On croyait que les navires soviétiques arrivaient ce jour-là à la ligne du blocus naval que l’Empire avait imposé à Cuba, mais ce n’est pas avant le lendemain. La santé mentale de Nikita Khrouchtchev et l’attitude de John Kennedy contre les sbires du Pentagone empêché la guerre nucléaire.
Le grand crime
La création de la bombe nucléaire est le pire crime contre l’humanité elle-même a commis tout au long de l’histoire, les scientifiques ont fait de l’application pénale des lois de la physique qui, sur une échelle infiniment supérieure, a créé l’univers Pour plus de treize milliards d’années, dans ce qui est connu comme le Big Bang , une théorie acceptée par les astrophysiciens du monde d’aujourd’hui et ceux qui n’ont pas été entichée de religion.
La désintégration du noyau d’un atome d’uranium qui a créé la bombe d’Hiroshima a suivi le même principe de la division de l’atome initial ou Elam , dont la taille peut avoir été une partie de l’actuelle atome octillonava. Ils ont sorti un champ d’énergie: celle-ci, à l’origine niveau subatomique, serait, dans son évolution, l’univers, celle d’un, assassiner à Hiroshima quelque 100.000 êtres humains, dans plus de 90% des enfants, des femmes et des hommes personnes âgées.
L’histoire du temps montre que les lois de la physique créé si elles sont adressées par eux, mais si elles sont détruites par quelque chose d’aussi primordial que l’esprit humain.
ORIGINAL COUPABLE
Le sensible, ce sensé, rationnel aurait été qu’aucun gouvernement au monde aurait été en contrôle de cette force abominable, mais ce n’est pas arrivé et ce n’était rien de moins que le gouvernement impérial des Etats-Unis, avec sa longue liste de crimes, qui a développé la première et la seule fois où il a été utilisé à des fins militaires, mais d’assassiner des innocents, pour terroriser le monde avec une puissance à ce moment-là, il n’avait qu’à
L’Union soviétique a été forcé de créer la même force diabolique pour se défendre contre un ennemi idéologique qui était déterminé à le détruire et, finalement, détruit quarante ans plus tard, mais autrement. Pourriez la confiance du Kremlin un gouvernement qui a réussi à lancer la bombe dans le centre d’Hiroshima pour tuer des innocents, de ne pas détruire les installations militaires, comme château d’Hiroshima a été le siège de la deuxième armée la plus puissante du pays qui Guerre l’a créé? Est-ce qu’un être humain passivité confiance des bêtes qui rôdent?
Quelques années plus tard, la Grande-Bretagne et la France a développé l’arme elle-même et l’Empire établie dans les bases de l’Italie et de la Turquie des missiles nucléaires qui pourraient atteindre l’Europe et la partie asiatique de l’URSS. Ces roquettes, en particulier la Turquie, visant directement le cœur de l’Union soviétique, cependant, le Kremlin n’a pris aucune action politique ou militaire contre ce qui était en danger, mais leur sécurité, leur propre survie.
Avaient-ils des droits gouvernements de Moscou et de La Havane pour établir des bases de missiles nucléaires à Cuba en 1962? Ils les ont dans la manière même de Washington, Ankara et Rome avaient convenu d’établir des bases yankees missiles nucléaires en Italie et en Turquie, de 1958 à 1961, l’Empire a essayé de les mettre en place en France, mais de Gaulle opposition – . La Turquie est Ninety miles de l’URSS, les Etats-Unis et Cuba, mais un simple terrain millimètre de l’Arménie et de la Géorgie, les républiques soviétiques alors.
Le gouvernement cubain, plus encore que l’Union soviétique, avait de puissantes raisons de se méfier d’un empire qui l’avait agressé et il savait qu’il préparait une importante invasion de ce pays, comme en témoignent plus tard, lorsque les documents officiels ont révélé du temps.
Le blocus naval de Cuba a violé la Charte des Nations Unies, et l’ordre de navires d’autres nations dans les eaux internationales est un acte de piratage condamné par les nations civilisées depuis des milliers d’années. L’approche d’un navire se trouve dans les eaux internationales, conformément au droit international, un acte de guerre, d’invasion, et que le navire est considéré comme territoire du pays sous le pavillon duquel navigue.
Ils étaient les gouvernements de Cuba ou de l’URSS qui a violé le droit international, puisque les bases de missiles à Cuba étaient effectivement accord volontaire de deux nations indépendantes et souveraines.
Into the Abyss
Voici, brièvement, le déroulement des événements:
1 -. 14 octobre : Un Empire avion espion U-2 928 photos prises dans l’ouest de Cuba.
2 -. 15 octobre : Photos analystes de la CIA a découvert que les bases sont en cours de construction missiles à moyenne portée SS-4 nucléaires, à San Cristóbal, Pinar del Rio Province, à l’ouest de La Havane.
3 -. 16 octobre: Kennedy est informé de la situation. À 6:30 PM rencontre les neuf membres du Conseil national de sécurité et de cinq conseillers. Il crée le Comité exécutif – Comité exécutif – de diriger toutes les questions relatives à la crise.
4 -. 17 octobre et les jours : informé de la situation, l’état-major, Joint Chiefs of Staff – l’armée américaine reconnaît, dans une unanimité , une invasion de Cuba, précédée par un bombardement massif de leur bases nucléaires, de nombreux encore en construction, et conventionnelle des installations militaires à travers le pays. Il est estimé que seulement bombardement préliminaire peut provoquer au moins quelque 100.000 morts. Le chef de l’aviation, le général Curtis LeMay, directement coupable de l’assassiner de plus de trois millions de civils innocents en Allemagne, au Japon et en Corée (voir ici Kaos «Brève histoire d’un démon», Avril 27, 2012) est le chef plus militaire insiste le bombardement immédiatement, suivie quelques jours après l’invasion. Kennedy s’oppose à l’accord militaire et préfère un règlement négocié. LeMay l’accuse de lâcheté (Plusieurs années plus tard il a été révélé que si l’attentat avait été réalisée, Cuba aurait été tiré, en particulier à Washington et à New York, plusieurs roquettes avec trois charges nucléaires mégatonnes, 230 fois plus puissant que Hiroshima . États-Unis n’avaient pas alors anticohetes qui pourraient l’aider, parce qu’ils étaient en vigueur douze minutes après avoir été libéré, et qui venait de Cuba sont arrivés dans les grandes villes américaines dans cinq ou six minutes. C’est, bien sûr, eu été le début de la guerre nucléaire , ils pourraient mourir jusqu’à ce que 1,000.000,000. que les humains, la grande majorité des civils innocents)
5 -. 22 octobre : Dans un discours télévisé qui a un impact mondial, Kennedy rapports sur des bases nucléaires et a annoncé un blocus naval à 800 miles nautiques de Cuba. Forces militaires Empire sont mis en état d’alerte – Defcon 3 -.
6 -. 23 octobre : Le premier ministre Nikita Khrouchtchev a envoyé une lettre à Kennedy en exprimant que le blocus naval »est une menace sérieuse pour la paix et la sécurité dans le monde» et assure que les navires à destination de Cuba continuent. Kennedy a décidé de donner plus de temps pour qu’il puisse parvenir à une solution négociée et décide que les bateaux blocus imposé sont situés à moins de 500 miles de Cuba. On s’attend à atteindre la ligne la plus avancée de blocage nouveau demain après-midi. Les militaires américains quantités d’alerte à DEFCON 2, le plus élevé depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Considérons la chronique historique que j’ai écrit il ya quelques années:
DANGER IMMINENT DE GUERRE NUCLEAIRE
Le Dario de l’Histoire , New York, Octobre 24, 1962, huit dix. Le gouvernement du blocus naval de l’Union soviétique a rejeté la nuit dernière aux Etats-Unis doit imposer à Cuba, à partir de dix heures du matin, et a annoncé que ses navires se déplacera vers ce pays, notant en outre que si l’un des eux est arrêté et arraisonné par les officiers de l’US Navy qui ont à mettre en œuvre la quarantaine, une telle action serait considérée comme un acte de guerre.
La note officielle du Kremlin, rapportée par l’agence de nouvelles officielle TASS, dit aussi que la décision du gouvernement de bloquer États-Unis à Cuba, a annoncé le président John F. Kennedy, dans la nuit d’avant-hier, jour 22, constitue une violation de la Charte des Nations Unies et un acte de piraterie, et qu’aucun gouvernement au monde n’a le droit de s’attaquer à toute force bateaux nature dans les eaux internationales. La note précise que, à la mer, un navire territoire du pays sous le pavillon duquel il navigue et s’y attaquer sans autorisation quantités à une invasion terrestre.
La Déclaration stipule soviétiques en outre que la mise en place de bases de missiles nucléaires à Cuba a été l’effet de la libre volonté des deux nations indépendantes qui sont sous la seule réserve de ses lois, et non ceux d’un autre pays, à leur manière, l’installation de bases de missiles nucléaires en Turquie Etats-Unis était un produit de la libre volonté des deux pays et le Kremlin n’a pas imposé un bloc à la Turquie, à la frontière de l’URSS.
Des missiles nucléaires à Cuba sont de moyenne portée et intermédiaire. Les premiers ont une gamme de quelques milliers de miles aériens, ou peuvent se rendre à Washington et à New York. Celui-ci a atteint environ deux mille miles et arrivent de la baie d’Hudson à Lima.
Cette guerre éclate, les nations utiliseraient, bien sûr – la logique de la folie – toutes les armes à sa disposition pour se défendre, comme ils l’ont toujours fait dans l’histoire. Il est impossible d’imaginer, par conséquent, qui peut produire une guerre entre grandes puissances nucléaires du monde Jamais deux sans trois – les Etats-Unis, l’URSS et Cuba – sans utiliser des bombes nucléaires qu’ils possèdent aujourd’hui.
On croit que le premier navire soviétique pourrait atteindre la ligne d’blocus pendant la journée. Si le capitaine de ce bateau, comme prévu, obéir à l’ordre du Kremlin à poursuivre sa route sans s’arrêter et franchir la ligne navale en quarantaine et, quant à lui, également comme prévu, le fonctionnaire de la marine américaine États-prendre les commandes de la Maison Blanche pour arrêter tout navire tentant de franchir cette ligne et couler si elle ne fonctionne pas, la guerre entre les États-Unis et l’Union Soviétique pourrait éclater aujourd’hui. Le monde est donc moments de grande tension . Dans cette guerre pourrait être en train de mourir milliard d’humains, près d’un tiers de l’humanité.
Certains scientifiques ont dit que ce chiffre pourrait être beaucoup plus élevé, car ils sont ceux qui meurent des conséquences indirectes de la guerre. Ainsi, ils estiment que l’explosion de milliers de bombes nucléaires pourraient déclencher de graves phénomènes naturels de la Terre, comme les tremblements de terre des échelles supérieures qui sont connus à ce jour, ce qui pourrait tuer des millions de personnes et causent des marées marée ou tsunamis, qui ont inondé les côtes de plusieurs continents noyade des centaines de millions de personnes vivant dans des zones proches de l’océan.
D’autres scientifiques suggèrent que l’atmosphère de la Terre pourrait être bloqué par des corps physiques et chimiques qui les lancent comme des éclats cyclopéens, empêchant le rayonnement solaire atteignant la planète des territoires étendus, entraînant la disparition de l’agriculture et de l’élevage et de la famine mondiale subséquente, dans lequel périssent lentement, beaucoup de ceux qui n’ont pas la chance de mourir brûlée, mais bénigne rapidement, par la chaleur intense générée par les explosions nucléaires, supérieure à celle des couches externes du soleil. ( note après cette chronique : ce serait provoquer un refroidissement de la planète et retour, au moins pendant 50 ans, de l’âge de glace, ou peu importe son nom hiver nucléaire) .
Il a été dit que les fusées à Cuba transporter trois bombes nucléaires mégatonnes. Le montant réel est inconnu bombes nucléaires qui existent dans les arsenaux des États-Unis et l’Union soviétique, mais est estimé à 15 à 20 mille, presque toutes avec une puissance destructrice d’un ou de plusieurs mégatonnes. Il est estimé qu’il ya peut-être des centaines, voire des milliers, de pompes de un, trois, cinq, dix, cinquante ou même cent mégatonnes. Une bombe nucléaire seulement trois mégatonnes d’équivalent puissance destructrice de trois millions de tonnes de TNT, ou une bombe de cent mégatonnes est égal à 100 millions de tonnes de TNT. Récemment, Nikita Khrouchtchev a révélé que son pays compte plusieurs centaines de mégatonnes de bombes nucléaires, il est estimé que les Etats-Unis devraient avoir aussi.
La bombe d’Hiroshima avait une puissance équivalente destructeur pour 13 000 tonnes de TNT, d’autres sources estiment qu’il aurait pu être jusqu’à vingt mille – et tué 80% des personnes qui se trouvaient dans le rayon d’un kilomètre de son hypocentre , qui est le point, à 618 pieds au-dessus de la ville a explosé, tuant plus de 100.000 personnes.
Une bombe de trois mégatonnes équivalent de 230 bombes d’Hiroshima et une centaine, à 7,592. Est la puissance destructrice de ces pompes proportionnelle à cette explosion génocidaire était cet original? Matara? Bombe Megaton trois à 80% des personnes qui se trouvent dans un rayon de 230 kilomètres de son hypocentre, ou peut-être à 100% parce que les bombes d’aujourd’hui sont plus mortelles que celles d’alors? Matara? Cent bombe mégatonnes 80 ou 100%, des personnes reconnues à 7.592 miles de l’hypocentre? Si c’est le cas, un cent mégatonnes bombe exploser, par exemple, à Paris, tuerait 80 à 100% des personnes qui se trouvent en Europe, Afrique du Nord, le Proche-Orient et une partie de l’Asie. Une autre explosion à le faire, par exemple, à La Havane , si cette proportion était vrai, tuerait 80 à 100% des êtres humains qui sont dans les Caraïbes, au Mexique, en Amérique centrale, les États-Unis, la quasi-totalité de l’Amérique du Sud et les deux tiers du Canada.
Pour l’instant, ce journaliste a peu retourner à son domicile dans cette ville, fortement embrasser sa femme et ses deux jeunes filles, et de mettre un peu de bon sens dans cette folie immense, la volonté, une fois de plus, son livre en-têtes qui ont toujours eu l’illusion de mourir d’appel d’offres, ainsi que leurs proches, la lecture d’un chapitre des Misérables où Jean Valjean trouve Cosette petite à côté du puits, tremblant de froid et de peur dans les ténèbres de l’ nuit dans la forêt de Montfermeil.
Qu’est-ce qui s’est passé ensuite
7 -. 25 octobre : les navires soviétiques ralentir. On pense que certains peuvent avoir commencé son retour en Europe, cependant, de nouvelles photos de la série U2 qui a accéléré les travaux pour achever la construction des bases à Cuba.
8 -. 26 octobre : Le premier ministre Khrouchtchev a envoyé une autre lettre à Kennedy dans laquelle il dit qu’il serait prêt à démanteler les bases si le gouvernement américain s’est engagé publiquement à ne pas envahir Cuba.
9 -. Oct. 27: Khrouchtchev a envoyé une nouvelle lettre propose de démanteler les fondements de Cuba si les Etats-Unis fait la même chose avec la Turquie. Un U2 est abattu au-dessus de Cuba. Le Pentagone accroît la pression sur les membres du Comité exécutif pour envahir Cuba que l’ASAP. Kennedy refuse et décide d’accepter les termes de la lettre précédente de Khrouchtchev à propos de l’engagement américain de ne pas envahir Cuba.
10 -. 28 octobre : Khrouchtchev a annoncé le démantèlement de Radio Moscou bases nucléaires à Cuba, quelques mois plus tard, l’Empire fermeture des bases nucléaires en Turquie -.
PROPRIÉTAIRE DU CRIME ET NON LE MONDE
Politique impériale qui s’opposaient à la décision souveraine des deux nations indépendantes, il ya un demi-siècle, donnant naissance à la crise d’Octobre … dure encore. Maintenant, il ya Cuba, mais l’Iran … et d’autres pays pourrait être dans les années à venir.
L’Empire, agissant comme s’il possédait le monde, dit-il pas permettre à l’Iran, pays indépendant et souverain, l’un des berceaux historiques de la civilisation, possédant une seule bombe nucléaire, mais c’était l’empire qui a transformé Israël en équiper plusieurs centaines de grandes centrales nucléaires de pompes ainsi que des roquettes qui atteignent huit neuf mille kilomètres. Israël est censé posséder quelque 400 bombes nucléaires d’aujourd’hui qui en fait le troisième plus l’énergie nucléaire. Ce qu’il a fait le gouvernement israélien lui-même: c’était un cadeau curieux de l’Empire.
En vertu de quels principes, quelles sont les lois, quelle morale peut posséder le gouvernement sioniste que l’arsenal tout nié l’une de ces bombes à d’autres pays?
Personne ne s’étonne que le caprice insolent de l’Empire et du sionisme sur l’Iran dans un avenir proche provoquer une guerre qui serait beaucoup plus catastrophique que ce que pourrait commencer un demi-siècle d’aujourd’hui ☼
Dernière mise à jour le Mercredi, 24 Octobre 2012 18:36
De acuerdo con The Guardian miembros de Amanacer Dorado son utilizados para provocar enfrentamientos entre grupos de izquierad y la policía. Todo esto bajo la aprobación de las altas esferas de gobierno. La policía niega dicha versión.
El diario británico The Guardian reveló a través de su sitio web que el partido neonazi Amanecer Dorado se infiltró en varios niveles de la policía griega, que el gobierno lo sabe y no ha actuado para erradicar dicha práctica.
El medio cita a un oficial superior, que bajo el anonimato, afirma que el Ejecutivo griego y los servicios de inteligencia han avalado esta situación durante varios años. Esta alta fuente policial asegura que insistió varias veces para que estos «bolsones fascistas» fueran eliminados, pero que al final decidieron mantener el tema en reserva.
El oficial dijo que los miembros de Amanecer Dorado estarían siendo utilizados contra la izquierda griega, que ha instensificado las protestas populares callejeras contra las medidas de austeridad del gobierno impuestas por la UE. Los grupos neonazis operarían como agentes provocadores en las manifestaciones en todo el país, para gatillar enfrentamientos entre los manifestantes y la policía, o incluso entre los propios manifestantes.
Frente a esta denuncia el vocero de prensa de la policía griega, Christos Manouras, negó que los efectivos esté usando o estén siendo utilizados por «cualquier formación política en contra de cualquier otro». Manouras rechazó la existencia de «bolsones de fascismo» dentro de la fuerza policial y dijo que ningún comportamiento ilegal sería tolerado.
Reconoció que «los casos individuales se pueden encontrar en todas partes y en cualquier lugar de trabajo». Sin embargo, agregó: «Es injusto que la policía griega sea acusada sin pruebas de que tolera o apoya acciones específicas o que se identifica con ciertas creencias (políticas).
El partido neonazi obtuvo en las pasadas elecciones legislativas griegas de junio pasado, 18 escaños. Su popularidad ha pasado del 12% de mayo al 22% de octubre y también sube la popularidad de su líder, Nikos Michaloliakos.
Varios grupos de derechos humanos han acusado a la policía griega de simpatizar o actuar en connivencia con Amanecer Dorado. Ya a principios de esta semana un informe de Racist Violence Report Network, un grupo formado por 23 organizaciones no gubernamentales y el comisionado de la ONU para los Refugiados, denunciaron los métodos violentos que utiliza la policía en las manifestaciones. Desde maltratos por unas horas a destrucción de documentos personales.
«En algunas ocasiones hay una línea borrosa entre Amanecer Dorado y la policía«, dijo Kostis Papaioannou, ex jefe de la comisión nacional de derechos humanos. Las denuncias de colusión resurgieron después de que manifestantes fueron «torturado por la policía», después de los enfrentamientos con los partidarios neonazis. El ministro de orden público, Nikos Dendias, negó las acusaciones.
Según The Guardian, citando a su fuente, los oficiales de policía son mal pagados, trabajan en precarias condiciones y por ello se generan los espacios para que miembros de Amanecer Dorados se infiltren.
Se creía que los barcos soviéticos llegarían ese día a la línea del bloqueo naval que el Imperio le había impuesto a Cuba, pero no fue así hasta el día siguiente. La cordura de Nikita Jruschov y la actitud de John Kennedy frente a los esbirros del Pentágono evitaron la guerra nuclear.
EL GRAN CRIMEN
La creación de la bomba nuclear es el peor crimen que la humanidad ha perpetrado contra sí misma a lo largo de la historia, una aplicación criminal que los científicos han hecho de las leyes de la Física que, en una escala infinitamente superior, crearon el universo hace más de trece mil millones de años, en lo que se conoce como el Gran Estallido, teoría aceptada por los astrofísicos del mundo actual y por las personas que no se han embrutecido con la religión.
La desintegración del núcleo de un átomo de uranio que creó la bomba de Hiroshima siguió un principio similar al de la división del átomo original o élam, cuyo tamaño pudo haber sido el de una octillonava parte del átomo actual. Ambos liberaron un campo energético: el de éste, a un nivel subatómico original, crearía, en su evolución, al universo; el de aquél, asesinaría en Hiroshima a unos 100,000 seres humanos, en más de un 90% niños, mujeres y hombres de la tercera edad.
La historia del tiempo demuestra que las leyes de la Física crean si son dirigidas por ellas mismas, pero destruyen si lo son por algo tan primigenio como la mente humana.
CULPABLE EL ORIGINAL
Lo sensible, lo cuerdo, lo racional hubiera sido que ningún gobierno del mundo hubiese tenido el control de esa fuerza abominable; pero no ha sido así y fue, nada menos, que el gobierno imperial de Estados Unidos, con su extenso expediente de crímenes, el primero que la desarrolló, y la única vez que la usó no fue con fines militares, sino para asesinar inocentes, para aterrorizar al mundo con un poder que en ese momento sólo él poseía
La Unión Soviética se vio obligada a crear la misma diabólica fuerza para defenderse de un enemigo ideológico que se empeñaba en destruirla y que, finalmente, la destruyó cuarenta años después, pero de otra forma. ¿Podía el Kremlin fiarse de un gobierno que fue capaz de lanzar esa bomba en pleno centro de Hiroshima para matar inocentes, no para destruir las instalaciones militares, como el Castillo de Hiroshima que era el cuartel general del segundo ejército más poderoso del país al que le hacía la guerra? ¿Puede un ser humano confiar en la pasividad de las bestias que lo acechan?
Unos años después, Inglaterra y Francia desarrollaron la propia arma y el Imperio estableció en Italia y Turquía bases de cohetes nucleares que podían alcanzar a toda Europa y una parte de la URSS asiática. Esos cohetes, sobre todo los de Turquía, apuntaban directamente al corazón de la Unión Soviética; sin embargo, el Kremlin no tomó ninguna medida política ni militar en contra de lo que ponía en peligro, más que su seguridad, su propia supervivencia.
¿Tenían derechos los gobiernos de Moscú y La Habana a establecer bases de cohetes nucleares en Cuba en 1962? Los tenían en la propia forma en que Washington, Ankara y Roma se habían puesto de acuerdo para establecer bases de cohetes nucleares yanquis en Italia y Turquía, de 1958 a 1961 –el Imperio trató de establecerlas en Francia, pero De Gaulle se opuso–. Turquía no está a noventa millas náuticas de la URSS, como Cuba de EU, sino a un simple milímetro de distancia terrestre de Armenia y Georgia, entonces repúblicas soviéticas.
El gobierno de Cuba, aun más que el de la Unión Soviética, tenía poderosas razones para desconfiar de un imperio que lo había agredido y del que se sabía que estaba preparando una gran invasión al país, como se comprobó después cuando se revelaron los documentos oficiales de la época.
El bloqueo naval a Cuba violaba la Carta de Naciones Unidas, y la orden de abordar barcos de otras naciones en aguas internacionales es un acto de piratería condenado por las naciones civilizadas desde hace miles de años. El abordaje de una nave en aguas internacionales es, de acuerdo al Derecho Internacional, un acto de guerra, una invasión, ya que esa nave es considerada territorio del país bajo cuya bandera navega.
No fueron los gobiernos de Cuba ni de la URSS quienes violaron las leyes internacionales, ya que las bases de cohetes en Cuba fueron efecto de un acuerdo voluntario de dos naciones independientes y soberanas.
HACIA EL ABISMO
Veamos, con brevedad, cómo se desarrollaron los hechos:
1-. 14 de octubre: un avión espía U-2 del Imperio toma 928 fotos del occidente cubano.
2-. 15 de octubre: analistas de fotos de la CIA descubren que se están construyendo bases de cohetes nucleares de alcance medio SS-4, en San Cristóbal, provincia de Pinar del Río, al oeste de La Habana.
3-. 16 de octubre: Kennedy es informado de la situación. A las 6:30 p.m. se reúne con los nueve miembros del Consejo de Seguridad Nacional y cinco asesores. Se crea el Executive Committee –EXCOMM— para dirigir todo lo relativo a la crisis.
4-. 17 de octubre y días siguientes: informado de la situación, el Estado Mayor Conjunto –Joint Chiefs of Staff– de las fuerzas armadas de EU acuerda, en forma unánime, una invasión a Cuba, precedida por un bombardeo masivo a sus bases nucleares, varias aún en construcción, y a las instalaciones militares convencionales en todo el país. Se estima que sólo el previo bombardeo puede ocasionar al menos unos 100,000 muertos. El jefe de la aviación, general Curtis LeMay, culpable directo del asesinato de más de tres millones de civiles inocentes en Alemania, Japón y Corea (ver aquí en Kaos “Breve historia de un diablo”, 27 de abril del 2012) es el jefe militar que más insiste en el bombardeo inmediato, seguido unos días después por la invasión. Kennedy se opone a ese acuerdo militar y prefiere una solución negociada. LeMay lo acusa de cobarde (Muchos años después se reveló que si ese bombardeo se hubiese perpetrado, de Cuba habrían sido disparados, sobre todo hacia Washington y Nueva York, varios cohetes con cargas nucleares de tres megatones, 230 veces más poderosas que la de Hiroshima. Estados Unidos no poseía entonces anticohetes que pudieran evitarlo, ya que éstos eran efectivos unos doce minutos después de ser lanzados, y los que salían de Cuba llegaban a las ciudades más importantes de EU en cinco o seis minutos. Ése, por supuesto, hubiese sido el inicio de la Primera Guerra Nuclear en que podían morir hasta 1,000.000,000. de seres humanos, en su inmensa mayoría civiles inocentes)
5-. 22 de octubre: en un discurso televisado que tiene repercusión mundial, Kennedy informa sobre las bases nucleares y anuncia el bloqueo naval a 800 millas náuticas de Cuba. Las fuerzas militares del Imperio son puestas en alerta – DEFCON 3–.
6-. 23 de octubre: el premier Nikita Jruschov le envía una carta a Kennedy en la que expresa que el bloqueo naval “es una seria amenaza a la paz y seguridad del mundo” y asegura que los barcos proseguirán con rumbo a Cuba. Kennedy decide dar más tiempo para que se pueda lograr una solución negociada y decide que los barcos que imponen el bloqueo se sitúen a 500 millas de Cuba. Se espera que los más avanzados lleguen a la nueva línea del bloqueo mañana por la tarde. La alerta militar en EU asciende a DEFCON 2, la más alta desde el fin de la guerra mundial.
Veamos la crónica histórica que escribí hace unos años:
INMINENTE PELIGRO DE GUERRA NUCLEAR
El Dario de la Historia, Nueva York, 24 de octubre de 1962, ocho y diez minutos de la mañana. El gobierno de la Unión Soviética rechazó anoche el bloqueo naval que Estados Unidos ha de imponerle a Cuba, a partir de las diez de la mañana de hoy, y anunció que sus barcos seguirán avanzando hacia ese país, advirtiendo, además, que si alguno de ellos es detenido y abordado por los oficiales de la Marina de Guerra estadounidense que han de implantar la cuarentena, tal acción sería considerada un acto de guerra.
La nota oficial del Kremlin, divulgada por la agencia oficial TASS, dice, además, que la decisión del gobierno de Estados Unidos de bloquear a Cuba, anunciada por el presidente John F. Kennedy en la noche de antier, día 22, es una violación de la Carta de Naciones Unidas y un acto de piratería, ya que ningún gobierno del mundo tiene derecho a abordar por la fuerza barcos de ninguna clase en aguas internacionales. La nota aclara que, en alta mar, una nave es territorio del país bajo cuya bandera navega y que abordarla sin su permiso equivale a una invasión territorial.
La declaración soviética afirma, además, que el establecimiento de las bases de cohetes nucleares en Cuba ha sido efecto de la libre voluntad de dos naciones independientes que sólo están sometidas a sus leyes, no a las de ningún otro país, en la propia forma que la instalación de las bases de cohetes nucleares de Estados Unidos en Turquía fue producto del libre albedrío de ambos países y el Kremlin no impuso bloqueo alguno a Turquía, país fronterizo con la URSS.
Los cohetes nucleares de Cuba son de alcance medio e intermedio. Los primeros tienen un radio de acción de unas mil millas aéreas, o sea pueden llegar hasta Washington y Nueva York. Los segundos alcanzan unas dos mil millas y llegarían desde la Bahía de Hudson hasta Lima.
De desatarse esta guerra, las naciones usarían, como es lógico –la lógica de la locura–, todas las armas a su alcance para defenderse a sí mismas, como han hecho siempre en la historia. Es imposible imaginar, por ello, que se pueda producir una guerra entre las tres superpotencias nucleares del mundo –EU, la URSS y Cuba– sin que éstas utilicen las bombas nucleares que ahora poseen.
Se cree que el primer buque soviético pudiera llegar a la línea del bloqueo en el transcurso del día de hoy. Si el capitán de este barco, como es de esperarse, acata la orden del Kremlin de proseguir su viaje sin detenerse y atravesar la línea de cuarentena naval y, por su parte, como se espera también, los oficiales de la Marina de Guerra de Estados Unidos acatan las órdenes de la Casa Blanca de detener a cualquier barco que trate de cruzar dicha línea y hundirlo si no lo hace, la guerra entre Estados Unidos y la Unión Soviética pudiera desencadenarse hoy mismo. El mundo vive, pues, momentos de enorme tensión. En esta guerra pudieran morir mil millones de ser humanos, casi la tercera parte de la humanidad.
Algunos científicos han declarado que esa cifra pudiera ser mucho mayor, porque incluyen a quienes morirían por las consecuencias indirectas de la guerra. De tal forma, estiman que la explosión de miles de bombas nucleares pudiera desencadenar graves fenómenos naturales en el planeta, como terremotos de escalas más altas de los que hasta hoy se conocen, que podrían matar a otros muchos millones de seres humanos y provocar grandes mareas tidales, o tsunamis, que inundarían las costas de varios continentes ahogando a cientos de millones de personas que viven en las zonas próximas a los océanos.
Otros científicos sugieren que la atmósfera terrestre podría ser bloqueada por cuerpos físicos y elementos químicos que tan ciclópeos estallidos les lanzaría, impidiendo que la radiación solar llegue a extensos territorios del planeta, provocando la desaparición de la agricultura y la ganadería y la subsecuente hambruna mundial, en la que perecerían, lentamente, muchos de los que no tuvieron la suerte de morir achicharrados, pero con benigna rapidez, por el inmenso calor que generan las explosiones nucleares, mayor que el de las capas exteriores del sol. (nota posterior a esta crónica: eso provocaría el enfriamiento del planeta y el regreso, al menos por 50 años, de una era glacial, o sea lo que se conoce como Invierno Nuclear) .
Se ha dicho que los cohetes de Cuba llevan bombas nucleares de tres megatones. Se desconoce la cantidad real de bombas nucleares que existen en los arsenales de Estados Unidos y la Unión Soviética, pero se calcula que pueden ser de quince a veinte mil, casi todas con un poder de destrucción de un megatón o más. Se estima que pueda haber cientos, quizás miles, de bombas de uno, tres, cinco, diez, cincuenta y hasta cien megatones. Una bomba nuclear de tan sólo tres megatones equivale al poder destructivo de tres millones de toneladas de TNT, o sea que una bomba de cien megatones equivale a cien millones de toneladas de TNT. Recientemente, Nikita Jruschov reveló que su país tiene varias bombas nucleares de cien megatones, por lo que se calcula que Estados Unidos las deba tener también.
La bomba de Hiroshima tuvo un poder destructivo equivalente al de trece mil toneladas de TNT –otras fuentes estiman que pudo haber sido hasta de veinte mil– y mató al 80% de las personas que se hallaban en el radio de un kilómetro de su hipocentro, o sea el punto en que, a 618 metros de altura sobre la ciudad, hizo explosión, matando a mas de 100,000 seres humanos.
Una bomba de tres megatones equivale a 230 bombas de Hiroshima y de cien, a 7,592. ¿Es el poder destructivo de estas bombas proporcional al que tuvo aquel original estallido genocida? ¿Matará una bomba de tres megatones al 80 % de las personas que se encuentren en un radio de 230 kilómetros de su hipocentro, o quizás al 100% porque las bombas de hoy son más mortales que las de entonces? ¿Matará una bomba de cien megatones al 80 o al 100%, de las personas que se hallen a 7,592 kilómetros de su hipocentro? De ser así, una bomba de cien megatones que explote, por ejemplo, en París, mataría del 80 al 100% de las personas que se encuentren en toda Europa, el norte de África, el cercano Oriente y una part de Asia. Otra de éstas que haga explosión, por ejemplo, en La Habana, si tal proporción fuese cierta, mataría del 80 al 100% de los seres humanos que se hallen en el Caribe, México, América Central, Estados Unidos, casi toda América del Sur y las dos terceras partes de Canadá.
Por lo pronto, este cronista regresará en breve a su hogar de esta ciudad, abrazará con fuerza a su esposa y sus dos pequeñas hijas, y, para ponerle un poco de sensatez a esta inmensa locura, abrirá, una vez más, su libro de cabecera porque siempre ha tenido la tierna ilusión de morir, junto a sus seres más queridos, leyendo el capítulo de Los Miserables en que Jean Valjean encuentra a la pequeña Cosette, junto al pozo, temblando de frío y de miedo bajo las sombras tenebrosas de la noche, en el bosque de Montfermeil.
LO QUE SUCEDIÓ DESPUÉS
7-. 25 de octubre: los barcos soviéticos disminuyen su velocidad. Se cree que algunos puedan haber iniciado su regreso a Europa, sin embargo, nuevas fotos de los U2 señalan que se ha acelerado los trabajos para finalizar la construcción de las bases en Cuba.
8-. 26 de octubre: El premier Jruschov le envía otra carta a Kennedy en la que dice que estaría dispuesto a desmantelar las bases si el gobierno de Estados Unidos se compromete, públicamente, a no invadir a Cuba.
9-. 27 de octubre: Jruschov envía una nueva carta en la que propone el desmantelamiento de las bases de Cuba si EU hace lo mismo con las de Turquía. Un U2 es derribado sobre territorio cubano. El Pentágono aumenta su presión sobre los miembros del EXCOMM para que se invada a Cuba lo antes posible. Kennedy se resiste y decide aceptar los términos de la carta anterior de Jruschov sobre el compromiso de EU de no invadir a Cuba.
10-. 28 de octubre: Jruschov anuncia en Radio Moscú el desmantelamiento de las bases nucleares en Cuba –unos meses después, el Imperio cerraría las bases nucleares de Turquía–.
DUEÑO DEL CRIMEN, NO DEL MUNDO
La política imperial que se opuso a la decisión soberana de dos naciones independientes, hace medio siglo, dando origen a la Crisis de Octubre… aún perdura. Ahora ya no es Cuba, sino Irán… y pudieran ser otras naciones en los próximos años.
El Imperio, que actúa como si fuera dueño del mundo, declara que no permitirá que Irán, país independiente y soberano, una de las cunas históricas de la civilización, posea una sola bomba nuclear, pero fue el propio imperio el que convirtió a Israel en una gran potencia nuclear dotándolo de cientos de bombas y, además, de cohetes que alcanzan hasta los ocho y nueve mil kilómetros. Se cree que Israel posea hoy unas 400 bombas nucleares que lo convierte en la tercera potencia nuclear del mundo. Eso no lo hizo el gobierno de Israel por sí mismo: fue un curioso regalo del Imperio.
¿Bajo qué principios, qué leyes, qué moral puede el gobierno sionista poseer ese arsenal mientras se le niega una sola de esas bombas a otras naciones?
A nadie le extrañe que el insolente capricho del Imperio y el sionismo sobre Irán provoque en el futuro inmediato una guerra que sería mucho más catastrófica que la que pudo comenzar hace hoy medio siglo ☼
Ultima modificacion el Miércoles, 24 de Octubre de 2012 18:36
“si no es por aquella mujer que viene andando detrás de nosotros te dejamos seco”
De haber vivido
El 30 de octubre Miguel hubiera cumplido 102 años.
De no haber sido torturado hasta dejarlo morir de todo, hasta impedirle su libertad, cuando ya de él no quedaba sino una sombra débil, como hoy décadas después sigue sucediendo con los presos políticos con la misma saña y odio que durante el triunfo del nazismo tras el levantamiento contra la República. De haber vivido el que tanto amara la vida,
raíz de tierra fecunda, cantor de ruiseñores atravesando trincheras agitando los vientos a favor, lanzando aliento a la palabra ensalzaba la cultura, hasta desfallecer enardeciendo la poesía, el teatro, el pregón, el mensaje, la agitación, la entrega, el amor, y también supo de la traición; lanzó el puño y el fusil, sobre el canto de las balas al corazón del despotismo fiero y mordaz de dentro y fuera, amotinados contra un pueblo que quiso hacer revolución, sediento de evolución, justicia y libertad.
Por todo lo soñado, peleado, resistido
Fase de intimidación. . . te dejamos seco, enero de 1936:
Los cuerpos represivos del fascismo seguían en el poder. Hasta dieciocho intelectuales se unieron a través de un manifiesto de protesta sobre dicha detención intimidatoria con amenaza criminal, que contó con las firmas de Federico G. Lorca, José Bergamín, Cossío, J. Sender, Pablo Neruda, Teresa León, Rosa Chacel, Rafaél Alberti, Antolagirre, Cernuda, Salinas. . . ¿Qué sucedió aquél lunes 7 de enero, donde los cuerpos represivos seguían actuando como en el reino del imperio? Que un sencillo paisano, cabrero como medio de sustento, y poeta como potencia humana, en uso de su libertad, y sin disfrazarse previamente de señorito excursionista (el mentado Miguel Hernández), tuvo la ocurrencia de pretender sentir el campo cerca de la ciudad, y subirse a un tren en Madrid apeándose del mismo en San Fernando, enfilando los pasos de la misma manera que cualquier otra persona del pueblo, con su habitual aspecto natural a cuestas, hacía el campo, en busca de una pacífica jornada de bucólico solaz y nostálgico regocijo. Pero estando ensimismado en la dicha de sus asuntos, alejado de sus cabras y del bullicio de la gran ciudad capitalina, paseando a orillas del Jarama, inspirándose en lo que sería su próxima obra, fue detenido por la siniestra Guardia Civil, y preguntado con la arrogancia y prepotencia que les caracteriza que, qué hacía por aquellos lugares. Contestó sonriente al parecer, “el sospechoso”, que no era sino un escritor que estaba allí por gusto. Pero aquél desafortunado paseo campestre tomó cuerpo de guerra!. La forma de ser, de vestir campechana por sencilla -tan común al mismo tiempo- modesta al nivel económico que caracterizaba a un paisano sencillo de ámbito rural, llevó a la Guardia Civil acostumbrada a respetar sólo al señorito, a manifestar su repudio racial y tratarle con prepotente violencia, además de conducirle arrestado al cuartelillo de San Fernando. Cuentan, que durante el trayecto. . .
Fue golpeando su rabia e impotencia por la humillación provocada, dándole pataditas a las piedras que encontraba por el camino, con sus manitos metidas en los bolsos, pensando, pensando. . . cuán difícil es ser gente en la vida. Y, es que es ahí observado con más rabia si cabe, por su ‘manifiesto desafío’, y amenazan de muerte: “si no es por aquella mujer que viene andando detrás de nosotros te dejamos seco.” Rudas, ásperas, tersa y pastoril, ácidas palabras, una agreguería, obvia amenaza viniendo de tan siniestro cuerpo.
Versión del poeta, que no se disfraza de señorito para salir al campo. Fase primera, a cargo del cabo:
Al entrar en el cuartelillo y sin más explicaciones, gollerías impertinentes en tales maniobras, el cabo le abofeteó. Siguieron golpes y humillaciones.
Fase segunda, la del registro minucioso:
Se le intervino, bolsillo superior derecho, parte interior de la chaqueta, una cuartilla encabezada por un nombre de inequívocas resonancias contubernicoauríferas: Juan de Oro.
Fase tercera, se busca la evidencia:
La evidencia se tenía, y si las pesquisas no rindieron mayores frutos, no fue por falta de sagacidad ni de entusiasmo por parte de los beneméritos encargados de resolver el caso.
Juan de Oro, este es un cómplice. . . confiesa, insistieron los interrogadores.
Es un título para una obra de teatro. . . contestó el ‘sospechoso’
Fase cuarta, la del total desprecio, no se inmuta ningún mando:
Y así, diezmado, golpeado, insultado, vejado permaneció varias horas en el cuartelillo, hasta que le permitieron telefonear a un amigo, persona influyente, que respondió por él.
Fase cuarta, ‘la brillante’ operación toca a su fin:
Patinazo, jefe.
Darle boleta.
Y Miguel, más cara de tierra que nunca, de hambre de cultura, de impotencia y revolución; ya con una conciencia imperante tomando forma desbocada en su cuerpo, caminó con tres heridas, la de la vida, la de la muerte, la del amor, y desanduvo el camino hacia la estación; toma el primer tren y se apea en el centro de la capital llamada Madrid. Vaya con el día de campo!
Fase quinta, la de la aberración, día siguiente de ser liberado:
Aquí paz y después gloria, “Don Miguel”, hágase cargo, lamentable error, producto del exceso de celo de unos guardias aislados, negligencia, en fin, que conviene archivar. . . Y, lograron que la prensa lo silenciara, a excepción de, “Mundo Obrero” (órgano del P.C. dirigido por José Díaz). Corría el mes de enero del 1936.
Fase revolución, hubo quién pensó de otra manera:
“Protestamos de la vejación que representa abofetear a un hombre indefenso, protestamos de esta clasificación (se refiere a la diferencia de trato), entre señoritos y hombres del pueblo que la Guardia Civil hace constantemente.“ En este caso que denunciamos, Miguel Hernández es uno de nuestros poetas jóvenes de más valor [. . .] .
Este manifiesto fue firmado por dieciocho solidarios militantes de la cultura, poetas, escritores, y dos arquitectos-escultores. Pero, como ellos bien dijeron, ¿cuántas arbitrariedades como ésta se estaban cometiendo a diario, sin que nadie se enterara? Seis meses después. . .
TEATRO DE GUERRA
“El 18 de julio de 1936, frente al movimiento de los militares traidores, entré yo, poeta, y conmigo mi poesía, en el trance más doloroso y trabajoso, pero más glorioso al mismo tiempo, de mi vida. No había sido hasta ese día un poeta revolucionario en toda la extensión de la palabra. Había escrito versos y dramas de exaltación del trabajo y de condenación del burgués, pero el empujón definitivo que me arrastró a esgrimir mi poesía en forma de arma combativa me lo dieron los traidores.
Aquel 18 de julio. . .
Intuí, sentí venir contra mi vida como un gran aíre, la gran tragedia, la tremenda experiencia poética que se avecinaba, y me metí pueblo adentro, mas hondo de lo que estoy metido desde que me parieran, dispuesto a defenderlo firmemente de los provocadores de la invasión. Desde entonces acá vengo luchando de muchas maneras, y sólo me canso y no estoy contento cuando no hago nada. Una de las maneras miás de luchar, es haber comenzado a cultivar un teatro hiriente y breve.
Un teatro de guerra. . .
La Cola, El Hombrecito, El Refugiado, Los Sentados, son una manifestación del teatro que he dado comienzo. Creo que el teatro es un arma magnífica de guerra contra el enemigo de enfrente y contra el enemigo de casa. Entiendo que todo teatro, toda poesía, todo arte, ha de ser hoy más que nunca, un arma de guerra, y ahora, en estos momentos de revolución y renovación de tantos valores, más al desnudo y al peligro que nunca.
Es la de hoy, la hora más apropiada para mi.
Y no quiero dejarme dormir ni distraer, porque quiero ver cuajados los sentimientos y los pensamientos de mi gente en una vida de dignidad, de gran dureza, y para eso pongo mis cinco sentidos en este trabajo de engrandecimiento, como puedo y como sé, con mi poesía y con mi teatro, las dos armas que más relucen en mis manos con más filo cada día, trato de hacer de la vida materia heroica frente a la muerte. Y no he de parar hasta hacerla. Yo me digo. . .
Hay que sepultar las ruinas del obsceno y mentiroso teatro de la burguesía, que todavía andan moviendo polvo y ruina en nuestro pueblo.¡¡Fuera de aquí!!
De los ojos y las orejas de aquí, aquellos espectáculos que no sirven para otra cosa que para mover la lujuria, dormir el entendimiento y tapar el corazón reluciente del pueblo.
La gran tragedia que se desarrolla.
Necesita poetas que la contengan, la exprese, la orienten y la lleven a un término de victoria y de verdad. Cuando descansemos de la guerra, y la paz aparte los cañones de las plazas y los corrales de las aldeas, me veréis por ellos celebrar representaciones de un teatro que será la vida misma, sacada limpiamente de sus trincheras, sus calles, sus campos y sus paredes.”
NOTA
En 1925 Miguel Hernández tiene que abandonar los estudias y ponerse a trabajar al cuidado de un rebaño de cabras. Pero ferviente de seguir aprendiendo, se une a una de las pocas alternativas que había en el pueblo, la tertulia de los hermanos Fenoll donde conoce a ‘Ramón Sijé’. Con apenas 15 años, ya comienza a introducir poesía en diarios, locales y provinciales. En 1927 aparecen los primeros manuscritos y poemas del poeta.
Durante su primera estancia madrileña.
Diciembre de 1931 y mayo de 1932, Miguelito se entera de nuevas interpretaciones literarias, sobre todo del neogongorismo de la famosa “Generación del 27”, y otras corrientes de vanguardia artística. Esta visita y contactos le van reafirmando su interior y conciencia, regenerando otros sentimientos, apartándole, del hasta entonces guía e instructor, R. Sijé.
A los 23 años crea, ‘Perito en lunas’, tras su regreso a Orihuela.
Publicada a principios de 1933, donde ya manifiesta referencia evidente de la influencia de estos modelos. Y con 26 años, fruto de esa fiebre y educación autodidacta arrolladora, creadora, surge , ‘El rayo que no cesa’. En marzo de 1934, el poeta, realiza su segundo viaje a Madrid.
Donde conoce a un gran número de escritores, artistas e intelectuales. Tras otro nuevo regreso a Orihuela en abril. Miguel vuelve a partir de nuevo hacia Madrid a mediados de julio para ver a José Bergamín. Fue entonces en la tertulia, Cruz y Raya, que tuvo lugar el primer encuentro entre Miguel Hernández y Pablo Neruda:
Yo lo conocí cuando llegaba de alpargatas y pantalón campesino de pana desde sus tierras de Orihuela, en donde era pastor de cabras. […] Miguel era tan campesino que llevaba un aura de tierra en torno a él. Tenía una cara de terrón o de papa que se saca de entre las raíces y que conserva frescura subterránea. […] Era ese escritor salido de la naturaleza como una piedra intacta, con virginidad selvática y arrolladora fuerza vital. Pablo Neruda, un 4 de enero de 1935. . . responde desde Madrid a la carta de Miguel (se da cuenta que su nuevo amigo Miguelito está en la encrucijada), y le aconseja de alejarse de la religiosidad conservadora de Sijé:
Querido Miguel, siento decirle que no me gusta El Gallo Crisis, le hallo demasiado olor a iglesia ahogado en incienso. ¡Qué pesado se pone el mundo, por un lado los poetas comunistas, por el otro los católicos, y por suerte en medio Miguel Hernández hablando de ruiseñores y cabras! Ya haremos revista aquí querido pastor, y grandes cosas.
La carta que Miguelito dirige desde Madrid a Juan Guerrero Ruiz, junio de 1935, en ella reniega, toda la precedente fase religiosa de su propia obra:
“Tiene que perdonarme que no le enviara mi auto sacramental […]. Ha pasado algún tiempo desde la publicación de esta obra, y ni pienso ni siento muchas cosas de las que digo allí, ni tengo nada que ver con la política católica dañina , ni mucho menos con la exacerbada y triste revista de nuestro amigo Sijé. . .
Vengo muy satisfecho de librarme
de la serpiente de las múltiples cúpulas,
la serpiente escamada de casullas y cálices”
El poeta, ni podía ni quería ocultar el cambio de su cosmovisión a Ramón Sijé. En julio de 1935, escribe desde Madrid a su novia Josefina:
“Mi amigo Pepito (se refiere a Ramón Sijé) está disgustado conmigo porque le dije hace tiempo que está demasiado metido en la iglesia siempre.”
Durante el verano de 1935
Hernández redactó la “Oda entre sangre y vino a Pablo Neruda”
El texto de ese poema formó parte del “folleto-homenaje” que Miguel Hernández junto con otros admiradores había entregado a Neruda en Madrid en el mes de junio de 1935, poco antes de componer esa oda.
Ya relampaguean las hachas y las hoces con su metal crispado, ya truenan los martillos y los mazos. . .
Ramón Sijé, veía escapar al antiguo discípulo de su control. Le envía una carta ‘preocupado’ desde Orihuela en noviembre de 1935:
Es terrible lo que has hecho conmigo. Es terrible no mandarme Caballo Verde. . . Por lo demás, Caballo Verde no debe interesarme mucho. […] Caballo impuro y sectario. […] Quien sufre mucho eres, tú, Miguel. Algún día echaré a alguien la culpa de tus sufrimientos humano-poéticos actuales. Transformación terrible y cruel. […] Efectivamente, camino de caballos melancólicos. Mas no camino de hombre, camino de dignidad de persona humana. Nerudismo (¡qué horror, Pablo y selva, ritual narcisista e infrahumano de entrepiernas, de vello de partes prohibidas y de prohibidos caballos!); aleixandrismo; albertismo. […] ¿Donde está Miguel, el de las batallas?.
Sijé, percibe con gran claridad las amistades literarias, ‘peligrosas’, de Miguelito en la capital, que además de Pablo Neruda, Vicente Aleixandre y Rafael Alberti, eran amigos muy representativos para él. No obstante, el poeta le dedicaría un impulso de nostalgia de su infancia y juventud en Orihuela: Yo quiero ser llorando el hortelano de la tierra que ocupas y estercolas, compañero del alma, tan temprano. . .
“Me llamo barro aunque Miguel me llame”
Tan sólo a un mes de la carta citada, la noche del 23 al 24 de diciembre de 1935, fallece Ramón Sijé; mientras que Miguel Hernández estaba preparando el poemario mentado arriba, ‘El rayo que no cesa’, para la imprenta. Pese al anterior distanciamiento entre ellos, Miguelito sintió la tristeza de la muerte ante sus ojos, la nostalgia de sus primeros años de adolescencia con sus mitos y sus penas; compuso inmediatamente una elegía para el amigo difunto, logrando incluirla en su nuevo libro a tiempo para la publicación. En 1936, ingresa voluntario en las milicias del ejército popular; es nombrado comisario de cultura, donde pelea como miliciano y poeta del pueblo.
Julio de 1937 (tuvo lugar en Valencia y Madrid)
“II Congreso Internacional de Escritores para la Defensa de la Cultura”
Encuentro de los más importantes entre intelectuales antifascistas de toda Europa. Entre muchos otros escritores participaron, Miguel Hernández y Pablo Neruda, que hallándose de nuevo esos días en Madrid, el poeta Pablo sintió el deseo de visitar su antiguo domicilio en Argüelles (con el mismo nombre de la casita, de la que escribe esta nota, un orgullo): “Casa de las Flores”, donde fue acompañado por Miguelito. Pablo Neruda tras el encuentro de intelectuales antifascistas regresa a Francia, y Miguel Hernández sale de viaje hacia la Unión Soviética. Estando el poeta aún en Moscú, es que apare en Valencia, septiembre de 1937, su 1º poemario de guerra titulado “Vientos del pueblo”.
Tú preguntas por el corazón, y yo también. . .
Mira cuántas bocas cenicientas de rencor, hambre, muerte, pálidas de no cantar, no reír: resecas de no entregarse al beso profundo. Pero mira el pueblo que sonríe con una florida tristeza, augurando el porvenir de la alegre sustancia. Él nos responderá. Y las tabernas, hoy tenebrosas como funerarias, irradiarán el resplandor más penetrante del vino y la poesía.
Como Neruda, Miguel Hernández, había cambiado la orientación de su poesía durante el verano de 1936, transformándola en “arma de guerra” al servicio de la causa: república, revolución. En palabras de Neruda podemos leer: Preguntaréis. . . Y dónde están las lilas?
Y la metafísica cubierta de amapolas?
Y la lluvia que a menudo golpeaba
sus palabras llenándolas
de agujeros y pájaros?
[…]
Preguntaréis por qué su poesía
no nos habla del sueño, de las hojas,
de los grandes volcanes de su país natal?
Venid a ver la sangre por las calles,
venid a ver
la sangre por las calles,
venid a ver la sangre
por las calles!
“Llamo a los poetas. Entre todos vosotros -dice Miguelito- con Vicente Aleixandre y con Pablo Neruda tomo silla en la tierra.”
Aún antes del fin de la contienda. Y con Madrid todavía en manos de la república, el poeta miliciano decide visitar a Carlos Morla Lynch, entonces encargado de negocios en la embajada chilena de la capital. Miguel Hernández soñó por algún tiempo idealizando a Pablo Neruda su verdadero amigo del alma, con la idea de salir hacia Chile junto con Josefina y su pequeño hijito, confiando en la amistad y ayuda de Pablito. Pero la embajada chilena no puede garantizar su seguridad personal, le dijeron, así es que, Miguel Hernández descarta la idea.
Tras la victoria del eje fascista, y sin noticias de la suerte de Miguelito, Neruda anotó las frases siguientes, que fueron publicadas años más tarde:
Mi gran amigo, Miguel, cuánto te quiero y cuánto respeto y amo tu joven y fuerte poesía. Adonde estés en este momento, en la cárcel, en los caminos, en la muerte, es igual: ni los carceleros, ni los guardiaciviles, ni los asesinos podrán borrar tu voz ya escuchada, tu voz que era la voz de tu pueblo. (Para nacer he nacido, 76).
Miguel Hernández, fue arrestado el mes de mayo, tratando de cruzar la frontera hacia Portugal. Desde la madrileña cárcel de Torrijos escribió el 26 de junio de 1936 a Neruda, que por esa fecha se encontraba de nuevo en París. Querido Pablo:
[…] Es de absoluta necesidad que hagas todo cuanto esté en tu mano por conseguir mi salida de España y el arribo a tu tierra en el más breve espacio de tiempo posible. […] Sabré de ti por la Embajada, desde donde harán el favor de venir a comunicarme cuanto resuelvas. Me acuerdo como nunca de vosotros. Te necesito como nunca. Da un gran abrazo a Delia, y tú recibe el otro. (OC, 258).
Franco, al recibimiento, de la Junta Técnica de Acción Católica:
Mi profundo sentimiento y solidaridad con las víctimas del huracán “Sandy” (no se el pelotudo que bautizó el huracán, quienes son los que ponen nombre a los huracanes?, de seguro es el gringo, podrían haberlo llamado Tío Sam!!!, más realista en cuanto a su ácida crudeza, que toda alusión a la raíz de la “sandia”). . . Varios son los huracanes que he vivido en Cuba, el último fuerte sufrido fue en Baracoa, llamado Ike, y la verdad hubo escenas aterradoras.
Abrazo y beso al pueblo de Santiago, protagonista de mil batallas, mis mejores sentimientos.
Vaya con el pueblo de Cuba y su espíritu internacionalista, el video de Silvio Rodriguez, interpretando el poema de Miguel Hernández, dedicado a su amigo y compañero de lucha Pablo de la Torriente.
Nous avons déjà payé au titre des intérêts (227 000 dollars au total depuis), soit trois fois la dette que nous avons eu en 2000 et encore maintenant, il faut encore le double de ce que nous avions cette année-là.
Quiconque a eu à rembourser un prêt sait ce qu’ils signifient intérêt lors du paiement. Un reçu, par exemple, 7% devrait retourner près du double du capital reçu au bout de dix ans.
Tel est le poids de ce qu’ils portent des prêts sans intérêt pendant une longue période, il a été considéré que l’encaissement au-dessus de certains niveaux plus ou moins raisonnable a été considéré non seulement comme un crime d’usure, mais une action immorale, ou même un péché grave de condamner toujours à celui qui s’engage.
Aujourd’hui, cependant, la plupart des gouvernements ont éliminé cette infraction et tout le monde semble naturel légale de facturer des intérêts pouvant aller jusqu’à 30% (c’est ce qu’ils demandent en ce moment les banques espagnoles à des clients qui dépassent leur ligne de crédit) ou a sombré dans la misère des nations n’est pas exactement ce qu’ils doivent, mais le montant des intérêts à payer.
Les pays de l’Union européenne ont renoncé à une banque centrale qui a financé l’argent quand necesitasen et d’avoir à recourir à des banques privées dans ces circonstances. Par conséquent, au lieu d’être financé à 0%, ou un intérêt minimal simplement couvrir les coûts de gestion de la politique monétaire, à faire les 4, 5, 6 ou même 15% dans certains cas. Et cela rend les banques privées reçoivent chaque année entre 300.000 et 400.000 dollars millions d’euros sous la forme d’intérêts (dois-je alors, pour expliquer qui il était et pourquoi derrière la décision de la Banque centrale européenne ne finance pas les gouvernements ?).
L’économiste français Jacques Philippe Derudder et Holbecq ont montré que la France a dû payer 1,1 milliard d’euros d’intérêt depuis 1980 (lorsque la banque centrale a cessé de financer le gouvernement) en 2006 pour répondre à la dette existante de 229.000 dollars en La première année (Jacques et Philippe Derudder Holbecq, La Dette publication, Une affaire rentable: A Qui Profite le system, Ed Yves Michel, Paris, 2009). Cela signifie que si la France avait été financé par une banque centrale sans payer d’intérêt aurait sauvé 914.000 dollars et sa dette serait négligeable aujourd’hui.
Et le plus drôle, c’est que ces intérêts que les banques prélèvent pour les individus, les entreprises ou les gouvernements qui ne cessent de nuire à leur capacité à créer de la richesse ne peut être justifiée.
On pourrait comprendre quelqu’un COBRASE un intérêt particulier lorsqu’il a accordé un prêt à un autre sujet, si quelque chose renoncer. Si je prête à Pepe 300 euros et qui m’empêche, par exemple, passer un week-end de vacances avec ma famille que je pourrais peut-être justifier une dérogation lui COBRASE intérêt ce que mon plaisir. Mais ce n’est pas ce qui se passe quand une banque prête.
Que la plupart des gens ne savent pas, parce que les banquiers sont responsables de se cacher et de ne pas en parler, c’est que lorsque les banques se prêtent pas renoncer à quoi que ce soit parce que, comme je l’ai dit le prix Nobel Maurice Allais, l’ argent, ils le prêtent n’existe pas déjà le créer ex nihilo, c’est-à-rien.
«Supposons que Pierre se laisser convaincre par un banquier et déposez 100 euros à sa disposition dans une banque, en échange d’un taux d’intérêt de 4% par an. A cette époque, la banque effectue deux manches sur son bilan, ce qui est le livre qui enregistre leurs comptes:
– D’une part, vous avez 100 notes euros à l’actif (biens sont la propriété ou d’autres droits que quelqu’un a), et plus particulièrement sous la forme d’argent liquide livré par Peter.
– En outre, la note qui a un passif (passifs sont les obligations d’une personne) de 100 euros, car ce métal est en fait Peter et doit le rendre à la fois le réclamant.
En prenant ce dépôt n’a pas changé la quantité de monnaie dans l’économie. Il ya encore 100 euros, mais maintenant sont physiquement ailleurs, dans le cas de la banque.
Supposons maintenant une autre personne, Rebecca, a besoin de 20 euros et voir ce qui se passe dans l’économie si Pierre verse cette somme ou si la banque qui le fait.
Si Pedro est de 100 euros et 20 sur prêt donne Rebecca la quantité de monnaie dans l’économie reste la même: 100 $, maintenant seulement 20 sont dans la poche de Rebeca et 80 restent en Pierre. Le prêt privé n’a pas modifié le montant total de l’argent, mais elle produit un effet significatif: Pedro a démissionné pour consacrer une partie de leur argent, qui paie 20 euros de Rébecca.
Mais si ce n’est pas Pierre qui accorde un prêt de 20 EUR Rebecca, mais la banque?
Rebecca va sûrement peur de la succursale de la banque ria demandais si M. banquier sera s’il vous plaît subvention. Mais le banquier n’a aucun doute: depuis la réception de l’acompte de Pierre est de penser que, sans doute, ne se retirera pas le montant déposé à la fois, de sorte que si vous laissez quelques-uns des endroits que 100 $ depo énumérés à répondre leur remboursement et de trouver une autre personne qui veut un crédit peut obtenir une bonne affaire si elle est chargée de plus de 4%.
Lorsque Rebecca va à sa banque, le banquier et se frotte les mains, mais il va sûrement frappé à dissimuler qui fait une faveur à qui, immédiatement accordé le prêt désiré MO 20 euros à un taux bien supérieur à 4%, disons 7%.
Supposons que vous mettre cette somme à leur disposition dans un dépôt à son nom et délivre un chèque ou une carte que vous pouvez utiliser.
Combien d’argent est dans l’économie au moment où le crédit est accordé?
Comme la grande majorité des gens pensent que l’argent est tout simplement juridique de l’argent, réponse qui reste 100 euros. Mais si nous comprenons que l’argent est ce qu’il est, qui est, moyens de paiement, nous voyons clairement qu’il ya plus: Peter peut effectuer des paiements avec votre chéquier une valeur de 100 euros et Rebecca peuvent payer jusqu’à passé 20 euros qui ont donnée prêt. Par conséquent, à partir du moment même où le prêt a été remboursé dans l’économie, il ya 120 euros en paiement. Pas de faire-faire ou des pièces de monnaie ou des billets (il ya encore une valeur de 100 euros) moyens de paiement, mais nous appelons argent bancaire d’une valeur de 20 euros. «
C’est ainsi que les banques créent de l’argent à partir de rien lorsqu’il est administré un prêt. La banque crée de la monnaie dans la mesure où elle crée de la dette, mais la vérité est que cela est également créé à partir de zéro: il suffit de noter la banque d’actifs à son bilan que les 100 euros que Pierre était devenu déposé aujourd’hui 80 détenus dans la boîte et 20 en un prêt que Rébecca et décide de revenir. Sinon, si les banques créent de l’argent n’est pas né de rien, l’argent ne pouvait pas augmenter, comme un billet ou une pièce ne peut pas reproduire matériellement eux-mêmes.
Et si nous savons que ces choses aussi simples que nous pouvons répondre à la question du titre: comment justifier que la charge d’intérêt des banques lors de l’octroi des prêts et pourquoi nous ne devrions pas les payer?
La réponse est claire: il n’y a aucune justification et ne devraient pas payer parce qu’ils proviennent de l’argent créé à partir de rien. Si le salaire est seulement parce que les banquiers ont le privilège exorbitant qui nous est imposé par sa puissance énorme.
Un organisme public peut établir un tel paiement signifie sans but lucratif et pratiquement aucun coût, vérifier simplement à maintenir le bon équilibre entre l’activité économique et les moyens de paiement.
Mais quand la création monétaire devient l’activité bancaire, il est logique que croit constamment, la promotion de la génération de la dette la plus large possible. La banque privée et tend à augmenter la masse monétaire sans artificiellement et sans en même temps vous augmentez la circulation des biens réels (car ce n’est évidemment pas à la portée).
C’est la raison pour laquelle augmenter à la fois la dette et de ne pas vivre au-dessus de nos possibilités, soit parce que vous passez beaucoup sur l’éducation et la santé, comme nous le disons toujours.
Nous savons maintenant ce qu’il faut faire pour que l’économie fonctionne mieux: mettre fin à ce privilège de la banque et vous empêcher de créer de l’argent à partir de rien en augmentant la dette.
Une autre alternative jour expliquer comment cela pourrait fonctionner parfaitement le système bancaire sans banquiers jouissent de ce privilège qui nous ruine en permanence.
Nosotros hemos pagado ya, a cuenta de los intereses (227.000 millones en total desde entonces), tres veces la deuda que teníamos en 2000 y a pesar de ello ahora seguimos debiendo todavía el doble de lo que debíamos en ese año.
Cualquier persona que haya tenido que devolver un préstamo sabe lo que significan los intereses a la hora de pagarlo. Uno recibido, por ejemplo, al 7% supondría tener que devolver casi el doble del capital recibido al cabo de diez años.
Tanto es el peso de lo intereses que llevan consigo los préstamos que durante mucho tiempo se consideró que cobrarlos por encima de unos niveles determinados más o menos razonables se consideraba no solo un delito de usura sino una acción inmoral, o incluso un pecado grave que condenaría para siempre a quien lo cometiera.
Hoy día, sin embargo, casi todos los gobiernos han eliminado esa figura delictiva y a todo el mundo le parece natural que se cobren intereses legales de hasta un 30% (esto es lo que cobran en estos momentos los bancos españoles a los clientes que sobrepasen su línea de crédito) o que haya naciones hundidas en la miseria no exactamente por lo que deben sino por la cuantía de los intereses que han de pagar.
Los países de la Unión Europea renunciaron a tener un banco central que los financiara cuando necesitasen dinero y entonces tienen que recurrir a la banca privada en esas circunstancias. En consecuencia, en lugar de financiarse al 0%, o a un interés mínimo que simplemente cubra los gastos de administrar la política monetaria, tienen que hacerlo al 4, 5, 6 o incluso al 15% en algunas ocasiones. Y eso hace que cada año los bancos privados reciban entre 300.000 millones y 400.000 millones de euros en forma de intereses (¿tengo, entonces, que explicar quién estuvo y por qué detrás de la decisión de que el Banco Central Europeo no financiara a los gobiernos?).
Los economistas franceses Jacques Holbecq y Philippe Derudder han demostrado que Francia ha tenido que pagar 1,1 billones de euros en intereses desde 1980 (cuando el banco central dejó de financiar al gobierno) a 2006 para hacer frente a la deuda de 229.000 millones existente en ese primer año (Jacques Holbecq y Philippe Derudder, La dette publique, une affaire rentable: A qui profite le système?, Ed. Yves Michel, París, 2009). Es decir, que si Francia hubiera sido financiada por un banco central sin pagar intereses se habría ahorrado 914.000 millones de euros y su deuda pública sería hoy insignificante.
En España ha ocurrido lo mismo. Nosotros hemos pagado ya, a cuenta de los intereses (227.000 millones en total desde entonces), tres veces la deuda que teníamos en 2000 y a pesar de ello ahora seguimos debiendo todavía el doble de lo que debíamos en ese año (Yves Julien y Jérôme Duval, España: ¿Cuántas veces tendremos que pagar una deuda que no es nuestra?). Eduardo Garzón ha calculado que si un autentico banco central hubiese financiado los déficits de España desde 1989 a 2011 al 1%, la deuda ahora sería también insignificante, del 14% del PIB y no de casi el 90% (Situación de las arcas públicas si el estado español no pagara intereses de deuda pública).
Y lo curioso es que estos intereses que cobran los bancos a las personas, a las empresas o a los gobiernos y que lastran continuamente su capacidad de crear riqueza no tienen justificación alguna.
Se podría entender que alguien cobrase un determinado interés cuando concediese un préstamo a otro sujeto si al hacerlo renunciase a algo. Si yo le presto a Pepe 300 euros y eso me impide, por ejemplo, pasar un fin de semana de vacaciones con mi familia podría quizá justificarse que yo le cobrase un interés por la renuncia que hago a mi disfrute. Pero es que eso no es lo que sucede cuando un banco presta.
Lo que la mayoría de la gente no sabe, porque los banqueros se encargan de disimularlo y de que no se hable de ello, es que cuando los bancos prestan no están renunciando a algo porque, como decía el Premio Nobel de Economía Maurice Allais, el dinero que prestan no existe previamente sino que lo crean ex nihilo, es decir, desde la nada.
“Supongamos que Pedro se deja convencer por un banquero y deposita los 100 euros de los que dispone en un banco, a cambio de recibir un interés del 4% al año. En ese momento, el banco hace dos anotaciones en su balance, que es el libro en donde registra sus cuentas:
– Por un lado, anota que tiene 100 euros como un activo (los activos son los bienes o los derechos sobre otros que tiene alguien), y más concretamente en concepto de dinero metálico entregado por Pedro.
– Por otro, anota que tiene un pasivo (los pasivos son las obligaciones de alguien) de 100 euros, puesto que ese metálico es en realidad de Pedro y tendrá que devolvérselo en el momento en que lo reclame.
Al hacerse este depósito tampoco ha cambiado la canti- dad de dinero en la economía. Sigue habiendo 100 euros, aunque ahora estén físicamente en otro lugar, en la caja del banco.
Ahora supongamos que otra persona, Rebeca, necesita 20 euros y veamos qué ocurre en la economía si Pedro le presta esa cantidad o si es el banco quien lo hace.
Si Pedro tiene 100 euros y le da 20 en préstamo a Rebeca la cantidad de dinero existente en la economía sigue siendo la misma: 100 euros, solo que ahora 20 están en el bolsillo de Rebeca y 80 siguen en el de Pedro. El préstamo entre particulares no ha alterado la cantidad de dinero total aunque sí produce un efecto importante: Pedro ha renunciado a poder gastar una parte de su dinero, los 20 euros que le presta a Rebeca.
Pero ¿qué ocurre si no es Pedro quien le da un préstamo de 20 euros a Rebeca sino el banco?
Rebeca irá seguramente atemorizada a la sucursal banca- ria preguntándose si el señor banquero le hará el favor de concedérselo. Pero el banquero no tiene duda: desde que recibió el depósito de Pedro está pensando que este, con toda seguridad, no va a retirar la cantidad depositada de un golpe, de modo que si deja una parte de esos 100 euros depo sitados para atender a sus reembolsos y encuentra a otra per- sona que desee un crédito puede hacer un buen negocio siempre que le cobre más del 4%.
Cuando llega Rebeca a su banco, el banquero se frota las manos y, aunque seguramente le pondrá pegas para disimular quién hace el favor a quién, le concederá enseguida el présta- mo deseado de 20 euros a un tipo desde luego superior al 4%, pongamos que al 7%.
Supongamos que le pone esa cantidad a su disposición en un depósito a su nombre y que le entrega unos cheques o una tarjeta con los que puede utilizarlo.
¿Cuánto dinero hay en la economía en el momento en que se concede dicho crédito?
Como la inmensa mayoría de la gente piensa que el dinero es simplemente el dinero legal, contestará que sigue habiendo 100 euros. Pero si entendemos que el dinero es lo que es, es decir, medios de pago, veremos claramente que hay más: Pedro puede hacer pagos con su talonario de cheques por valor de 100 euros y Rebeca puede pagar hasta gastar los 20 euros que le han dado de préstamo. Por tanto, desde el mismo momento en que se hizo efectivo el préstamo, en la economía hay 120 euros en medios de pago. No se han crea- do ni monedas ni billetes (siguen existiendo por valor de 100 euros) pero sí medios de pago que llamamos dinero bancario por valor de esos 20 euros”.
Así es como los bancos crean dinero desde la nada cuando dan un préstamo. El banco crea el dinero en la medida en que crea deuda, pero lo cierto es que esta también se crea desde la nada: simplemente anotando el banco en el activo de su balance que los 100 euros que Pedro había depositado ahora se convierten en 80 mantenidos en la caja y 20 en un préstamo concedido a Rebeca y que esta se obliga a devolver. Si no fuese así, si el dinero que crean los bancos no naciese de la nada, la cantidad de dinero no podría aumentar, puesto que un billete o una moneda no pueden reproducirse materialmente a partir de sí mismos.
Y si sabemos estas cosas tan simples ya podemos responder a la pregunta del título: ¿qué justificación tiene que los bancos cobren intereses cuando conceden préstamos y por qué no deberíamos pagarlos?
La respuesta es clara: no hay ninguna justificación y no deberíamos pagarlos porque proceden de dinero creado de la nada. Si los pagamos es solo porque los banqueros tienen un privilegio desorbitado que nos imponen gracias a su enorme poder.
Una agencia pública podría crear esos medios de pago sin ánimo de lucro y sin apenas ningún coste, simplemente controlando que se mantenga la proporción adecuada entre actividad económica y medios de pago.
Pero cuando la creación de dinero se convierte en el negocio de la banca, es lógico que esta lo cree sin cesar, promoviendo la mayor generación de deuda posible. La banca privada tiende a aumentar así la circulación monetaria sin necesidad, artificialmente, y sin que al mismo tiempo esté aumentando la circulación de activos reales (porque esto obviamente no está a su alcance).
Esta es la razón de que aumente tanto la deuda y no el que vivamos por encima de nuestra posibilidades o porque se gaste mucho en educación o sanidad, como nos dicen siempre.
Ya sabemos entonces lo que hay que hacer para que la economía funcione mucho mejor: acabar con el privilegio de la banca e impedir que pueda crear dinero desde la nada aumentando la deuda.
Otro día explicaré la forma alternativa en que podría funcionar perfectamente el sistema bancario sin que los banqueros disfruten de este privilegio que nos arruina constantemente.