Un homenaje especial por los 100 años del cine puertorriqueño realizará esta edición 34 del Festival del Nuevo Cine Latinoamericano
Frank Padrón/PDF / 02-12-2012 / 18:20
Al evento fílmico más importante y esperado del año en Cuba le quedan horas para descorrer sus cortinas; en muchos cines capitalinos, y otros tantos en provincias, comenzarán a exhibirse filmes de 46 países que entre la competencia, las muestras, los panoramas y otras presentaciones, suman 566 títulos.
Un homenaje especial por los 100 años del cine puertorriqueño realizará esta edición 34 del Festival del Nuevo Cine Latinoamericano de La Habana. Las celebraciones incluirán la proyección de películas y documentales, y un evento teórico que contará con la presencia de realizadores de esa nación caribeña, entre otras actividades. El tributo también se extenderá al cine cubano, que en esta ocasión celebrará los 30 años del estreno del filme Cecilia realizado en 1982 por Humberto Solás, con una presentación especial de la serie televisiva homónima, de tres capítulos.
Como ya resulta habitual, la programación de la cita habanera comprenderá una amplia y representativa muestra del cine contemporáneo proveniente de Latinoamérica y el resto del mundo, así como encuentros y seminarios sobre diversos temas de interés. El Sector Industria, iniciativa que nació en el aniversario 30 del certamen, ofrecerá un programa destinado a los profesionales de la realización, producción y distribución cinematográficas, que incluye talleres, seminarios, encuentros de proyectos y el concurso de postproducción Nuestra América Primera Copia. Además del Coral, galardón oficial del Festival de La Habana, un grupo de instituciones cubanas y extranjeras entregarán los premios colaterales.
Este año la competencia incluye 21 títulos en la categoría de largos de ficción, dentro de los cuales es precisamente Argentina (con cuatro filmes) el de mayor presencia, seguida por Brasil, Cuba, México y Chile, con tres cada uno. Respecto a óperas primas, hay la misma cantidad (21), aunque esta vez el país del tango rivaliza en cuanto a números con el de la samba, Brasil, con seis cada uno. Entre cortos y medios de ficción luchan por los corales 20 obras, mientras documentales en concurso hay 23. Los carteles no se quedan atrás: también son 21 los que anhelan la máxima distinción, mientras 29 guiones inéditos aspiran al lauro único, y sigue Argentina que sobresale nada menos que con 11 concursantes.
Nuevamente, fuera de concurso, contaremos este año con el Panorama latinoamericano, el Contemporáneo internacional, La Hora del corto, la Sección informativa del documental, Hecho en Cuba, y las habituales muestras de países, con lo más reciente de España, Polonia, Italia, Alemania, Canadá y cine experimental norteamericano. Mucho más ocurrirá dentro de estos 10 agitados días de festival, pero de ello seguiremos comentando la próxima semana.
Nelson Domínguez, Premio Nacional de Artes Plásticas. Foto: Internet
A través de la creación de galerías rurales, el artista cubano planea abrir espacios para las artes plásticas dedicados a infantes. La primera se construye ya en El Jovero, en la provincia de Cienfuegos
Con el objetivo de promover la educación artística de los niños, el pintor cubano Nelson Domínguez, Premio Nacional de Artes Plásticas, patrocina un proyecto de galerías rurales en el centro y oriente de la Isla.
En exclusiva con Prensa Latina, el artista comentó que se comenzó a construir en la provincia de Cienfuegos, la primera galería rural de El Jovero, en el grupo montañoso Escambray, donde ya trabaja el grupo teatral Los Elementos. (más…)
La agenda del evento aborda temas relacionados con promoción de salud e intersectorialidad, investigación, innovación tecnológica, formación de recursos humanos, entre otros
Diciembre 3.–Desde este lunes y hasta el próximo 7 de diciembre sesionará en esta capital la Convención Internacional Cuba-Salud, donde se mostrarán los resultados de los programas de salud desarrollados en la nación cubana, así como las transformaciones realizadas en ese sector encaminadas a mejorar la eficiencia, calidad y sostenibilidad de los servicios sanitarios.
Como parte de la agenda del evento se abordarán temas como la promoción de salud e intersectorialidad, investigación, innovación tecnológica, formación de recursos humanos, entre otros, reporta Prensa Latina. (más…)
APRÉS plus d’un siècle d’existence, le son a été déclaré Patrimoine de la culture cubaine. Selon le musicologue Odilio Urfé « le son est la représentation sonore la plus authentique de l’identité culturelle nationale ».
Le mot son était utilisé depuis fort longtemps pour désigner tout air musical, de type dansant, plus ou moins mélodique, légèrement rythmé. À Pinar del Rio, dans les années 20, le mot signifiait « fête ».
Le son serait apparu pour la première fois dans les collines de Guantanamo et de Baracoa, dans l’est de l’île. Évidemment, à l’origine le son était bien différent de ce qu’il est aujourd’hui, avec un corps défini et complexe, aussi bien sur le plan musical que littéraire. Ce n’était qu’un simple refrain que répétait longuement le tresero (le joueur de tres, une guitare à trois doubles cordes qui se joue avec un plectre fait d’écaille de tortue). (más…)
34e FESTIVAL INTERNATIONAL DU NOUVEAU
CINÉMA LATINO-AMÉRICAIN Mireya Castañeda
« CETTE 34e édition du Festival est entièrement consacrée aux jeunes réalisateurs, comme en témoigne la programmation des différentes sections. Une marée de jeunes cinéastes est venue renouveler le Nouveau cinéma latino-américain, et il nous revient d’ouvrir toutes grandes les portes à cette explosion de jeunes dans toute l’Amérique latine. »
C’est ce qu’a affirmé Alfredo Guevara, fondateur et président du Festival, lors de la première conférence de presse, qui s’est tenue à la salle Taganana de l’Hôtel National, siège traditionnel du Festival, juste avant le début de cette grande fête du cinéma latino-américain qui se déroulera du 4 au 14 décembre. Alfredo Guevara ajoutait : «Les années passent ; nous sommes à la 4e édition d’un festival, qui a eu la particularité, grâce au soutien de la Révolution cubaine, de ne jamais s’interrompre. Aujourd’hui, des dizaines de festivals existent dans toute l’Amérique latine, sans compétition entre eux, ce qui nous semble magnifique. C’est pour le cinéma latino-américain l’occasion de trouver une voie alternative de se faire connaître et d’arriver jusqu’à nos peuples, et l’on peut constater que les salles sont bondées ». (más…)
DEPUIS deux ou trois ans, on note dans la cinématographie cubaine un regain de la production dans tous les genres, spécialement dans le documentaire.
On attribut ce phénomène à l’arrivée des nouvelles technologies, qui réduisent les coûts de production, et facilitent l’apparition de nouveaux réalisateurs, et ceci, pas seulement à Cuba, ce qui a fait dire à Alfredo Guevara, président du Festival du Nouveau cinéma latino-américain que nous sommes face à « une marée de jeunes cinéastes ».
Si l’on considère les œuvres sélectionnées pour la compétition officielle du Festival dans les sections Long-métrage de fiction, Court-métrage, Dessin animé et surtout Documentaire, il est évident que la production n’est plus seulement le fait de l’ICAIC (Institut cubain de l’Art et de de l’Industrie cinématographique) – même si cet organisme apparaît souvent au générique . On assiste aujourd’hui à la naissance d’un cinéma indépendant, principalement sur le plan financier.
LES LONGS MÉTRAGES
La fiction reste la reine du grand écran et le rêve de tout réalisateur. Cuba est représentée dans cette section par les films Irremediablemente juntos, de Jorge Luis Sanchez ; Se vende, de Jorge Perugorria et La pelicula de Ana, de Daniel Diaz Torres. Ces deux derniers ne sont pas encore sortis en salle.
Perugorria a écrit et dirigé Se vende, qu’il présente sur son site web comme « une comédie d’humour noir », qu’il dédie a ses maîtres du cinéma, Tomas Gutiérrez Alea et Juan Carlos Tabio (Fresa y chocolate, Guantanamera).
Il a choisi des jeunes acteurs comme Dailenys Fuentes et Yuliet Cruz, et ramené à l’écran de grands acteurs du cinéma cubain : Salvador Wood, Raul Pomares, Mario Balmaseda, Mirtha Ibarra, Coralia Veloz et Patricio Wood. Le film a été produit par NMP International S.A. et l’ICAIC.
L’autre nouveau film en concours, La pelicula de Ana, de Daniel Diaz Torres, laisse espérer un duel d’interprétation entre Laura de la Uz et Yuliet Cruz.
Selon Diaz Torres, le film « aborde le concept de prostitution, qui n’est pas seulement un problème de commerce sexuel, comme on le pense parfois. Cela a à voir avec toutes ces choses que l’on fait sans y croire, seulement pour obtenir un bénéfice matériel, sans se sentir vraiment concerné. Je n’ai aucune réticence à dire que c’est une comédie, et pour moi la comédie n’est pas synonyme de superficialité. Faire une bonne comédie, c’est très difficile ». Le film a été produit par l’ICAIC.
Le troisième long-métrage cubain en concours est Irremediablement juntos, un film musical de Jorge Luis Sanchez, qui a débuté dans le long-métrage avec El Benny, un film musical également. Il aborde cette fois certains des thèmes de la problématique cubaine actuelle, en adaptant la pièce de théâtre d’Alexis Vazquez, Pogolotti-Miramar, qui traite de la double morale, de l’adultère, de la corruption et de la discrimination raciale.
CATÉGORIE PREMIER FILM
Les films de Charlie Medina, Penumbra et de Carlos Lechuga, Melaza ont été sélectionnés dans la catégorie Premier film.
Lechuga a défini Melaza comme « un drame social teinté de fantastique ». On le doit à Producciones de la 5ta Avenida en coproduction avec la société de production française 13 Production et la panaméenne Jaguar Films. Le scénario a reçu un prix de 15 000 dollars attribué par le Fonds d’encouragement de l’audiovisuel de l’Amérique centrale et la Caraïbe (CINERGIA) pour « la forme magistrale de son écriture qui raconte avec sensibilité et originalité les problèmes quotidiens auxquels la société cubaine doit faire face. »
Penumbras, du réalisateur de télévision Charlie Medina, s’inspire également d’une œuvre théâtrale, Penumbra en el noveno cuarto, d’Amado del Pino. Pour aborder les tensions et les illusions humaines, l’œuvre s’appuie sur le sport national cubain : le baseball, et raconte l’histoire de quatre personnages qui se déroule tout au long des neuf manches d’un match de baseball.
LES COURTS-MÉTRAGES
La sélection cubaine : Camionero (Sebastian Milo) ; Lavadora (Yoel Infante) et Los anfitriones (Miguel Angel Moulet).
Camionero a obtenu cette année le Grand prix du Concours Caracol 2012 – sous les auspices de l’Association de Radio et des Moyens audiovisuels de l’UNEAC) –, et le prix de la meilleure fiction au 11e Festival Jeune de l’ICAIC 2012.
Milo aborde, sans complaisance, la violence qui existait parfois dans les établissements préuniversitaires à la campagne, et il tente d’en expliquer la genèse. Il s’agit d’une réflexion sur la violence, la peur, les relations de pouvoir qui peuvent s’établir dans un groupe.
Lavadora, une fiction de 29 minutes en DVD, dont le scénario et la direction sont dus à Joel Infante Corbacho, a également obtenu une mention au Festival Jeune réalisateur. Dans les années 90, Alicia, une jeune étudiante, vit avec sa grand-mère Dora dans un village à la campagne. À la suite d’un accident de Dora, Alicia doit trouver un moyen de faire vivre le foyer. Elle choisira de se prostituer sans en mesurer les conséquences.
Le troisième court-métrage en lice, Los anfitriones, a été réalisé par le Péruvien Miguel Angel Moulet (diplômé de l’École internationale de cinéma et de télévision de San Antonio de los Baños en 2010). Tourné à l’École, le documentaire a décroché cette année le troisième prix de la Cinéfondation, une association créée sous l’égide du Festival de Cannes « pour soutenir la création cinématographique dans le monde et préparer la relève d’une nouvelle génération de cinéastes ». Los enfitriones raconte, en 16 minutes, la vie de deux vieux paysans, Felix et Josefina, qui doivent faire face à l’éventualité de la mort par maladie de l’un des deux.
LE DOCUMENTAIRE
La présence d’une grande école de cinéma dans l’Île a fait que le nombre de documentaires présentés cette année ait explosé. La majorité d’entre eux a été réalisée de façon indépendante par de jeunes réalisateurs. Presque tous ont participé au Festival Jeune réalisateur, un événement qui permet d’apprécier les principaux sujets, les nouvelles tendances, les styles, et les genres abordés par les jeunes cinéastes.
Ont été sélectionnés pour le prix Coral : De agua dulce (Damian Sainz); La certeza (Armando Capo); El Evangelio segun Ramiro (Juan Carlos Saenz Calahorra) et Awairy (Valeria Ariñez).
De agua dulce (Meilleur documentaire du Festival Jeune 2012) et Meilleur documentaire au Festival international du Court-métrage en Uruguay), a pour thème la violence. Sainz associe poétiquement la turbulence des eaux polluées d’une rivière avec l’obscur passé d’un homme qui raconte ses actes.
Avec La certeza, Armando Capo, a été le lauréat de la 3e édition du concours DocTV Latinoamérica. Diplômé de l’École latino-américaine de cinéma, il utilise comme argument la recherche de la foi.
Tout près de Gibara, son village natal, Capo a rencontré les personnages de son histoire, qui se déroule en grande partie dans un temple religieux située dans le village La Caridad, à Holguin.
Quant au documentaire El Evangilio segun Ramiro, de Juan Carlos Saenz Calahorra, il présente un travesti qui vit très modestement. Fidèle convaincu de l’église catholique de Guanabacoa, il entretient une relation amoureuse avec un gardien – un de ceux qui portent la Vierge de l’Assomption pendant les fêtes et les processions –. Le film a obtenu le prix Lumières de la ville au 22e Festival de l’image à Camaguey, organisé par l’Association Hermanos Saiz, en collaboration avec l’ICAIC.
Le quatrième documentaire en compétition Awairy, de Valeria Ariñez, diplômée de l’EICTV, traite de la vie quotidienne de Julieta, une adolescente de 12 ans, qui vit dans le petit village bolivien de Potolo, connu pour les superbes dessins de ses tissus Jalqa, fabriqués depuis des siècles par les femmes du village.
LE DESSIN ANIMÉ
Le dessin animé tient une place importante dans l’île. Sont en concours La luna en el jardin (Yemeli Cruz y Adanoe Lima) et Lavando calzoncillos (Victor Alfonso Cedeño).
La luna en el jardin est une version libre d’un fragment du roman Jardin, de Dulce Maria Loynaz, prix national de Littérature 1987, et prix Miguel de Cervantes, en Espagne. Le film est une véritable œuvre d’art, réalisée aux Studios d’animation de l’ICAIC avec la technique de stop motion, et de 3D.
Un autre documentaire en concours, Lavando calzoncillos, de l’animateur et auteur de bandes dessinées de la province de Cienfuegos, Victor Alfonso Cedeño, traite des travaux quotidiens d’une femme.
D’AUTRES COMPÉTITIONS
Dans la catégorie Affiche, dont la tradition est très riche dans la cinématographie nationale, Cuba présente six affiches : El camaron encantado, de Claudia Maria Alvarez Alvarez ; La gran solucion, de José Pedro Camejo ; La isla de corcho, de Francisco Masvidal ; Y, sin embargo…, de Alberto Nodarse Galindo ; ainsi que deux autres de Marcelo Martin Herrera pour Penumbras.
Six scénarios cubains sont en compétition : Apuntes de madrugada, de Juan Garcia Prieto ; Club de jazz, de Esteban Insausti ; Ismael, de Carlos e. Machado Quintela et Piano de solar, Alexis Pedro Oliva Roche.
DES EFFORTS ET DE L’OPTIMISME
En annonçant le 34e Festival, Alfredo Guevara a signalé : « En Amérique latine et à Cuba de nombreux jeunes font du cinéma. Certains sont vraiment bons, d’autres non, mais il faut s’efforcer d’être juste. On fait des efforts immenses en Amérique latine pour que le cinéma progresse, et qu’est-ce que cela peut produire si ce n’est de l’optimisme ? »
Répondant à une question en aparté après la conférence de presse, Alfredo Guevara a signalé qu’en tant que président du Festival, il ne pouvait pas « donner son avis sur les œuvres mais il se passe ce que j’avais annoncé à plusieurs reprises. Il m’a été donné de construire l’ICAIC avec une équipe et de mettre en marche le cinéma dans notre pays ».
« Je crois que ce projet n’est plus efficient, et ce qui le démontre, c’est que seulement un tiers des films présentés sont issus du cinéma cubain d’État.
« Les nouvelles technologies ont favorisé le développement du cinéma indépendant, un cinéma satisfaisant pour la société cubaine ; la majorité des films présentés vient de ce cinéma. Donc, nous sommes face à une explosion cinématographique qui doit trouver de nouvelles formes de se structurer. Le Festival n’est rien d’autre que le thermomètre d’une transformation totale dans la production cinématographique cubaine. »
Qu’importe aujourd’hui comment les films en compétition ont été tournés. L’important, c’est que bon nombre d’entre eux ont leur place dans la course aux Coral du 34e Festival de cinéma.
Zucchero en La Habana ● El sábado 8 de diciembre, el ícono mayor del rock italiano protagonizará junto al maestro Frank Fernández y Buena Fe un megaconcierto en horas de la tarde en los predios de las Escuelas de Arte de Cubanacán
El maestro de la escuela primaria de la villa reggioemiliana Roncocesi que renombró al pequeño Adelmo como Zucchero estaba lejos de imaginar que con ese apelativo unos años después el vástago de la familia Fornaciari haría historia en la música italiana.
Zucchero, a no dudarlo, es desde hace tres décadas el máximo exponente del rock peninsular y el de mayor anclaje en los escenarios internacionales. Desembarcó en La Habana a fines de noviembre, esta vez para cumplir un sueño: protagonizar un megaconcierto programado a partir de las 8:00 p.m. del próximo sábado 8 de diciembre en los predios de las Escuelas de Arte de Cubanacán, con acceso libre para todo el público. Allí estará con su banda a la que sumó voces e instrumentistas cubanos, entre ellos el reconocido maestro Frank Fernández, y alternará con el dúo Buena Fe, aunque no excluye otras participaciones. En el empeño intervienen los apoyos del Ministerio de Cultura de Cuba, el Instituto Cubano de la Música, la Embajada de Italia, la Asociación Recreativa Cultural Italiana (ARCI), cuyo directivo Daniele Lorenzi propició, junto a la manager de Zucchero, Laura, esta entrevista; el ISA y la Asociación Hermanos Saíz. (más…)
WASHINGTON.— El Comité Nacional para la Libertad de los Cinco Cubanos pidió hoy al Senado de Estados Unidos liderar acciones inmediatas para la liberación de los antiterroristas arbitrariamente condenados en el norteño país.
Urgimos a todos a llamar al senador de su distrito y decirle que Los Cinco Cubanos han sido injustamente encarcelados por más de 14 años por oponerse al terrorismo, y que queremos que sean liberados inmediatamente, recalca el comunicado de la organización.
Bajo la proclama «Dile al Senado Libertad para los Cinco», el grupo solidario subraya que no se puede permitir que el Congreso norteamericano continúe ignorando este caso de gran injusticia contra los luchadores cubanos, cuyos derechos fueron violados cínica y severamente. (más…)
El presidente del Parlamento de Cuba, Ricardo Alarcón, envió una carta al Senado mexicano en agradecimiento por el reclamo de la libertad de cinco cubanos presos injustamente en Estados Unidos.
Estos cinco jóvenes son considerados héroes por el gobierno y el pueblo cubanos, ya que combatían las acciones terroristas contra la isla que se gestan impunemente desde territorio estadounidense.
El dictamen senatorial, aprobado a fines del mes pasado, expresa que la detención de Gerardo Hernández, Antonio Guerrero, Fernando González, Ramón Labañino y René González fue arbitraria y su enjuiciamiento se realizó en contravención a normas y principios esenciales del derecho internacional y del debido proceso. El texto destaca que legisladores de todo el mundo, así como asociaciones de abogados y de derechos humanos de diferentes países de Europa, Asia y América Latina han exigido la inmediata liberación de estos detenidos.
La misiva de agradecimiento del presidente parlamentario cubano, dirigida al titular de la mesa directiva del legislativo mexicano, Ernesto Cordero, fue entregada en esa entidad por el diputado y presidente de la Unión de Periodistas de Cuba, Tubal Páez.
Páez, también vicepresidente de la Conferencia Parlamentaria de las Américas, participó aquí en una reunión de esa agrupación. (PL)