Publié le 18 Janvier 2014
- En affirmant, sans Preuves, qu’il en couterait 200 millions d’euros versez le remettre à flot,
- En ne lançant initiative Aucune sur le Projet DEPUIS ainsi d’un non,
- En encourageant l’utilisation du «Bus à € 1» par la publication du conseil général Christian Bourquin Dont dirige Les décisions de «longue main» …
Note de Canaille le Rouge :
Le pire serait d’accepter l’idée que l’avenir serait «dans les mains de …« (ce qui au passage est contraire à toute l’histoire de la défense du «train jaune», les cheminots de la ligne en savent quelque chose.
Canaille le Rouge a souvenir d’une manifestation massive devant un conseil de discipline se tenant à Montpellier, il y a maintenant plus de 20 ans, qui déjà tentait de décapiter le syndicat pour privatiser la ligne).
Déjà à l’époque et plus encore maintenant, les mains principales, étaient celles des cheminots et celles des usagers.
D’expérience, on sait que celles d’élus et dirigeants fussent-elles munies des meilleures intentions, si elles ne sont pas fermement encadrées et tenues par les premières sont vite saisies de tremblements qui peuvent aller jusqu’à transformer un bon binage annoncée en une opération tronçonneuse.
Ne pas laisser l’avenir qu’entre les mains de potentats dont on connait faiblesses et clientélisme (d’autant que la région à quelques expériences à ne pas oublier) est la seule garantie pour sauver la ligne.
Mais cela, s’ils le décident ainsi, les cheminots savent faire et les usagers dans ces conditions n’ont jamais manqué à l’appel.
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