh a déclaré que les États-Unis et le régime israélien ne pourraient pas entrer en guerre avec l’Iran « indépendamment l’un de l’autre, c’est-à-dire que si l’un des deux commençait la guerre, l’autre se joindrait à lui ».
« Nous voyons les États-Unis et le régime sioniste s’appuyer fermement et nous ne pouvons pas imaginer le régime sioniste initier une guerre sans renforts des États-Unis. Pour ces mêmes raisons, si une guerre éclate, nous nous battrons définitivement des deux côtés et nous en prendrons aux bases étasuniennes », a-t-il affirmé.
« Si de telles conditions survenaient, une série d’incidents incontrôlables et ingérables auraient lieu et une telle guerre pourrait se transformer en Troisième Guerre mondiale. Cela signifie que certains pays pourraient entrer en guerre avec ou contre l’Iran », a ajouté le général.
Le commandant du CGRI a prévenu que si une guerre de la sorte était menée contre l’Iran, « les bases des États-Unis dans ces pays autour de nous et dans les pays voisins seraient visées et qu’elles seraient mêmes menacées par les peuples de ces États ». (Fars News Agency, 23 septembre 2012, c’est l’auteur qui souligne.)
Le monde se trouve à une dangereuse croisée des chemins. La déclaration du général Hajizadeh doit être prise au sérieux.
La préparation active d’une guerre contre l’Iran est en cours depuis les huit dernières années. Depuis 2005, les États-Unis et leurs alliés, dont les partenaires étasuniens de l’OTAN et Israël, sont impliqués dans le déploiement massif et l’entreposage de systèmes d’armes avancés. Les systèmes de défense antiaérienne des États-Unis, des pays membres de l’OTAN et d’Israël sont complètement intégrés. Israël ne peut pas agir sans l’appui de ses alliés.
Il s’agit d’un effort coordonné du Pentagone, de l’OTAN et des Forces israéliennes de défense (IDF) contre l’Iran. Plusieurs pays partenaires non-membres de l’OTAN, dont les États arabes limitrophes, sont également impliqués (les membres du Dialogue méditerranéen de l’OTAN et de l’Initiative de coopération d’Istanbul).
Désinformation médiatique
Influencée par le battage médiatique, l’opinion publique appuie tacitement cette initiative par ignorance ou indifférence face aux conséquences possibles de ce qui est considéré comme une opération « punitive » ad hoc ciblant les installations nucléaires au lieu d’une guerre totale.
La guerre contre l’Iran est présentée à l’opinion publique comme un problème parmi d’autres. Elle n’est pas vue comme une menace à l’humanité. Au contraire : on la voit comme une action humanitaire.
Représailles
Les médias occidentaux appellent à la guerre. L’objectif, consiste à inculquer implicitement dans la conscience des citoyens, par la répétition ad nauseam de reportages, la notion voulant que la menace iranienne soit réelle et que la République islamique devrait être « éliminée ».
L’Iran possède des capacités militaires significatives et le fait qu’une attaque à son endroit puisse mener à des représailles et à une escalade pouvant déclencher une « guerre mondiale » n’est pas un sujet de préoccupation.
Alors que la République islamique ne constitue pas une menace à la sécurité d’Israël, des militaires iraniens de haut rang ont souligné qu’advenant une attaque contre l’Iran, des représailles contre Israël sont envisagées et les conséquences pourraient être dévastatrices.
Samedi, le major-général Mohammad Ali Jafari, le commandant en chef du CGRI a affirmé qu’une invasion ennemie de l’Iran est possible, mais qu’une telle guerre mettrait fin au régime sioniste d’Israël.
…
« Il se peut que la guerre éclate, mais si les sionistes [le gouvernement israélien] commencent quelque chose, ce sera le début de leur annihilation et le point final de leur histoire », a-t-il ajouté.
Le major-général Jafari a entre-temps souligné que « personne n’ose lancer un assaut terrestre d’envergure contre l’Iran ».
Il a ajouté que si l’ennemi était sage, il n’y aurait pas de problème, « toutefois il n’y a aucune garantie qu’il sera rationnel et nous devons nous aussi nous préparer.
Plus tard hier, son adjoint le brigadier-général Hossein Salami, a prévenu que toute attaque du régime sioniste contre la République islamique d’Iran donnerait une opportunité à Téhéran de le rayer de la surface terrestre.
« Si les sionistes s’engagent dans une attaque contre l’Iran, cela offrira une opportunité historique à la Révolution islamique de les rayer de l’histoire géographique mondiale », a déclaré Hossein Salami samedi soir à la télévision d’État.
« Les menaces du régime sioniste ne nous préoccupent plus », a-t-il déclaré en ajoutant qu’Israël a des souvenirs amers de ses guerres de la dernière décennie avec les alliés régionaux de la République islamique, dont les mouvements du Hezbollah et du Hamas.
« “[En raison des échecs mentionnés ci-dessus], comment veut-il [le régime sioniste] représenter une menace contre la République islamique d’Iran » a demandé le brigadier-général.
Il a par ailleurs souligné que le pays était prêt à confronter toute agression : « Notre puissance défensive a été fondée sur notre stratégie défensive et celle-ci est régie par la présomption que nous nous engagerons dans une gigantesque bataille contre une coalition menée par les États-Unis. »
Vendredi, le commandant en chef des Forces armées iraniennes, le major-général Seyed Hassan Firouzabadi a lui aussi averti que Téhéran réagirait à toute agression contre son pays par une riposte « immédiate » et « continue ».
« Nous ne nous sentons pas menacés par les remarques fanfaronnes des dirigeants sionistes, car ce sont des créatures terriblement effrayées qui ne cessent de gueuler puisqu’ils savent que la réaction de l’Iran aux menaces sera toute prête, immédiate et sans relâche », a dit le major-général aux reporters en marge de la parade militaire du 21 septembre marquant l’anniversaire de la Semaine de la Défense sacrée, ici, vendredi matin à Téhéran.
« Les officiels du régime sioniste ont déclaré dans leurs estimations [militaires] que les opérations militaires contre l’Iran ne peuvent ni être menées par Israël, ni lui être utile », a-t-il ajouté.
Il a par ailleurs affirmé que les forces armées actuelles de l’Iran sont imprévisibles et que leurs stratégies et leurs actions ne peuvent être prévues par l’ennemi.
La Semaine de la Défense sacrée, commémorant les sacrifices des Iraniens durant les 8 ans de la guerre imposée à l’Iran par l’Irak en 1980, a débuté vendredi avec des parades de diverses unités de l’Armée de la République islamique, du Corps des Gardiens de la Révolution islamique (CGRI) et des forces du Basij (volontaires) dans le sud de Téhéran. (Fars News Agency, 23 septembre 2012, c’est l’auteur qui souligne.)
Renverser la tendance guerrière
Nous demandons à nos lecteurs de propager le message dans le monde entier.
Nous demandons à tout le monde aux États-Unis, en Europe de l’Ouest, en Israël, en Turquie et partout à travers le monde de s’opposer à ce projet militaire, de se soulever contre leurs gouvernements qui appuient une action militaire contre l’Iran et contre les médias qui servent à camoufler les implications dévastatrices d’une guerre contre l’Iran.
Le peuple israélien est uni en grande partie contre la détermination du premier ministre Netanyahou d’attaquer l’Iran.
Israël et l’Iran doivent parvenir à un protocole de non-agression.
Texte original: “War on Iran Will Trigger World War III”
Traduction : Julie Lévesque pour Mondialisation.ca
[En Bilbao con Chávez]Concentración lunes 1 octubre 19:00 Plaza Circular
Posted in Política on 30/09/2012| Leave a Comment »
Porque más allá de la intoxicación mediática y el juego sucio del imperio traducido en un Golpe de Estado fallido y en contínuas campañas de desestabilización, han sido muchos los pasos en materia política y social que se han dado en Venezuela, donde el proceso revolucionario tiene un fuerte respaldo popular, que aumenta según pasan los años.
Por todo esto, y por que hay mucho en juego en las elecciones presidenciales que tendrán lugar el 7 de octubre, convocamos a una concentración el lúnes 1 de Octubre a las 19:00 horas en la Plaza Circular de Bilbao, para que el pueblo de Venezuela reciba el mayor apoyo posible desde Euskal Herria.
¡VIVA LA REVOLUCIÓN BOLIVARIANA!
¡VIVA VENEZUELA!
El 1 de octubre… vuelve Bolívar
http://www.youtube.com/watch?v=OkUQuxqsjcoConvocan:
Askapena y Komite Internazionalistak
Adhesiones:
Bilgune feminista, Colectivo de Colombianos/as Refugiados/as-BACHUE,Circulo Bolivariano «La Puebla», Euskadi-Cuba, Ikasle Abertzaleak, Ikasle Ekintza, Marcha Patriotica (Capítulo Euskal Herria), Mumiaren lagunak, Plataforma No más Bases (Euskal Herria-Colombia), Periódico «Resumen Latinoamericano», Sare Antifaxista, LAB, Ezker Abertzalea
Hain zuzen, intoxikazio mediatiko eta inperioen trikimailuetatik haratago, hainbat izan direlako bertan, sozialki nahiz politikoki emandako aurrera pausuak. Golpe estatu eta desestabiliazio
kanpainatatik haratago, jakitun garelako prozesu iraultzaile hori herri babes izugarria duela, urteak joan ahala finkatzen ari dena bestalde.
Honela beraz, Urriaren 7an izango diren hauteskundeak tarteko, beste pausu garrantzitsu bat prozesua sendotze bidean, urriaren 1ean Bilboko Plaza Biribilean, arratsaldeko 19:00 etan egingo den elkarretaratzean parte hartzeko gonbitea egin nahi dizuegu, ahalik eta eragile eta babes zabalena jaso dezan Venezuelako herriak gorriak.
GORA IRAULTZA BOLIVARIARRA!
GORA VENEZUELA!
Urriaren 1ean… Bolivar itzuliko da
http://www.youtube.com/watch?v=OkUQuxqsjcoAntolatzaileak:
Askapena y Komite Internazionalistak
Adhesiones:
Bilgune feminista, Colectivo de Colombianos/as Refugiados/as-BACHUE,Circulo Bolivariano «La Puebla», Euskadi-Cuba, Ikasle Abertzaleak, Ikasle Ekintza, Marcha Patriotica (Capítulo Euskal Herria), Mumiaren lagunak, Plataforma No más Bases (Euskal Herria-Colombia), Periódico «Resumen Latinoamericano», Sare Antifaxista, LAB, Ezker Abertzalea
José Manzaneda
Área Medios de Comunicación / Komunikabideen Arloa
Prim, 43, 48006 Bilbao – Tel.: 94-4151107
Vitoria-Gasteiz – Tel.: 945-244986
www.euskadicuba.org – www.cubainformacion.tv
Badakizu 5 kubatar daudela AEBetako espetxeetan terrorismoaren aurka borrokatzeagatik?
¿Sabe usted que hay 5 cubanos presos en cárceles de EE.UU. por luchar contra el terrorismo?
DESDE MI ALTURA
Posted in Cultura on 30/09/2012| Leave a Comment »
CENTRO CULTURAL PABLO DE LA TORRIENTE BRAU
“Porque mis ojos se han hecho
para ver las cosas extraordinarias.
Y mi maquinita para contarlas.
Y eso es todo.” (Pablo)
Iniciamos hoy, con un título que hemos tomado prestado del primer libro de Antonio Guerrero, una sección que dedicaremos precisamente a informar sobre el trabajo que realiza el Centro Pablo en la preparación de un nuevo título de Tony, Enigmas y otras conversaciones, así como de una exposición con parte de sus obras. Los detalles, en el siguiente trabajo:
ENIGMAS Y OTRAS CONVERSACIONES
Ediciones La Memoria, sello editorial del Centro Cultural Pablo de la Torriente Brau , está preparando el libro Enigmas y otras conversaciones, de Antonio Guerrero, el cual será presentado el 2 de marzo en la institución, junto con la inauguración de una exposición que incluye fotos de Silvio Rodríguez tomadas en sus giras por los barrios habaneros y obras plásticas realizadas por Tony a partir de esas imágenes.
El libro parte del intercambio mantenido por el luchador antiterrorista cubano desde su prisión en Estados Unidos a través de Internet con amigos de diferentes países, quienes respondían a los Enigmas lanzados por él en la red y reflexionaban al respecto.
El volumen se enriquece con una selección de poemas de Tony, otros dedicados a él –entre los que se destaca el de Cintio Vitier– fragmentos de su diario y otros textos. Se incluye, asimismo, una sección de diálogos con los amigos que el héroe cubano ha mantenido, al principio a través de cartas y más recientemente mediante el correo electrónico. Entre sus interlocutores se encuentran Silvio Rodríguez, Abel Prieto y Thiago de Mello.
En cuanto al testimonio gráfico, incluirá, entre otros, cuatro de las fotos tomadas por Silvio y el trabajo realizado por Tony acerca de las mismas.
El prólogo de Enigmas y otras conversaciones lo escribirá Roberto Fernández Retamar y el epílogo será de Víctor Casaus, quien ha estado a cargo de la edición.
La selección de los poemas y textos fue hecha por el propio Tony, y son muchos los que están contribuyendo a la realización de esta obra: su madre Mirta y su hermana Maruchy, poniendo a disposición del Centro Pablo los archivos que tienen en su casa; el blog Segunda cita de Silvio con todo lo que se ha publicado allí desde el 2010; Iroel Sánchez y su Pupila insomne y Rosa Miriam Elizalde en Cubadebate, aportando las crónicas allí publicadas y otros textos de Antonio Guerrero.
El libro demuestra, si hiciera falta, que catorce años de injusta prisión, lejos de silenciarlo, han contribuido a incentivar la capacidad creadora de Tony, quien dio una vez más muestras de su fortaleza en el mensaje enviado el 12 de septiembre, recordando los momentos de su detención, y el cual les proponemos a continuación:
Queridos amigos:
No era necesaria toda la violencia que se empleó en nuestro arresto.
Eran exactamente las seis de mañana cuando derribaron la puerta de la casa de Maggie, ubicada en un callejón del poco poblado Cayo Big Pine.
Recuerdo la luz potente de una linterna alumbrándome a los ojos y varias armas de todo tipo apuntando a mi cuerpo, al tiempo que me ordenaban tirarme al suelo boca abajo y poner las manos en mi espalda. Había allí más de una veintena de hombres y mujeres armados.
Me metieron en un auto, sin vestir, con esposas apretadas a más no dar que mantenían mis brazos en la espalda, y pusieron el aire acondicionado a la medida más elevada.
Me condujeron a las oficinas del FBI en Key West y por el camino un oficial, con saña, me presionaba con preguntas. Todo respondía a un plan, porque en Key West todo estaba cerrado. Luego me llevaron de regreso a Big Pine y de ahí Cuartel del FBI en Miami, donde me sometieron a otro interrogatorio.
Al no acceder a responder me trasladaron al Centro de Detención Federal. Fue el comienzo de 17 meses de castigo en celdas del llamado hueco. Aquel 12 de septiembre y por varios días, solo nos dieron una colcha y un rollo de papel sanitario.
Un amigo mío acostumbraba a decir: «Las comparaciones son malas», y yo veía mucha razón en sus palabras. Así que no trato de comparar.
El mes pasado, en Noruega, fue finalmente sentenciado aquel terrorista, un noruego ultraderechista de 33 años llamado Andrés Behring Breivik, que «el 22 de julio de 2011 mató a 77 personas, ocho de ellas en un atentado con bomba contra la sede del gobierno de Oslo, y otras 69, principalmente adolescentes, en un tiroteo contra el campamento de verano de la Juventudes Laboristas en la isla de Utoya, disfrazado de policía». Recibió la pena máxima: 21 años de cárcel.
En nuestro caso, sin haber cometido delito alguno; sin jamás haberse podido probar, porque es improbable, porque somos inocentes, los cargos de espionaje y asesinato; sin jamás haber tenido un arma en nuestro poder, lo cual no hacía falta porque actuábamos con paz, sin la más mínima violencia, contra el terrorismo, fuimos arrestados de forma extremadamente violenta, fuimos sometidos a un aislamiento inhumano y fuimos sentenciados a cadenas perpetuas, las máximas sentencias, y enviados a las penitenciarías más rudas del sistema federal.
Hoy, 12 de septiembre, se cumplen 14 años de prisión.
Ustedes, amigos, terminarán un día con esta colosal injusticia.
Cinco abrazos.
!Venceremos!
Antonio Guerrero Rodríguez
12 de septiembre de 2012
Prisión Federal de Marianna.
RAFA BOCERO EN LA HABANA
Posted in Cultura on 30/09/2012| Leave a Comment »
CENTRO CULTURAL PABLO DE LA TORRIENTE BRAU
“Porque mis ojos se han hecho
para ver las cosas extraordinarias.
Y mi maquinita para contarlas.
Y eso es todo.” (Pablo)
RAFA BOCERO EN LA HABANA
Por Carmen del Prado
La música, se sabe, traslada a realidades otras, ajenas al universo del que escucha; o, por el contrario, puede regresarnos sobre momentos de nuestras vidas, sobre acontecimientos que marcaron nuestras existencias. Convencido de las posibilidades infinitas de esta manifestación de las artes y apostando específicamente por la canción de autor, llega a Cuba invitado por el Centro Cultural Pablo de la Torriente Brau el músico cordobés Rafa Bocero (1976), quien desde el 2 de octubre dará un conjunto de conciertos en Cuba en diversas geografías del país, aunque desde ya alertamos de la presentación el próximo 16 de octubre en la sede la institución.
Pero, ¿quién es Rafa Bocero y por qué habríamos de asistir a este encuentro? Esta es una de las lógicas preguntas que podría formular cualquier lector ante una invitación hecha sin más. Es así que procedemos a exponer algunas coordenadas de la trayectoria de este trovador, que descubrió a los seis años su pasión por la música y a los diez realizaba sus primeras composiciones musicales. Falla, Vivaldi, Mark Knopfler y Silvio Rodríguez son algunos de los referentes musicales que tiene Bocero en esta primera etapa, y es a través de la obra del cubano que descubre que quiere ser trovador, intenciones que comienzan a materializarse a los 18 años bajo la influencia de Antonio Vega, época en que escribe su primera canción, que da paso un año después a un concierto donde el joven comparte un repertorio propio y dos versiones de temas de Antonio Vega y Silvio Rodríguez.
Salas de Madrid como Libertad 8 y El rincón del arte nuevo han acogido espectáculos protagonizados por Bocero, quien a partir de estas experiencias estrecharía amistad con Vicente Amigo, relación que se tornaría esencial para el trovador, pues impulsó la aparición de su primera producción discográfica Esencia –producida junto a Lauren Serrano, técnico del legendario guitarrista–, a la que seguirán títulos como Dime que, Hijos del amor o Ser.
Giras por España y Portugal donde ha sido recibido con entusiasmo y gratitud por el público forman parte del haber de Bocero, autor que va mostrando, al decir de los especialistas, una constante evolución tanto en su capacidad interpretativa como creadora, a través de un estilo propio (toca, canta y compone de una forma única) que permite confiar plenamente en una de las trayectoria más interesantes y fructíferas que esté recorriendo un joven cantautor en este momento.
¿No son suficientes estas credenciales sobre el trovador español? Pues continuamos con un dato que puede suscitar curiosidad en torno a las composiciones de Bocero: el músico es graduado de filosofía pura, lo cual de seguro añade singularidad a su manera de enfrentar la canción como hecho artístico. En este sentido, “trovar es conocer, sentir la trova es sentir la realidad… y esa realidad a través de la trova, aparte de ser un fenómeno estético, lo es ético”, sentencia Bocero, quien aprovechará este viaje a Cuba no solo para conocer y dialogar con nuestra cultura, sino para recopilar información en torno a la Nueva Trova en el país, fenómeno que el creador investiga en la actualidad.
Antecedió a Rafa el también trovador español Paskual Kantero (Muerdo), quien en abril pasado realizó una gira por la Isla , iniciando lo que él calificó de “idilio intenso e irrefrenable que durará siempre con esta tierra tan gentil en creación, en energía y alma”
Parten unos y llegan otros: Si en la gira Nuestra voz para vos un conjunto formado por el artista de la plástica Ángel Alonso y los trovadores Norge Batista, Enid Rosales y Raúl Marchena llevan su propuesta por estos días a ciudades y provincias de la República Argentina , en breve Bocero regalará su arte en distintas geografías de nuestra nación… y creemos que, como aquella experiencia en el Cono Sur, bien vale la pena esta oportunidad de intercambio y reconocimiento.
MIRYAM QUIÑONES EN REENCUENTRO CON EL PUBLICO CUBANO
Posted in Cultura on 30/09/2012| Leave a Comment »
Por Isis María Allen
La húmeda tarde del viernes último fue de reencuentro con la cantora peruana Miryam Quiñones, en la sala Majadahonda, del Centro Cultural Pablo de la Torriente Brau , donde ofreció un recital marcado por la ternura de su voz, la profundidad de los textos escogidos y la belleza de la poesía hecha canción, nueve años después de su primera presentación en Cuba.
Lamentable fue que la lluvia llegara antes y no durante, o después del encuentro, para que hubieran sido muchos más los que disfrutaran del contacto con una joven cantora, distinguida por la transparencia y sinceridad en la interpretación de obras de autores latinoamericanos dotados de esa capacidad de condenar, amar, denunciar y hacer pensar, de un modo inteligente y bello, enriquecedor de la espiritualidad.
Con Miryam Quiñones nos acercamos a la obra de viejos y nuevos cantautores de la región. Así nos trajo de la folclorista argentina Teresa Parodi su canción “Con el alma en vilo”, que dio titulo a su más reciente disco, en el que contó con los que ella calificó de “inmensos invitados”: Silvio Rodríguez, Vicente Feliú y Augusto Blanca, de Cuba, así como Alberto Rojo, Jorge Fandermrole y la ya citada autora, de Argentina.
“Con el alma en vilo”nos decía Miryam es una declaración de principios muy vinculada al quehacer artístico “tan hermoso como incierto, pues no tenemos claro qué pasará mañana, pero transitamos con perseverancia y fe, tratando de ser fieles a lo que somos, a lo que
pensamos y a lo que sentimos”.
Presente estuvo el homenaje a Vicente Feliú, con quien proyecta realizar un próximo disco y del que interpretó su emblemática “Créeme”.
La joven peruana nos aproximó al hoy de la canción de autor en su país, donde dice que se está gestando un movimiento de creadores que, tras carecer de la difusión que merecen, se van dado cuenta que unidos las cosas pueden ir mejor. De entre ellos seleccionó a Omar Camino, de quien nos propuso “Todo lo llevo en el canto”.
Al penetrar en las raíces nos llevó hasta Manuel Ojeda, uno de los más destacados compositores peruanos, que a sus 82 años de edad es un punto de mira para los creadores de estos tiempos en su país y de quien Miryam nos trajo su popular “Cariño”.
Hurgando más en su terruño puso ante la luz a quien es considerada la cantautora mayor del Perú: Chabuca Granda (1920-1983), folclorista, poetisa, compositora e intérprete, que tiene entre sus obras más conocidas “La flor de la canela”. De ella nos propuso, en principio, “Las flores buenas de Javier”, dedicada al poeta peruano Javier Heraud, acribillado a balazos en 1963, cuando, con sólo 21 años de edad, anidaba sueños de igualdad y justicia para su país
Comentó Miryam que ese asesinato causó tal conmoción en el Perú, que dicen que Chabuca Granda se encerró en su casa por casi un año para componer canciones dedicadas a él. De esas canciones se nutrirá el disco que tiene previsto grabar con Vicente Feliú y constituye la razón primera de este viaje a Cuba, durante el cual realizará el trabajo de mesa referente a esa producción.
De Chabuca Granda también interpretó la pieza dedicada a Violeta Parra de título “Cardo y ceniza”, así como “El surco”, con la que dio fin a este recital, que constituye la antesala de un recorrido que por varias provincias del oriente y occidente cubanos le ha organizado el Centro Pablo.
En una de sus primeras presentaciones en Cuba durante este viaje, la cantora peruana acompañó a Silvio Rodríguez en su gira por los barrios habaneros, en esta ocasión en el reparto Alamar, donde interpretó “Créeme” junto a Vicente Feliú.
El programa de Miryam Quiñones en Cuba incluye la presentación el 27 de septiembre en La casa del ALBA, junto a Feliú; el 28 estará en Matanzas y el 29 en Cárdenas. El primero de octubre se presentará en Santa Clara, el 3 y 4 en Holguín, el 6 en Santiago de Cuba y el día 11 en Pinar del Río.
Costa Gavras dice que los políticos construyen una “Europa como un supermercado”
Posted in Opinión on 29/09/2012| Leave a Comment »
El cineasta Costa Gavras se mostró convencido este jueves de que los políticos construyen una “Europa como si construyeran un supermercado”, al presentar su película “Le capital” en la sección a concurso del Festival Internacional de Cine de San Sebastián.
“Los políticos han aceptado crear Europa como se crea un supermercado, es decir, sobre la economía, sin pensar en la política y en lo social, cuando deberían empezar por la política”, aseguró el veterano director en rueda de prensa tras el pase su último film, una dura crítica a los tiburones de las finanzas.
“Ahora tienen que rectificar todo eso, les toca a ellos encontrar soluciones”, aseguró Costa Gavras, quien, sin embargo, se mostró seguro de que mientras llegan esa soluciones “mucha gente durante mucho tiempo va a vivir una vida pobre en un continente rico”.
En “Le capital”, Costa Gavras hace el retrato de un banquero, interpretado por el actor francés Gad Elmaleh, cuya única obsesión es ganar dinero y más dinero, mientras pugna con otros altos financieros por el control de un gran banco.
Esta lucha por el poder en las altas finanzas permite a Costa Gavras hacer una feroz crítica de la economía especulativa, que ha llevado en gran medida a la actual crisis económica.
“Los bancos son necesarios en nuestra sociedad, el dinero también es necesario, pero ha habido una especie de degeneración y ahora trabajan con el dinero para hacer dinero, no para hacer cosas”, insistió el ganador de un Oscar por su película “Desaparecido”.
Costa Gavras cree que los bancos europeos podrían imponerse regulaciones, pero eso los debilitaría frente a los estadounidenses que no tienen, por lo que la solución sería hacer una regulación mundial.
Sin embargo, pese a la situación actual en Europa y el mundo, “soy optimista porque creo que una particularidad del hombre es que cada vez que hay un problema, encontrar la solución para salir de él”, dijo el director de “Z” o “La caja de música”.
“Le capital” fue acogida con un gran aplauso por el público en San Sebastián y ya suena para llevarse algún premio en esta 60 edición del festival donostiarra.
(Con información de AFP)
En fotos, Zoológico de piedra
Posted in Cultura on 29/09/2012| Leave a Comment »
» Fotorreportajes, Ismael Francisco, Cultura, Ladyrene Pérez
El Rey de la selva. Foto: Ismael Francisco/Cubadebate
El “Zoológico de Piedra” fue inaugurado el 21 de diciembre de 1977 por el escultor autodidacta Ángel Íñigo Blanco, quien desde muy pequeño se inclinó por la escultura, a pesar de no estudiar la carrera de Artes Plásticas.
Este complejo escultórico, único de su tipo en el mundo, se encuentra en el municipio de Yateras, perteneciente a la provincia de Guantánamo y está conformado por más de 400 figuras talladas en piedras calizas.
Fue declarado “Patrimonio Cultural de Cuba” el 26 de junio de 1985.
Zoológico de piedra. Foto: Ismael francisco/Cubadebate
Pavo Real. Foto: Ismael Francisco/Cubadebate
Zoológico de piedra. Foto: Ismael Francisco/Cubadebate
Rinoceronte. Foto: Ismael Francisco/Cubadebate
Elefante. Foto: Ismael Francisco/Cubadebate
Zoológico de Piedra. Foto: Ismael Francico/Cubadebate
El Rey de la selva. Foto: Ismael Francisco/Cubadebate
Elefante. Foto: Ismael Francisco/Cubadebate
Guineos. Foto: Ladyrene Pérez/Cubadebate
Zoológico de piedra. Foto: Ladyrene Pérez/Cubadebate
Cachorros de leones. Foto: Ladyrene Pérez/Cubadebate
Iguana. Foto: Ladyrene Pérez/Cubadebate
Zoológico de piedra. Foto: Ladyrene Pérez/Cubadebate
Gorila. Foto: Ladyrene Pérez/Cubadebate
Armadillo. Foto: Ladyrene Pérez/Cubadebate
Ardilla. Foto: Ladyrene Pérez/Cubadebate
Cebra atrapada por serpiente. Foto: Ladyrene Pérez/Cubadebate
Tortuga. Foto: Ladyrene Pérez/Cubadebate